Le syndrome de la queue-de-cheval se produit lorsque les racines nerveuses de l'extrémité caudale de la moelle sont comprimées ou lésées, perturbant les voies motrices et sensorielles des membres inférieurs et de la vessie.
Le traitement du syndrome de la queue de cheval se fait en urgence par une intervention neurochirurgicale de décompression. Même si l'opération est réussie, plusieurs patients gardent des séquelles qui peuvent aller de l'incontinence à des difficultés à marcher ou à des difficultés sexuelles.
Le diagnostic de certitude du syndrome de la queue de cheval repose sur la réalisation d'un examen d'imagerie, généralement une IRM. Cet examen permet d'obtenir des images précises du corps, notamment la moelle épinière.
Cet article est extrait de l'ouvrage « Larousse Médical ». Faisceau de cordons nerveux situés dans la partie inférieure de la colonne vertébrale. (P.N.A.
Le syndrome de la queue-de-cheval se produit lorsque les racines nerveuses de l'extrémité caudale de la moelle sont comprimées ou lésées, perturbant les voies motrices et sensorielles des membres inférieurs et de la vessie. (Voir aussi Revue générale des affections de la moelle épinière.
Le syndrome de la queue de cheval est une atteinte des racines nerveuses du bas du dos. Il est caractérisé par des douleurs et l'apparition de troubles sensitifs, moteurs et génitosphinctériens. Il s'agit d'une urgence médicale qui nécessite une prise en charge immédiate afin d'éviter des séquelles irréversibles.
La douleur peut être ressentie comme un choc électrique qui irradie la zone affectée. Les muscles peuvent s'atrophier et/ou se contracter. Les muscles affectés peuvent être paralysés. La douleur peut être aggravée par le mouvement, y compris les mouvements du dos, la toux et les éternuements.
On recherche le signe de Lasègue : limitation de la flexion sur le bassin du membre inférieur étendu (mesure de l'angle 90°, 40°, O°), la douleur étant réveillée ou exacerbée. Existence de fourmillements ou de picotements ou de sensation anormale (paresthésies).
Comment couper la queue du cheval? En général on coupe la queue à hauteur de mi-canon ou un peu plus bas selon les goûts. On peut couper la queue droite ou en pinceau avec des ciseaux à crins.
Prise en charge du syndrome de la queue de cheval
La modalité diagnostique de choix est l'imagerie par résonance magnétique (IRM) du rachis lombo-sacré, avec recherche d'une compression nerveuse dans la région de la queue de cheval (fig. 3).
Afin d'éviter le syndrome de la queue morte, il est important de garder votre chien au chaud et au sec, par exemple en le séchant bien lorsqu'il s'est baigné ou promené longtemps sous la pluie. Si votre chien a pris froid, vous pouvez aussi essayer de le couvrir avec une couverture chauffante.
Son nom vient de la ressemblance entre l'aspect des cheveux ainsi rassemblés et celui de la queue du cheval, quand cette dernière n'est pas apprêtée.
Commencez par une queue de cheval classique, un peu haute. Puis prenez une petite mèche et enroulez-la autour de l'élastique. Faites tenir cette mèche en la coinçant discrètement dans l'élastique, sous la queue de cheval. L'élastique est ainsi complètement caché et le résultat est très naturel !
Résumé La rachianesthésie en selle réalise un bloc de la région périnéale obtenu en utilisant une faible dose d'anesthésique local en solution hyperbare et en maintenant le patient assis après injection.
Actuellement, la kinésithérapie est un traitement de référence pour lutter contre les douleurs sciatiques. Elle fait intervenir des techniques de massage et de mouvement spécifiques afin de libérer le nerf sciatique, renforcer la musculature de la colonne et commencer la rééducation.
Le plus souvent, il est conseillé de reprendre la marche dès que la douleur le permet. Ainsi, l'intensité de la douleur doit être supportable, et ne doit pas vous empêcher de marcher normalement sans boiter.
La douleur sciatique est souvent aggravée par la flexion ou la torsion de la colonne lombaire, la flexion de hanche, ou la toux. La plupart des cas de sciatique résultent d'une affection inflammatoire entraînant une irritation du nerf sciatique.
Les polyneuropathies qui correspondent à des atteintes multiples de nerfs périphériques sont réunies sous le terme de neuropathies de Charcot-Marie-Tooth, les atteintes des muscles squelettiques sous le terme de dystrophies musculaires.
La polynévrite est une maladie inflammatoire qui affecte l'extrémité des nerfs du système nerveux périphérique. Les causes sont multiples (diabète, alcoolisme, médicaments...) et son évolution est généralement lente. Environ 5 % de la population est touchée et sa fréquence augmente avec l'âge.
Le malade peut également ressentir des fourmillements, mais aussi une perte de sensibilité au niveau de la zone impactée. On peut également ressentir une perte de la force musculaire. Des troubles sphinctériens peuvent faire surface. Dans certains cas en revanche, la hernie discale peut être totalement asymptomatique.
Un rétrécissement au niveau du rachis cervical engendre des douleurs irradiant dans les épaules et les bras. Suivant le nerf affecté, une sensation d'engourdissement, un trouble des réflexes ou de la mobilité peuvent s'y ajouter.
La compression aiguë ou chronique de la moelle épinière provoque des déficits segmentaires, une paraparésie ou une quadriparésie, une hyporéflexie (lorsqu'elles sont aiguës) suivie d'une hyperréflexie ostéotendineuse, une réponse en extension du réflexe cutané plantaire, une hypotonie sphinctérienne (avec ...