Un drone est un engin volant sans passagers, piloté à distance. Si vous souhaitez piloter un drone pour le loisir ou, plus généralement, pour effectuer un vol à faible risque, vous devez respecter la réglementation sur les vols en catégorie ouverte.
Auparavant, seuls les professionnels devaient détenir un brevet de pilote d'ULM pour pouvoir piloter un drone. Désormais, tous les télépilotes d'aéronefs de plus de 14 ans, faisant voler un drone loisir de masse supérieure ou égale à 800 g, doivent justifier d'une attestation de suivi de formation.
Selon la caméra embarquée, un drone peut réaliser tous types de prise de vue aérienne, il permet de photographier ou filmer en full HD ou 4K, aussi bien un paysage, une ville ou un village, différents bâtiments ou monuments, un mariage ou autres événements, contrôler ou inspecter des ouvrages d'arts ou autres, etc.
Le drone est le meilleur outil pour obtenir des angles de vues insolites et spectaculaires. Le drone permet de voler à basse altitude et dans des endroits exigüs jusqu'alors difficiles d'accès.
A cette question beaucoup répondront : 150 mètres. C'est l'altitude maximale réglementaire établie par la direction générale de l'aviation civile.
Drones non marqués entre 250g et 500g
Vous devez vous enregistrer en tant qu'exploitant. La formation « Formation loisirs (DGAC) » (formation « Fox AlphaTango ») est obligatoire. Jusqu'au 31 décembre 2023, Le vol près des personnes est autorisé (pas de survol sauf accidentel) (Sous-catégorie A1 limitée)
Chaque utilisateur de drone a accès à un éventail de lieux pour assouvir son désir de pilotage. Le jardin en fait partie, si bien qu'il ne soit pas public. En effet, la réglementation autorise pleinement la pratique du drone dans un espace personnel, pour peu que la zone ne soit pas soumise à des restrictions de vol.
Le tir avec une arme en général est interdit en France dans l'espace public ou privé (sauf cas exceptionnels) tout comme d'autres excès de violence. Tirer sur un drone est donc interdit et n'est pas la bonne attitude à adopter.
Par exemple, le vol de drones est interdit au-dessus de certains sites sensibles ou protégés (centrales nucléaires, terrains militaires, monuments historiques, prisons, réserves naturelles et parcs nationaux... ).
Vous avez l'obligation de déclarer votre drone auprès de l'état français. Pas d'inquiétude, nous vous expliquons comment procéder ! Depuis janvier 2021, les particuliers pratiquant le drone de loisir doivent enregistrer leur aéronef si ce dernier pèse plus de 250 g, mais moins de 25 kilos.
Aucune personne ne peut être filmée sans donner explicitement son autorisation. Cela s'applique qu'il y ait ou non usage commercial. Il en est de même d'une propriété privée. À titre d'exemple, beaucoup de monuments historiques ou d'ouvrages d'art, même construits dans l'espace public, sont bel et bien sous ce statut.
En effet, les hélices sont dangereuses et peuvent blesser en cas de perte de contrôle de l'appareil. Le pilotage de drone caméra est également formellement proscrit en agglomération. Il vous sera donc impossible de le radiocommander dans les parcs, les plages, les stades ou tout autre espace public.
à partir du 01 janvier 2023, la réglementation évolue encore pour faire place à encore plus de restrictions pour les particuliers. Pour un drone de plus de 250 grammes, Il sera interdit de survoler des personnes et de voler à 150 mètres minimum des zones résidentielles, commerciales, industrielles et récréatives.
Le drone doit voler à basse altitude et plus précisément ne pas dépasser les 150 mètres de hauteur afin de préserver la sécurité aérienne. En effet, au-delà de 150 m, le drone rentrerait dans l'espace aérien des aéronefs habités. Le drone ne peut survoler des zones urbaines, des parcs, des plages ou encore des stades.
(1) Peut-on survoler des personnes avec un drone ? OUI, MAIS uniquement avec des appareils de moins de 250 grammes… Pour les appareils sans indication de classe de moins de 250 grammes, mis sur le marché avant le 1er juillet 2022, le survol de personnes est autorisé, sans restrictions et sans limitation de date.
En deuxième lieu, vous avez la possibilité de porter plainte au commissariat et de signaler les faits à la direction régionale de l'aviation civile. Cette dernière pourra alors vérifier si le drone en question dispose des autorisations nécessaires pour survoler votre habitation.
Mais si la question est : est-ce difficile de piloter un drone, la réponse est également non. Autrement dit, tout est histoire d'entraînement, d'essais, mais aussi de respect des consignes et des réglementations DGAC en vigueur.
Un drone pour débuter coûte entre 50 et 160 euros. Un drone avec fonction plus avancées, batteries à plus grande autonomie et portée de communication plus grande coûte quelques centaines d'euros. Un drone plus complet avec fonctions programmable, caméra HD et complètement autonome démarre à 1000 euros.
Lorsqu'un drone hostile est identifié, la solution utilise alors son dispositif de brouillage intégré, qui peut fonctionner de manière directionnelle ou omnidirectionnelle, pour neutraliser la menace.
Un vol de drone est considéré de nuit si on se situe entre 30 minutes après le coucher du soleil et 30 minutes avant son levé. Pour les latitudes inférieures à 30°, on considère que la nuit aéronautique débute seulement 15 minutes après le coucher du soleil, et ne se termine que 15 minutes avant son levé.
Le pilote doit pouvoir visualiser l'aéronef sans dispositif optique autre que lunettes ou lentilles correctrices de vue, pour pouvoir toujours le maîtriser et éviter les obstacles éventuels, en règle générale une distance de 200 mètres est conseillée pour assurer la sécurité et pouvoir éviter les collisions.
Les meilleurs drones longue portée peuvent s'éloigner de plusieurs kilomètres du pilote. C'est le cas du DJI Mavic Pro, qui a une portée maximale de 7 kilomètres ou du DJI Mavic Pro 2 qui peut s'éloigner jusqu'à 8 km.