Dans nombre de cas, les cancers et leucémies de l'enfant apparaissent être liés au benzène, à certains autres Composés Organiques Volatils (COV) ou encore à d'autres produits, tels que certains pesticides à usage domestique (biocides), comme le montrent plusieurs études épidémiologiques récentes.
Une saine alimentation
L'alimentation est primordiale comme outil de prévention. Par exemple, le fait de manger des fruits et légumes en abondance pourrait contribuer à réduire le risque à vie de souffrir de certains types de cancer (et d'autres maladies).
Les causes les plus importantes de cancer
Le tabac : 20% des cas de cancers. L'alimentation et le surpoids et l'obésité : 10.8% des cas. L'alcool : 8% des cas. Les infections virales et bactériennes : 4% des cas.
Ces symptômes peuvent être une pâleur, de la fatigue, de la fièvre, une perte de l'appétit, des douleurs osseuses ou articulaires, des hématomes, des douleurs abdominales, des maux de tête, un déficit visuel, des troubles de la marche, des chutes, un torticolis, des vomissements répétés…
Les leucémies, les tumeurs du système nerveux central et les lymphomes sont les principales pathologies cancéreuses rencontrées chez les moins de 15 ans.
Ne pas ignorer les signes d'alerte
Avant tout, il faut consulter devant tout phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Le cancer ne touche pas que des adultes ; des enfants peuvent également être concernés.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
Taux de survie compris entre 20 % et 80 % : Cancer du côlon-rectum, de la bouche et pharynx, de la vessie, du rein, de l'estomac, du col de l'utérus, des ovaires, du larynx, ainsi que lymphomes non hodgkiniens et les leucémies aiguës.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Une enquête démontre qu'il n'y a pas de lien de cause à effet entre un choc psychique et l'apparition d'une tumeur. Une femme qui développe un cancer peu de temps après avoir perdu son mari ou un enfant, beaucoup de gens y voient un lien de cause à effet.
Le cancer de l'enfant est associé à un ensemble de symptômes annonciateurs (fièvre, céphalées sévères et persistantes, douleurs osseuses et perte de poids) que les familles et les prestataires de soins de santé primaires formés peuvent repérer [6]. Le dépistage n'est généralement pas utile pour les cancers de l'enfant.
Une leucémie peut être suspectée suite à une simple prise de sang, lorsque la numération formule sanguine (NFS) est anormale : l'analyse sanguine montre alors une baisse du nombre de globules rouges, de plaquettes et de polynucléaires.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases* touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps. Ce sont les conséquences de la tumeur et ses effets sur le corps qui produisent des douleurs. L'apparition de douleurs dépend de la localisation de la tumeur.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.
Les cancers sont généralement classés en 3 catégories, à savoir les carcinomes, les sarcomes et les tumeurs hématopoïétiques : Le carcinome : les cellules cancéreuses se développent dans les tissus qui recouvrent les organes. Les tissus externes (l'épiderme) peuvent aussi être touchés.
Les cancers les plus fréquents chez les jeunes sont les cancers du sang (leucémie, lymphome) et les cancers du cerveau (tumeur cérébrale). Parallèlement à ces tumeurs on retrouve avant 5 ans des tumeurs solides plus fréquentes tels que le neuroblastome et le néphroblastome, les sarcomes restant rares.
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
Le Pr Dominique Marananchi rappelle que les cancers diagnostiqués lors d'un dépistage sont ceux qui se guérissent le mieux. Les cancers de la prostate, du sein, du testicule, de la thyroïde, et le mélanome ont le meilleur pronostic. La survie à cinq ans est supérieure ou égale à 80%.