1. Définition. Un besoin est un sentiment de privation, de manque, parallèle à la notion de désir, que l'individu cherche à faire disparaître par la consommation d'un bien. C'est une demande exprimée ou latente, d'ordre individuel ou collectif.
Sentiment de manque que la personne cherche à effacer par la consommation d'un bien ou d'un service.
La définition et l'expression des besoins primaires dépendent directement de la personne elle-même, ainsi que de la situation concrète, du temps et de l'environnement où elle se trouve.
Nous pouvons identifier des besoins dans 3 domaines : physiques, psychologiques et existentiels.
La définition physiologique du besoin
Plusieurs théories expliquent l'apparition des besoins physiologiques (la faim, la soif, la copulation, le sommeil...) et des comportements associés à ces derniers. Par exemple, le besoin de se nourrir est introduit par des contractions de l'estomac qui traduisent la faim.
Le besoin naît d'un manque. Au lieu de chercher à créer à un besoin donc, mieux vaut chercher à le révéler, à travailler sur la nature de l'insatisfaction du client. De ce travail de révélation de l'insatisfaction client émanera alors une réponse adaptée de la part de l'entreprise.
Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi.
-La définition d'un bien : c'est toute chose qui permet de satisfaire un besoin, donc pour tout bien correspond au préalable un besoin, il est donc utile.
L'économie naît de l'existence de besoins. On distingue : les besoins primaires : ceux dont la satisfaction est indispensable à notre survie, comme manger, boire, dormir, se loger, se vêtir ; les besoins secondaires : ceux dont la satisfaction contribue à notre bien-être sans être indispensable à notre survie.
Un bien est ce que l'on possède, que ce soit sous forme d'argent, de meubles, d'immeubles, de capital. En économie, un bien est quelque chose pouvant faire l'objet d'une appropriation par un individu, et sur laquelle un droit de propriété est donc applicable.
La rareté est l'expression du déséquilibre plus ou moins grand entre des besoins et des ressources produites en faible quantité et insuffisante pour les satisfaire. Elle est relative, variant selon les lieux et les époques.
L'objet est de caractériser (qualifier et quantifier) le besoin exprimé par un client potentiel : le besoin caractérisé est appelé « prestation ». Il s'agit de modéliser une expression invérifiable « je veux être content » par une grandeur mesurable.
On peut résumer cette différence en expliquant que le besoin est une obligation et que l'attente est plutôt un souhait. Par exemple, lorsque l'on achète un véhicule automobile, disposer d'un système de freinage est un besoin, mais l'option des sièges chauffants répond plutôt à une attente.
Ils incluent les éléments indispensables à la survie : respirer, boire, manger, éliminer, se protéger du froid et de la chaleur, être en sécurité, dormir. Plus généralement, on parle de besoins vitaux.
Pour satisfaire un besoin, il est nécessaire d'agir. L'individu et le temps étant étroitement liés dans l'action qui se vit au présent, le temps apparaît comme un objet d'étude incontournable pour envisager les moyens de les satisfaire autrement.
L'homme a besoin de comprendre pour gérer efficacement la demande. Il a besoin de se sentir utile et compétent. Un mode de communication clair permet à l'homme de bien nous comprendre et de ne pas se sentir impuissant face à nos remarques ou nos questions qu'il va forcément mal interpréter.
La satisfaction de ces besoins sur le long terme permet à l'individu de s'ouvrir aux autres et de se projeter dans l'avenir. Se sentant en sécurité, il est motivé à expérimenter de nouvelles activités de socialisation et d'expression pour satisfaire des besoins supérieurs.
Nous ne pouvons satisfaire la plupart de nos besoins qu'à la condition de nous donner une peine, laquelle peut être considérée comme une souffrance. Il en est de même de l'acte par lequel, exerçant un noble empire sur nos appétits, nous nous imposons une privation.
L'économiste définit la rareté comme une situation où les besoins et les désirs dépassent les ressources dont on dispose pour les satisfaire. [...] Nos besoins et nos désirs ne font pas que dépasser les ressources existantes : en fait, ils sont illimités, face à des ressources qui, elles, sont limitées ou finies.
Manger, boire, éliminer, se reposer, dormir, respirer, être confortable, avoir une vie sexuelle, et, etc.