Contrairement au collectionneur, le syllogomane accumule les choses d'une manière désorganisée et il a des difficultés à se séparer d'objets de peu de valeur.
A l'origine, cela relève de l'évolution. Il y a dans le cerveau humain une pulsion d'accumulation qui nous a permis de survivre. C'était un rempart contre la mort, la famine, et le froid. Ensuite, les publicitaires dans les années 1930 et 1940 ont compris que c'était un bouton qu'on pouvait titiller dans notre cerveau.
La syllogomanie est un trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets. Une personne syllogomane accumule une grande quantité d'objets, même si ces derniers sont inutiles, encombrants, insalubres et/ou dangereux.
La syllogomanie : Les personnes atteintes du syndrome de Diogène ont en général un rapport aux objets peu communs, se manifestant le plus souvent par l'accumulation ceux-ci soit parfaitement rangés, soit dans un désordre total, entraînant par la même occasion l'insalubrité de l'habitat.
Il s'agit tout d'abord d'engager avec lui la conversation à ce sujet. Demandez lui comment il se sent et s'il se plaît dans son environnement de vie. Chaque cas est différent. Mais bien souvent, les entasseurs compulsifs souffrent d'un certain désemparement face à la situation.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
Devenir fou, c'est perdre le contrôle, se sentir débordé par une forte inquiétude pour les siens, pour soi-même à ne plus en dormir. L'important c'est d'arrêter la machine à temps.
Les raisons récurrentes invoquées pour expliquer le comportement qui consiste à “tout” garder sont : La peur d'en avoir besoin un jour (“ça peut toujours servir”). L'objet rassure et permet de ne pas manquer. L'objet permet donc de nourrir un besoin de contrôler le futur.
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
La difficulté à jeter se traduit à divers degrés : un comportement plus ou moins lié à de la procrastination ou tout simplement une très mauvaise gestion de son quotidien jusqu'à un comportement pathologique nommé syllogomanie, ou le syndrome de Diogène pour des personnes qui s'entourent de telles quantités d'objets ...
La technique du cintre : Trop dur de trier les vêtements ? Cette méthode bien connue des minimalistes pourrait vous aider : retournez tous vos cintres (crochets vers l'intérieur de la penderie) et remettez à l'endroit ceux des vêtements portés et lavés que vous rangez.
Syllogomanie : pourquoi je ne jette jamais rien ? Faire place nette peut être un crève-coeur pour certaines personnes. Mais la syllogomanie ne doit pas être prise à la légère. Ses conséquences peuvent être lourdes sur la santé mentale.
L'achat compulsif est souvent associé à une difficulté de gestion des émotions comme celle de la colère, la culpabilité, l'anxiété, la frustration, le découragement, un manque de plaisir ou encore un manque non-identifié.
Le syndrome de Noé, en anglais Animal Hoarding, est un terme qui désigne le fait d'accumuler chez soi plusieurs animaux alors que l'on ne peut les héberger, les nourrir et les soigner correctement.
Ce n'est pas un hasard si les désordonnés le sont souvent depuis l'adolescence : l'âge des rebellions, du refus des consignes et surtout des tâtonnements pour trouver – et imposer – une façon d'être bien à soi, qui ne soit pas dictée par les parents ou la société.
Qui peut être touché par le syndrome de Diogène? Dans la plupart des cas, cette pathologie concerne principalement les personnes âgées de 70 à 80 ans, et qui vivent seules. La gent féminine est plus touchée que les hommes. La raison est que l'espérance de vie de la femme est plus longue que celle de l'homme.
Un fou qui pense qu'il est fou est pour cette raison même un sage. Le fou qui pense qu'il est un sage est appelé vraiment un fou. Cette phrase de Bouddha contient 28 mots. Il s'agit d'une citation de longueur normale.
adjectif. Qui persévère ; qui a de la persévérance. ➙ obstiné, opiniâtre, patient.
Lorsque l'on ouvre le Larousse, le premier sens de la folie est la démence, le dérèglement mental. Où se situe la frontière entre le comportement d'une personne marginale ou particulièrement exubérante et des troubles mentaux réels ? Les normes comportementales acceptables ne sont pas toujours faciles à définir.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
On dit qu'une personne est lunatique lorsqu'elle change brusquement et fréquemment d'humeur et de caractère. Il faut néanmoins distinguer ce comportement en dents de scie (sautes d'humeur) des véritables troubles bipolaires (ex-troubles maniaco-dépressifs) qui sont des troubles psychiatriques reconnus.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.