Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
Une des règles du bouddhisme est également d'avoir sa propre identité, sa culture et même sa croyance. En effet, il faut éviter de suivre et d'envier les autres. En faisant cela, on peut être sûr de ne pas avoir une tranquillité d'esprit. De plus, on se met dans un état négatif tout en trahissant soi-même.
La sexualité est pour le bouddhiste un danger propre à plonger les êtres dans les affres de la passion et de la souffrance. Le bouddhisme n'impose pas de règles à la société humaine, ne cherchant nullement à légiférer ou à instituer une morale collective.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
évitez de mettre la statue dans les pièces d'eau : salle de bain, w.c qui sont des lieux de nudité. évitez également les chambres à coucher, lieu de nudité. Selon la culture bouddhique et chinoise, dormir avec avec une statue telle qu'elle soit, tournée vers le lit est synonyme de malchance.
Le bouddhisme prône la réincarnation, c'est à dire le passage de l'âme du défunt dans un nouveau corps. À ce titre, le moment de la mort et les cérémonies funèbres qui lui succèdent sont essentiels, pour favoriser ce processus qui repose sur trois stades : l'agonie, le positionnement du corps, l'enterrement.
En tant que chef spirituel de la communauté bouddhiste tibétaine, le dalaï-lama représente toutes les écoles (non seulement celle des « gélugpa » à laquelle il appartient traditionnellement, mais aussi les écoles Kagyüpa, Sakyapa et Nyingmapa).
Dans la tradition religieuse tibétaine, le dalaï-lama est l'incarnation physique du Bodhisattva de la compassion, le Bouddha en devenir. Le titre de dalaï-lama existe depuis le 14e siècle et celui qui le détient est le chef spirituel et temporel des Tibétains.
La vie des femmes dans l'ère culturelle bouddhiste traditionnelle est généralement divisée en trois temps : celui de l'enfance, celui de l'épouse, et celui de la mère de famille. Aux seuils de ces trois temps se trouvent la naissance, le mariage et la maternité.
Ils sont présents comme porte-bonheur, pour attirer la prospérité dans les lieux. Ainsi, dans la maison, le bouddha apporte la sérénité. Dans la chambre, une statue est parfaite pour vous accompagner vers un sommeil tranquille. Les gestes des mains ont une importance particulière.
Ceci vient du fait que Bouddha n'est pas un dieu, le nirvana (l'objectif bouddhiste) n'est pas un paradis, et Bouddha ne peut sauver qui que ce soit à travers la religion parce qu'il n'y a pas d'âme à sauver. Le but ultime est de se libérer du cycle de la souffrance (samsara).
Dans le bouddhisme, les symboles sont la conque, le parasol, les poissons, l'urne, la roue, la bannière, le lotus, le nœud. Ils furent offerts par les devas au Bouddha lors de sa naissance en reconnaissance de sa « royauté ».
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
Le bouddhisme est une voie individuelle dont le but est l'éveil, par l'extinction du désir égotique et de l'illusion, causes de la souffrance de l'homme. L'éveil est une base à l'action altruiste.
Avant tout, Bouddha était un homme, une personne physique, vivant dans une communauté et ayant eu une famille. Ce n'est qu'après avoir été éveillé qu'il a perdu l'aspect ordinaire d'un être humain, c'est-à-dire qu'il était un homme éveillé et un homme qui avait reçu une divinité finale.
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
"Dans le bouddhisme, les cheveux sont un masque. Et les raser permet de se montrer tel que l'on est à la face du monde. C'est également un signe de renoncement au monde matériel."
Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir. Cela laisse tout de même tous les autres produits issus de la nature à l'exception des alliacés (ail, oignons, etc) considérés comme impurs.
Dans la plupart des pays d'Asie, les robes safran des moine bouddhistes sont depuis des siècles réservées aux hommes. Autrefois pourtant, le statut de moine était ouvert aux deux sexes : les hommes devenaient bhikkhus et les femmes bhikkhunnis.
Dans le bouddhisme, ces joyaux sont le Bouddha historique Shakyamuni, le Dharma (l'ensemble des enseignements du Bouddha et des bodhisattvas et des patriarches), et le Sangha composé des quatre catégories d'êtres nobles et des laïcs (upasika).
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
Durant 49 jours après le décès, soit le temps pour que le défunt puisse renaître sous une nouvelle forme, les bouddhistes font des rituels tous les sept jours, dont des prières et des offrandes. Les bouddhistes vont plutôt dans les stupas, qui sont les lieux de prière et de commémoration.