la liberté d'expression, redéfinie par la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) comme "la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontière" (article 10).
L'expression directe et collective des salariés a pour objet de définir les actions à mettre en oeuvre pour améliorer leurs conditions de travail, l'organisation de l'activité et la qualité de la production dans l'unité de travail à laquelle ils appartiennent et dans l'entreprise.
Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. Art.
Insultes, outrages et diffamation
La loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse sanctionne les propos écrits ou oraux tenus dans un cadre public. L'injure est une « expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait ».
La défense de la liberté d'expression a toujours été au cœur des activités d'Amnesty International.
la liberté de pensée, de conscience et de religion. le droit de vote et d'être candidat à des élections.
La liberté d'expression est un droit. Le droit d'exprimer librement ce que l'on pense. Ce droit est une liberté fondamentale proclamée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
La liberté d'expression ne doit pas être limité car elle est à l'origine et en lien avec toutes les autres libertés. Des lois ne peuvent pas la restreindre. Le combat pour la liberté commence souvent par le fait de défendre la liberté d'expression.
Ceux qui dépassent les limites de la liberté d'expression risquent des sanctions criminelles. Par exemple : Jusqu'à 2 ans de prison pour avoir encouragé la haine contre les membres d'un groupe. Jusqu'à 5 ans de prison pour avoir encouragé de tuer les membres d'un groupe (encourager un génocide).
Concrètement, cette liberté prend fin lorsque d'autres droits, comme celui à la dignité, sont bafoués. Cela peut par exemple s'appliquer à la négation des crimes contre l'humanité, tels que l'holocauste. Cela concerne aussi les appels à la haine contre des personnes ou des groupes de personnes, ce qui est punissable.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
La liberté de religion et de conscience sont en effet les premiers des droits de l'homme.
La première proclamation de la liberté d'expression date de 1776, date à laquelle les Etats-Unis adoptent leur Constitution. En France, la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789 reprendra ce droit fondamental, qui relève de valeurs aussi bien laïques que démocratiques.
Les principales limites à la liberté d'expression en France relèvent de deux catégories : la diffamation et l'injure, d'une part ; les propos appelant à la haine, qui rassemblent notamment l'apologie de crimes contre l'humanité, les propos antisémites, racistes ou homophobes, d'autre part.
Le droit d'expression permet aux salariés de s'exprimer individuellement au sein de réunions collectives consacrées aux conditions de travail. Autrement dit, il s'agit de la possibilité pour tout salarié de donner son point de vue sur les conditions d'exercice de son activité professionnelle.
Le groupe d'expression n'est pas une réunion de travail, c'est plutôt du travail en réunion. Dans ce temps de travail, sont élaborées des compétences inestimables, le sens du travail et les capacités sociales de l'agir professionnel.
Celle-ci est un droit défini dans la Déclaration universelle des droits de l'homme. Ainsi, chacun a le droit d'avoir son opinion, ses idées et de l'exprimer. Et pourtant, tout dire, tout écrire, tout montrer n'est pas automatiquement permis. La liberté d'expression peut être limitée par d'autres libertés.
La censure est la limitation arbitraire de la liberté d'expression par un pouvoir (étatique, religieux ou privé) sur des livres, médias ou diverses œuvres d'art, avant ou après leur diffusion (censure a priori et a posteriori) au public.
Le droit de chacun d'avoir une opinion, sans crainte d'ingérence, et le droit à la liberté d'expression sont enchâssés dans l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme, et sont réaffirmés dans l'article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
« Article 19 - Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »
Le principal désavantage de la liberté est que n'importe qui s'en empare sans fournir les efforts de réflexion et d'acquisition de connaissances préalables à son exercice éclairé.
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
La liberté permet, par exemple, à une personne de faire des choix. Ces choix peuvent être très simples, comme sélectionner une chanson que l'on a envie d'écouter. Il arrive aussi que ces choix soient plus complexes parce qu'ils impliquent des obligations.
La liberté vous donne l'occasion de ressembler à ce que vous voulez être. Ou faire ce que vous voulez faire - comme le modèle David. Parfois, vous vous sentez obligé de faire des choses ou d'adopter une apparence que vous n'aimez pas, mais la liberté signifie aussi la liberté de choisir et la liberté de dire non!
Chaque publication doit avoir un responsable de publication, dont le nom est indiqué dans les mentions légales (obligatoire). Elle ne doit pas porter atteinte ni aux droits d'autrui, ni à l'ordre public. Elle doit respecter la loi, principalement la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.