La Triple Entente, qui regroupe le Royaume-Uni, la France et l'Empire russe, soutenue par les États-Unis, le Japon, le Portugal, la Belgique, l'Italie, la Roumanie, la Grèce, le Brésil, etc.
Historique. Les principaux alliés étaient la France, l'Empire russe, l'Empire britannique, l'Italie (à partir de 1915), puis en 1917 les États-Unis. La France, la Russie et le Royaume-Uni s'engagèrent dans la Première Guerre mondiale en 1914, en conséquence de l'alliance formant les Empires centraux.
Ils refusent d'aller combattre. Quel pays apporte son aide à la France, en 1917 ? Les Etats-Unis apportent leur aide.
28 juin : assassinat de l'archiduc François-Ferdinand, héritier de l'empire Austro-Hongrois, par un nationaliste serbe. Ce fut l'événement déclencheur de la Première Guerre mondiale.
Ainsi, selon le think tank Institute for Economics and Peace, auteur du classement depuis dix ans, seuls le Botswana, le Chili, le Costa Rica, le Japon, l'île Maurice, le Panama, le Qatar, la Suisse, l'Uruguay et le Vietnam vivent en totale paix.
Le premier gouvernement René Viviani est le gouvernement de la Troisième République en France du 13 juin au 26 août 1914 .
Les Alliés sont la France, le Royaume-Uni et ses dominions 2 (Canada, Australie, Nouvelle-Zélande...), la Russie (jusqu'en 1917), la Serbie, les États-Unis (à partir de 1917), l'Empire japonais et l'Italie (à partir de 1915).
C'est donc une question politiquement chargée, aujourd'hui encore.” L'événement déclencheur de la Grande guerre est connu de tous les écoliers : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914 par des nationalistes serbes.
Seconde Guerre mondiale (1939-1945) : le conflit le plus meurtrier de l'histoire.
Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et Ansar Dine («Les partisans de la religion») : une même idéologie anime les trois groupes jihadistes maîtres du Nord-Mali.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
L'Espagne n'avait, selon lui, aucun intérêt majeur à défendre au cœur de l'été 1914. Sa non-participation à un conflit européen était inévitable, voire « parfaite », propos approuvés par les collègues espagnols et français alors présents.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent… l'Allemagne est au bout du rouleau.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.
Paul von Hindenburg et Erich Ludendorff, artisans des succès allemands sur le front oriental en 1914, consultant une carte avec le Kaiser Guillaume II (au centre), au quartier général allemand, en janvier 1917.
La France aurait intérêt à placer ses alliés au pied du mur en proposant une véritable européanisation de l'alliance atlantique, en concurrence avec l'actuel projet de simple replâtrage de l'OTAN sous leadership stratégique américain.
De Gaulle en tire les conclusions et la France quitte l'organisation militaire intégrée de l'Alliance en 1966 . Toutefois des accords de coopération des forces armées françaises avec les forces de l'OTAN sont rapidement signés qui atténuent quelque peu la portée pratique de cette sortie de l'OTAN.
Alors âgé de 63 ans, il continue de servir dans l'armée et commandera même une expédition française lors de la guerre du Rif (contre une république naissante au nord du Maroc) aux côtés des Espagnols en 1926 ; les deux belligérants seront d'ailleurs accusés d'avoir utilisé des gaz nocifs contre des douars peuplés de ...
Albert Lebrun désigne Philippe Pétain président du conseil, après la démission de Paul Reynaud, hostile à l'armistice. Il se replie avec le gouvernement à Tours (lui-même résidant au château de Cangé), Bordeaux puis Vichy. Sans démissionner, Albert Lebrun laisse le pouvoir à Pétain et part pour Vizille (Isère).