De nouveaux individus au patrimoine génétique identique à celui du parent unique sont donc produits, souvent à partir des racines ou de la tige de la plante mère. Afin de bien distinguer ce type de reproduction de celui sexué, on le nomme parfois multiplication végétative. Il s'agit d'un processus de clonage naturel.
On distinguera deux types différents de clonages : -Le clonage reproductif : son but est de créer entièrement un individu identique à la base à un autre individu, mais qui pourrait se développer de manière différente. -Le clonage therapeutique qui consiste à reproduire des cellules distinguées aux fonctions précises.
Le clonage réplique la constitution génétique de l'animal dont la cellule a été prélevée pour générer une descendance clonée. Il s'agit en fait d'un être comparable à un jumeau, ou à une copie, doté d'une structure génétique identique.
Le but du clonage n'est pas de modifier le génome, mais de le transmettre d'une façon qui ne nécessite pas la reproduction sexuée et qui génère des individus identiques présentant les mêmes caractéristiques que leur (unique) parent.
Il est ainsi facile de comprendre les deux avantages principaux du clonage végétal pour l'homme : 1/ reproduire à l'identique un grand nombre de fois la même plante (par ex les plantes ornementales), en se passant de la reproduction sexuée, source de variabilité; 2/ pouvoir reproduire des espèces dont la reproduction ...
Malformations, vieillissement et mort prématurés, utilisation de femmes comme cobayes et dérives mercantiles, le clonage d'un bébé humain comporte risques médicaux et éthiques, selon les spécialistes.
De plus à la naissance le clone développe souvent de nombreux problème immunitaires et cardiaques à la naissance l'espérance de vie d'un clone est donc limitée. Enfin le clonage pose des problèmes éthiques dans la mesure où le clone est souvent considéré comme un objet pour des expériences.
En Corée du Sud, l'équipe du professeur Hwang Woo-Suk est la première à cloner un embryon humain pour la recherche scientifique en février 2004. Ces résultats ont été partiellement contestés en décembre 2005 par une étude indépendante, une partie des résultats ayant été falsifiée.
Après le Royaume-Uni en janvier 2001, le Corée du Sud a autorisé le clonage thérapeutique en décembre 2003. En février dernier, des scientifiques de la péninsule affirmaient être les premiers au monde à avoir réussi à cloner un embryon humain pour la recherche sur les cellules souches.
Le clonage végétal
De nouveaux individus au patrimoine génétique identique à celui du parent unique sont donc produits, souvent à partir des racines ou de la tige de la plante mère. Afin de bien distinguer ce type de reproduction de celui sexué, on le nomme parfois multiplication végétative.
Il y a 20 ans, le 5 Juillet 1996, naissait Dolly, la brebis mondialement connue, que des chercheurs écossais, Keith Campbell et Ian Wilmut, avaient obtenue par clonage. C'était une grande première : un mammifère naissait sans qu'il y ait eu fécondation d'un ovule par un spermatozoïde.
Le premier clonage réalisé avec des cellules adultes est réalisé par John Gurdon, en 1961 en Angleterre, en utilisant des cellules de l'intestin d'une autre grenouille appelée Xenopus.
Depuis, se sont succédé des souris, des vaches, des porcs, des chats, des lapins, des chevaux, des mouches, des chiens, des singes, des chèvres, et même un dromadaire et un daim. Plusieurs tentatives de clonages humains ont été réalisées, apparemment sans succès.
Aucun être humain n'a encore été cloné, même si certaines personnes essaient d'y parvenir. Le premier mammifère cloné a été la brebis Dolly, morte au début de 2003. Depuis, on a créé des clones de moutons, de vaches, de lapins, de cochons… Quand on clone un animal, on en réalise une copie.
Le clonage est un nouvel outil très utile pour étudier le développement précoce de l'embryon, ou la différenciation cellulaire et ses dérèglements, à l'origine des cancers.
Le 23 février 1997, le monde découvrait l'existence de la brebis Dolly, le premier mammifère cloné par l'homme. Elle avait vu le jour sept mois plus tôt, le 5 juillet 1996, en Ecosse, à l'initiative des chercheurs Ian Wilmut et Keith Campbell, au sein de l'institut de recherche Roslin.
Les clones sont devenus inutiles
L'Empire n'avait alors plus vraiment besoin de l'armée de clones et a stoppé leur production. Certains clones sont devenus des stormtroopers, mais leur utilité et leur valeur a vite décroît. L'Empire décida alors de les remplacer par des êtres humains, jugés plus efficaces.
« C'est impossible scientifiquement. On ne pourra jamais cloner de dinosaures car on ne retrouvera jamais de traces d'ADN de ces espèces », tranche Jean Le Loeuff, paléontologue et directeur du Musée des dinosaures à Espéraza (Aude).
Être vivant engendré par un parent unique, sans sexualité (c'est-à-dire par reproduction végétative ou asexuée) et par conséquent identique, d'un point de vue génétique, à son parent.
— L'utilisation du clonage pour reproduire des êtres humains «n'est pas acceptable sur le plan éthique car elle violerait certains des principes fondamentaux de la procréation médicalement assistée», selon le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, le Dr Hiroshi Nakajima.
Le clonage thérapeutique rencontre davantage de soutien, mais divise encore la communauté internationale. Il permettrait en particulier de guérir certaines maladies dégénératives, comme celles de Parkinson ou d'Alzheimer, et de procéder à des greffes sans risque de rejet du receveur.
Le clonage reproductif d'un humain est une mauvaise chose, car ce n'est pas naturel, de plus les clones ne seraient que des rats de laboratoire. Cependant le clonage thérapeutique d'un organe serait une bonne chose pour la médecine. Seulement, un clone humain entier serait une erreur, de plus ce serait très malsain.
Arguments contre le clonage : Le clonage provoque un véritable tollé dans le monde entier, car de nombreux problèmes d'ordre éthique viennent empêcher l'avancement de toutes recherches scientifiques. En effet, des points non négligeables du clonage sont clairement dénoncés, en plus de son inutilité mis en avant.
La limite scientifique se situerait plutôt dans l'âge des organes des clones : les clones ont en quelques sortes le « même âge » que leurs parents. Cela ne provoque pas le décès des animaux mais des douleurs intenses au niveau de certains organes et des articulations.