(Néologisme) Fin d'un chapitre ou d'un livre (par exemple, le dernier chapitre, ou les dernières phrases, etc).
La fonction essentielle d'un excipit est de donner un sentiment d'achèvement au lecteur. Il s'agit le plus souvent de sceller le sort des personnages ; mais l'aboutissement peut aussi être d'ordre idéologique avec une conclusion morale, philosophique ou politique.
Dérivé de l'expression latine explicit liber qui signifie « le livre est déployé, achevé », l'explicit désigne les dernières pages d'un récit permettant de parvenir à la résolution ou non de l'intrigue.
L'incipit constitue le tout début d'un récit (roman ou nouvelle). C'est le moment où le cadre de l'histoire se met en place. L'explicit désigne, à la fin du récit, le moment où l'histoire se termine. L'incipit et l'explicit sont des moments clés de la narration.
Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= commencer. L'incipit sert à désigner le début d'un roman. On peut dégager plusieurs fonctions : Fonction n°1 : il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte.
L'incipit d'une œuvre romanesque constitue un enjeu majeur du pacte de lecture : il a pour fonction de programmer la suite du texte, en définissant le genre, le point de vue adopté par le narrateur, les personnages, etc. , mais surtout, il doit donner envie de lire la suite.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
On appelle « excipit » les dernières lignes d'un récit, roman ou nouvelle. L'excipit, dont la longueur est variable (on peut parler de la dernière phrase d'un récit, ou alors d'un ou plusieurs paragraphes) constitue un enjeu majeur, car il marque la résolution – ou non de l'intrigue.
Pour information, on appellera début in ultima res, un récit commençant par la fin de l'histoire. Un début in medias voire ultima res est généralement suivi d'un retour en arrière (on dit également analepse ou encore flash-back).
Ces premières phrases, également appelées des incipit, sont essentielles. Elles servent à capter l'attention du lecteur et lui donnent envie de continuer sa lecture… ou pas. On parle souvent de la phobie de la page blanche mais il peut être encore plus difficile de trouver comment commencer son roman.
Qui est énoncé complètement et ne peut prêter à aucune contestation : Un texte de loi explicite. 2. Qui s'exprime complètement et clairement sans laisser place à l'ambiguïté : Je serai explicite : vous êtes un incapable.
L'explicit sans conclusion : soit le lecteur est censé conclure lui-même (il n'y a pas de fin précise), soit il y a un épilogue dans lequel l'auteur explique l'avenir du personnage.
L'incipit d'un roman, ce sont les mots par lesquels il s'ouvre. Autrement dit, c'est le début du livre. Le mot incipit est un terme latin, c'est une forme du verbe incipio, is, ere qui signifie « débuter, commencer ».
Prolepse : C'est une figure de style, qui consiste à anticiper le futur, à se projeter dans l'avenir. Exemple : J'aurai mon bac l'année prochaine. Analepse : C'est une figure de style contraire à l'analepse. On fait un retour en arrière, un flash-back (terme de cinéma).
Premiers mots ou premières notes d'un ouvrage vocal ou instrumental. 3. Premiers mots d'un document ecclésiastique, d'une bulle, d'une encyclique, et par lesquels on désigne ce document.
La lecture de l'incipit doit d'emblée aiguiller le lecteur sur le genre ou le sous-genre de l'œuvre qu'il lit (roman, nouvelle, conte, roman policier, roman d'éducation…), mais aussi sur les choix narratifs établis par l'auteur (narrateur externe, interne, omniscient, registre de langue…)
Globalement, un roman se décompose en trois étapes : l'incipit, le déroulement du récit et l'excipit. L'incipit inaugure le roman, il permet sa mise en place. Le déroulement du récit s'articule en une ou plusieurs intrigues qui progressent, parfois avec des digressions et des va-et-vients temporels.
Le prologue est une narration séparée du texte principal qui permet de le replacer dans son contexte. Le prologue correspond, pour faire court, au « Il était une fois… » des contes. Par ailleurs, il a nécessairement un pendant : c'est-à- dire un épilogue, qu'on trouve tout à la fin.
A quoi sert un prologue ? Dans un roman de science-fiction ou de fantasy par exemple, un prologue peut permettre de fournir aux lecteurs des éléments de base pour comprendre le décor et la culture d'un univers particulier avant que l'histoire ne commence.
Parce que c'est le texte le plus détaché du récit, la préface lui succède, et le prologue suit. Le prologue, faisant pour ainsi dire partie de la narration est placé dans la plupart des cas juste avant le roman ou la pièce.
L'épilogue est donc un chapitre supplémentaire, qui vient s'ajouter après la fin de l'histoire. Il y a un autre endroit du livre où l'on peut ajouter un chapitre supplémentaire, qui apporte des informations sur l'histoire sans faire complètement partie de celle-ci.
Dernière partie, conclusion d'un discours, d'un poème, d'un ouvrage dramatique ou romanesque, contenant par exemple la récapitulation des principaux points d'une argumentation ou le récit des événements postérieurs à l'action principale. Anton. prologue.
L'épilogue doit être un plaisir, un sursaut, un réveil, et surtout pas une conclusion soporifique que le lecteur primaire pourrait faire seul. Mieux, elle il doit pouvoir ouvrir un champ de reflexion au lecteur, reflexion qui se confronte à celle de l'auteur, ouvrant ainsi un débat avec de possibles divergences.