Un bon dialogue est aussi un dialogue dynamique, dont chaque réplique paraît rebondir comme une petite balle… sans donner pour autant l'impression d'un procédé ! Pas facile… une seule chose à faire pour y arriver : s'entraîner, s'entraîner et s'entraîner encore.
Le dialogue apporte quelque chose en plus au récit, il ne doit pas faire double-emploi. Evitez de « parler pour ne rien dire ». Si vos personnages s'expriment, ils le font pour une bonne raison : exprimer un sentiment, délivrer une information à un interlocuteur, sous-entendre un propos… Visez la concision.
Dans un dialogue, le narrateur choisit de faire entendre les paroles des personnages, mot pour mot, comme si on les avait enregistrées ; on parle de discours direct. Ce n'est plus lui qui parle mais les personnages ; il y a donc un changement de situation d'énonciation.
Le dialogue est généralement annoncé par un guillemet ouvrant au début de la première réplique. Chaque changement d'interlocuteur est ensuite précédé d'un tiret. Le dialogue se termine par un guillemet fermant après la dernière réplique. Il est présenté avec ou sans alinéas.
Manifester les sentiments du personnage
Alors qu'il est plus efficace de faire passer le sentiment dans les mots mots eux-mêmes, ou dans une phrase qui montre l'attitude du personnage. Quelqu'un de furieux pourra par exemple froncer les sourcils, serrer le poing, taper sur un objet…
Les principaux verbes introducteurs de pensée ou de parole sont : « dire », « déclarer », « demander », « murmurer », « parler », « appeler », « crier », « questionner », « s'exclamer », « déclamer ». Claire dit : « J'aimerais que tu viennes, cela me ferait plaisir. »
L'objectif principal du dialogue n'est pas l'entente, mais la compréhension mutuelle. Avant d'entreprendre une initiative visant à encourager les groupes en conflit à entamer un dialogue, vous devez vous assurer que celle-ci n'exacerbera pas les tensions.
« Qu'est-ce qui vous amène dans notre boutique aujourd'hui ? » et « Comment puis-je vous aider ? » sont deux exemples de questions ouvertes qui fonctionnent très bien pour poursuivre la conversation. Les questions ouvertes inciteront le client à discuter avec vous contrairement aux questions fermées.
Dans les dialogues, les personnages s'expliquent, discutent, échangent des informations. Ainsi, ils font avancer l'action. Le dialogue est donc une autre façon pour le narrateur de continuer son récit.
Le dialogue social permet de créer un terrain d'entente et d'échange pour l'ensemble des acteurs de la politique économique et sociale. Chaque représentant est un rouage primordial de ce système pour une prise de décision commune, servant les intérêts du plus grand nombre.
introduire le dialogue par un verbe introducteur de parole suivi de deux points ; ouvrir le dialogue par des guillemets ; aller à la ligne chaque fois qu'un personnage différent prend la parole et placer un tiret devant ; fermer le dialogue par des guillemets après la dernière parole rapportée.
Le dialogue social permet ainsi de créer un cadre stable au sein d'une société, mais également de renforcer la cohésion d'équipe. La résolution de tous types de problématiques sera ainsi nettement facilitée.
Le temps de base du discours est le présent, accompagné surtout du passé composé et du futur simple ou périphrastique (Je vais vous raconter comment...) ; on peut y trouver tous les autres temps sauf le passé simple. Le discours ne perd jamais le contact avec le temps de référence que constitue l'énonciation.
Le verbe introducteur sert à introduire un acte de parole, à rapporter des paroles dans un récit. Il précède ou suit une réplique dans un dialogue. Le verbe « dire » comporte plusieurs significations.
Un dialogue est souvent précédé par une phrase du récit qui l'annonce, grâce à un verbe de parole. Le verbe « dire » est le plus courant : mieux vaut l'éviter et choisir un synonyme plus précis. Exemples : « Dire pour donner un ordre » → « exiger, ordonner, imposer ».
Le dialogue n'est pas une conversation : une conversation est un enchainement de discours entrecoupés et non reliés entre eux pour produire un raisonnement commun entre les participants. Un dialogue consiste en un examen croisé de différentes paroles, qui toutes engagent leur auteur.
Dialoguer c'est explorer l'avis de l'autre en le questionnant : "qu'est ce qui vous pousse à dire ça?" Le dialogue est par essence divergent. Son but n'est pas de mettre les gens d'accord mais de mieux comprendre les enjeux complexes. DISCUTER c'est présenter et défendre des opinions différentes.
Pour restituer un texte, qui n'est pas le sien, il s'agit de mettre en travail les rimes, le rythme, la langue, pour jouer avec les mots et s'approprier des formes de langue produites par autrui. Les élèves font connaissance avec le texte, ils s'en imprègnent, le comprennent et le mémorisent en restituant le texte.
Vous pouvez démarrer la conversation avec une formule de politesse ou une question au lieu de chercher à dire quelque chose « d'intelligent ». Posez des questions ouvertes, votre interlocuteur ne peut pas y répondre avec un simple mot. Lorsque vous parlez à quelqu'un, souriez et ayez un langage corporel positif.