Le principe est simple. La première ligne de la fiche de paie fait apparaître le salaire mensualisé du salarié, tel qu'il est prévu au contrat. Une seconde ligne de la fiche de paie enlève une absence, comme si le salarié était entré en début de mois mais n'avait pas travaillé.
Pour calculer les entrées/sorties nous regardons le nombre d'heures théorique (ce qu'aurait dû faire le salarié s'il avait été là sur l'intégralité de la période de paie) puis on déduit le nombre d'heures réalisées. La différence entre les deux donne la valeur de l'entrée/sortie.
La retenue sur salaire pour absence ou retard
Une retenue sur salaire peut être faite par l'employeur en cas d'absence injustifiée du salarié. Cette dernière sera également appliquée si l'employeur le souhaite en cas de grève, proportionnellement aux heures non travaillées.
Il s'agit de retenir un nombre constant, quel que soit le mois considéré, de jours ou d'heures travaillés pour calculer l'absence du salarié : On divise le salaire mensuel par 151,67 pour définir un taux horaire moyen et on le multiplie par le nombre d'heures d'absence.
On peut citer notamment : le congé de solidarité familiale, le congé de solidarité internationale, le congé pour création d'entreprise, le congé sabbatique ou encore le congé sans solde. En cas d'absence injustifiée, l'employeur peut procéder à une retenue sur salaire.
Si chaque entreprise trouve souvent ses propres moyens d'action, quelques outils sont à sa disposition : entretien de retour, contre-visites médicales ou encore primes d'assiduité. Ainsi l'entretien de retour d'absence permet au collaborateur de renouer le contact avec l'équipe comme avec son activité professionnelle.
Si votre absence n'est pas justifiée, vous vous mettez en faute vis-à-vis de votre employeur. Cette faute peut entraîner une sanction disciplinaire (avertissement, blâme, voire un licenciement en cas d'absences injustifiées répétées). Elle fait l'objet d'une procédure disciplinaire.
Les paragraphes 254.1(1) et (2) énoncent ce qui suit : L'employeur ne peut retenir sur le salaire et les autres sommes dues à un employé que les sommes autorisées sous le régime du présent article.
Un employeur peut, en cas d'arrêt de travail pour grève, absences, abandon de poste par le salarié, ou encore un mois après son arrêt pour inaptitude, suspendre le paiement du salaire. L'employeur est alors délié de son obligation de payer son salarié, étant donné qu'il ne fournit plus de travail.
Dans la rubrique santé, vous trouverez les lignes “Sécurité sociale”, “Mutuelle” et “Prévoyance”. C'est à cette ligne mutuelle du bulletin de paie que vous trouverez votre mutuelle d'entreprise.
L'arrêt de travail pour la maladie se calcule en jours calendaire c'est-à-dire du lundi au dimanche, jours fériés compris. Il débute le lendemain du dernier jour travaillé déclaré à la CPAM. Exemple : Un salarié est arrêté du 24 octobre au 18 novembre, son arrêt est de 26 jours calendaires, jours fériés compris.
La méthode de l'horaire réel consiste à diviser le salaire mensuel par le nombre d'heures réellement effectuées dans l'entreprise pendant le mois considéré. Le taux horaire ainsi obtenu est multiplié par le nombre d'heures accomplies par le salarié.
Périphériques d'entrée : servent à fournir des informations (ou des données) au système informatique. Exemples : clavier, souris, scanner, webcam, micro… Périphériques de sortie : servent à faire sortir des informations du système informatique. Exemples : écran, imprimante, casque…
Lors de son licenciement, l'employé va reçevoir une indemnité correspondant à 4% de son salaire annuel. Cette indemnité est obligatoire et représente un dédommagement sur les vacances que l'employé a accumulé durant son temps de travail.
Définition de sanction pécuniaire
Aussi est-elle restée longtemps une notion floue. Compte tenu de l'évolution jurisprudentielle, on peut dire que constitue une sanction pécuniaire toute mesure qui affecte directement ou indirectement la rémunération de la personne qui a fourni une prestation de salaire.
Montant de la saisie
Cette part saisissable est déterminée par un barème défini pour un débiteur vivant seul. Exemple : Pour le débiteur dont le total des ressources mensuelles saisissables est de 1 500 €, le montant de la saisie peut aller jusqu'à 292,58 € - ((1 579,17 € - 1 500 €) x 1/3) = 266,19 € par mois.
Une absence est autorisée pour les motifs suivants : Maladie de l'enfant (ou d'un de ses proches s'il est potentiellement contagieux) Réunion solennelle de famille (mariage, enterrement, etc.) Empêchement causé par un accident durant le transport.
La loi n'impose pas au salarié de délai précis pour justifier de son absence. Mais la plupart des conventions collectives fixent à 48 heures le délai imparti pour adresser à l'employeur le justificatif (arrêt de travail, certificat médical de l'enfant malade, certificat de décès…)
On peut modifier une absence s'il y a un jour commun entre le 1er enregistrement et le nouveau. Pour modifier une absence, il suffit de double-cliquer sur une cellule du tableau. Le double-clic permet de rentrer les premières infos de la cellule cliquée: Type d'absence, nom du salarié et date de départ.
Conséquences de l'absentéisme pour l'entreprise
affaiblissement de la productivité et de la performance de l'entreprise dû au retard, au manque de qualité, aux mauvais services au client… cela peut affecter les équipes de travail et la motivation générale des autres salariés.