Le temps de déplacement professionnel pour se rendre sur le lieu d'exécution du contrat de travail n'est pas un temps de travail effectif. Toutefois, s'il dépasse le temps normal de trajet entre le domicile et le lieu habituel de travail, il doit faire l'objet d'une contrepartie, comme indiqué ci-dessous.
Le temps de trajet entre le domicile et le lieu de travail habituel du salarié n'est pas considéré comme du temps de travail effectif. Ainsi, aucune compensation salariale ou majoration pour heures supplémentaires n'est imposée à l'employeur.
Le temps de trajet domicile/travail n'est pas compté comme temps de travail effectif. La loi prévoit une contrepartie pour le salarié sous forme de repos, si ce temps de trajet est majoré du fait d'un handicap.
Temps de restauration et temps de pause
Le temps nécessaire à la restauration ainsi que les temps consacrés aux pauses sont considérés comme du temps de travail effectif lorsque le salarié est : à la disposition de l'employeur et se conforme à ses directives. sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles ...
Sauf dispositions conventionnelles plus favorables, les périodes non prises en compte sont notamment les suivantes : Arrêt de travail pour maladie. Grève. Congé parental à temps plein.
Certaines périodes non travaillées, qu'elles soient ou non rémunérées, sont néanmoins assimilées à du temps de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés. Cette assimilation n'a aucune incidence sur le décompte de la durée du travail duquel elles sont bien entendu exclues.
Terme de palais . Tant en présence qu'en absence.
Tout heure commencée n'est pas due !!!! Donc de 7h45 a 17h15 cela fait 9h50, vous payez pour 9h50 d'accueil. Tout autre demande de sa part est illégale, il n'y a rien qui autorise de faire payer plus dans la convention collective. Si vous arrivez avec 10mn d'avance le matin, vous payez 10mn...
L'absence pour maladie n'est en principe pas prise en compte pour calculer l'ancienneté Le Code du travail ne donne pas de définition de l'ancienneté professionnelle.
Arrêt de travail pour accident ou maladie professionnelle
L'ancienneté est prise en compte en totalité pour le calcul de l'indemnité de licenciement dans les situations suivantes : Accident du travail. Maladie professionnelle.
Oui, toute absence, quel qu'en soit le motif, réduit le nombre de jours de RTT. En effet, l'acquisition de jours de RTT est liée à l'accomplissement effectif de durées de travail hebdomadaires supérieures à 35 heures (hors heures supplémentaires).
Le salarié malade avant le départ en congés a droit au report de ses congés payés après la date de reprise du travail. Les congés payés acquis non pris ne sont donc pas perdus.
Dans certains cas – si par exemple une continuité de service ou de production doit être assurée –, un accord d'entreprise peut même permettre de réduire à neuf heures le repos quotidien. Les salariés pourront alors travailler jusqu'à quinze heures par jour, en toute légalité.
Vous ne pouvez pas exercer une autre activité pouvant concurrencer celle de votre employeur. Le cumul peut être interdit par dispositions conventionnelles : Convention collective, accord collectif, accord de branche, d'entreprise ou d'établissement applicables en droit du travail.
Durée minimale continue de travail par jour : La période minimale de travail continu est de 2 heures, ramenée à 1 heure pour les “ emplois étudiants ” (emplois occasionnels).
Les heures supplémentaires sont effectuées à la demande (écrite ou orale) de l'employeur. le salarié ne peut pas être sanctionné s'il refuse exceptionnellement d'effectuer des heures supplémentaires demandées par l'employeur parce qu'il n'a pas été prévenu suffisamment tôt. L'accord de l'employeur peut être implicite.
Oui, car c'est une prérogative de l'employeur
Le salarié est donc en principe obligé d'effectuer ces heures supplémentaires. Il existe un seuil annuel d'heures supplémentaires, nommé contingent annuel, fixé par la loi à 220 heures supplémentaires par an ou à un seuil inférieur par la convention ou l'accord collectif.
Le nombre d'heures supplémentaires est toutefois limité à 25 heures par agent et par mois (le travail le dimanche, le travail de nuit, c'est-à-dire entre 20 heures et 7 heures et les jours fériés sont inclus).
La justification du nombre d'heures réellement accomplies par le salarié peut se faire par tout moyen. Au premier rang des preuves figurent les relevés journaliers et hebdomadaires que le salarié a lui-même remplis ou les fiches de pointage et les listings récapitulatifs.
Un employé travaille de 5h00 à 13h00. Ceci est la plage horaire de travail effectif.
Par exemple : si un salarié travaille 9h par jour, pendant 5 jours sur 1 semaine, il a effectué (9h x 5 jours = 45h) 45h de travail effectif. Par conséquent il a effectué (45h - 35h = 10h) 10 heures supplémentaires.
L'interruption de travail peut être justifiée par un congé exceptionnel (décès, maladie de votre enfant), validé par votre employeur, ou par une maladie. Si vous souhaitez prendre un congé payé, vous devez obtenir l'autorisation préalable de votre employeur.
On peut citer notamment : le congé de solidarité familiale, le congé de solidarité internationale, le congé pour création d'entreprise, le congé sabbatique ou encore le congé sans solde. En cas d'absence injustifiée, l'employeur peut procéder à une retenue sur salaire.
En cas d'activité accrue ou pour des motifs liés à l'organisation de l'entreprise, la durée maximale quotidienne de travail est limitée à 12 heures par jour de travail effectif.