Une séquence a son propre début, milieu et fin. Il s'agit d'une partie autonome du texte, habituellement de 10 à 15 pages ou minutes, et elle appartient généralement à un seul personnage. Une séquence peut contenir entre trois et sept scènes, avec une tension à court terme qui fait avancer l'histoire.
Selon lui, la séquence est « un ensemble de scènes unies, connectées par une idée, un motif, une situation, une action. » Quant à la scène, c'est « une unité narrative plus dense, plus courte que la séquence. Quelque chose de spécifique y survient ou s'y passe.
Une séquence comporte plusieurs plans (images enregistrées en une seule prise de vue entre la mise en marche et l'arrêt de la caméra) que vous devez identifier. Aucune coupe. Il forme une séquence à lui seul. Plan très large.
Le plan est un morceau du film entre deux raccords. Une séquence est un passage, une scène d'un film se situant dans un seul et même lieu (sauf en cas de déplacements importants) et reposant sur une action ou un dialogue principal.
« Un plan séquence est un plan constitué d'un seul et même plan restitué tel qu'il a été filmé sans aucun montage ni coupe ou encore autres artifices de cinéma. » Pour résumer, le réalisateur appuie sur le bouton REC de la caméra et te fait visionner le rush exact qu'il a filmé.
Le plan séquence permet donc une identification plus forte aux personnages. Le spectateur est plongé dans son univers, il colle à la peau du héros. Le plan séquence donne aussi une impression de temps réel, ce qui accentue l'immersion du spectateur.
Un plan dure généralement quelques secondes ou quelques dizaines de secondes et constitue l'unité de base du langage cinématographique. Lors du montage, un plan doit être raccourci pour prendre harmonieusement sa place au sein d'autres plans.
Très gros plan : il met en valeur un élément extrêmement précis : regard, doigt, téléphone … Plan large ou plan d'ensemble : Plus resserré, il montre un groupe ou un personnage placé dans une partie du décor. Plan moyen : il montre un personnage en pied Plan américain : Le personnage est cadré jusqu'aux cuisses.
Cadrage intime dont le but est de rapprocher les personnages du spectateur, permettant à ce dernier de détailler les visages des protagonistes de la scène. On utilise ce plan en cinéma, pour les baisers, ainsi qu'en journalisme pour les interviews.
Lorsque le gros plan porte sur un objet, on parle de plan serré. Comme vous l'avez sûrement deviné, le gros plan est très utilisé lors des scènes de dialogues pour communiquer aux téléspectateurs les émotions, sentiments, et pensées des personnages.
Privilégiez un scénario de récit, avec une unité d'action et de lieu, plutôt qu'un scénario de tournage. Montre et décrivez plutôt que d'expliquer. Pour ce qui est du style littéraire, choisissez un vocabulaire simple et des phrases courtes : sujet + verbe + complément.
Vous situez la scène que vous étudiez : où se trouve-t-elle ainsi que la période où se déroule l'action. Enfin, vous présenterez le décor ( lieux, décors naturels ou fabriqués… ), les personnages avec leur caractérisation (aspects physiques, acteurs, vêtements… ) et leur relation (qui sont-ils, que veulent-ils ?).
Dès qu'il y a un changement d'unité de temps ou de lieu, voir les deux en même temps, on change de numéro de séquence.
De manière générale, un découpage technique doit comprendre : le numéro de la scène et de la séquence, une description de l'action, une description de la valeur du plan et du mouvement de caméra, une description de ce qui doit être entendu, et le choix du raccord.
Générique (œuvre) — Wikipédia.
Un POV (Point Of View), ou point de vue à la première personne, est un plan qui montre ce qu'un personnage ou un sujet regarde. Il est généralement filmé avec un appareil photo qui a le même champ de vision que le personnage.
Le plan général vise à décrire un lieu, un paysage, une ville ou tout autre décor. Il montre ainsi l'entièreté du décor, dans le but de créer un contexte autour de l'action qui s'y déroule. Petits, les personnages sont parfois intégrés au décor.
Plan intime visant à rapprocher le spectateur du ou des personnages, lui permettant de détailler les détails du visage. C'est un plan utilisé pour les baisers au cinéma, mais également en journalisme pour les interviews.
Le plan dialectique est une structure dialectique qui permet d'analyser un sujet d'opinion. Basé sur la construction thèse-antithèse-synthèse, il est souvent résumé par cet énoncé : je suppose (hypothèse), je pose (thèse), j'oppose (antithèse), je compose (synthèse).
Le but du plan thématique est d'explorer un thème ou une notion, d'en faire le tour et de l'étayer avec des arguments et des exemples pertinents. Pour faire jaillir les idées, ne t'autocensure pas : note au brouillon toutes les réponses et impressions auxquelles tu songes.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
Les sujets qui impliquent un plan analytique demandent d'expliquer, d'analyser, de rendre compte d'un phénomène. Ils invitent donc, plus ou moins explicitement, à développer une explication/analyse. -Les cas les plus évidents sont les sujets qui utilisent les verbes « montrer », « expliquer », « analyser ».
Le choix d'un type de plan particulier dépend avant tout du sujet posé, du type de réflexion auquel invite le sujet. Ce n'est qu'après une analyse précise de la consigne que l'on peut choisir un type de plan, car bien souvent la consigne indique la démarche à suivre de manière explicite.