L'électron est identifié comme le corpuscule envisagé par Joseph John Thomson et son équipe de physiciens britanniques en 1897, à la suite de leurs travaux sur les rayons cathodiques. C'est à cette époque que Thomson propose son modèle atomique.
Les électrons ont été découverts en 1899 par le physicien britannique Sir Joseph John Thomson, découverte couronnée en 1906 par le prix Nobel de Physique.
En 1808, John Dalton reprend l'idée d'atomes afin d'expliquer les lois chimiques. Dans sa théorie atomique, il fait l'hypothèse que les particules d'un corps simple sont semblables entre elles, mais différentes lorsque l'on passe d'un corps à un autre.
Pour tester les propriétés des particules, Thomson plaça deux plaques portant des charges électriques opposées de chaque coté du faisceau cathodique. Le flux de particules fut alors dévié vers la plaque chargée positivement. Il en déduisit que le faisceau cathodique était composé de particules de charge négative.
L'atome est composé d'un noyau, formé par des nucléons. Les nucléons sont composés de protons et de neutrons. Les électrons, quant à eux, gravitent autour du noyau. L'atome est constitué d'un certain nombre d'électrons, qui se trouvent donc autour du noyau, le noyau représentant pratiquement toute la masse de l'atome.
Le mot électron est une combinaison du mot « électrique » et du suffixe « -on », ce dernier étant par la suite utilisé pour désigner une particule subatomique, comme le proton ou le neutron.
2) S'il s'agit de la vitesse des électrons dans un accélérateur de particules, l'ordre de grandeur est alors tout autre. Mais dans ce cas, les électrons se déplacent dans un vide très poussé et leur célérité est voisine de celle de la lumière, environ 300 000 kilomètres par seconde.
(1902) De l'anglais electron , lui-même mot-valise de electric (« électrique ») et de ion (« ion ») créé par George Stoney.
Rutherford imagina alors un atome constitué d'un noyau chargé positivement et contenant la majorité de la masse de l'atome, et séparé par du vide, des électrons tournant autour comme des planètes autour d'une étoile. C'est le modèle planétaire de l'atome.
Ernest Rutherford (1871-1937) fut sans doute un des plus grands physiciens de la pre- mière moitié du XXe siècle. Ses dons d'expérimentateur et son intuition faisaient merveille. Attiré très tôt par le domaine alors naissant de la radioactivité, il reçut le prix Nobel de chimie en 1908.
Les protons et les neutrons sont eux-mêmes formés de quarks. Dans l'état actuel de la science, les quarks ne sont pas formés d'autres composantes, de sorte que ce sont les choses les plus petites que nous connaissions.
Aristote s'appuyait sur le concept des quatre éléments de base de Thalès et affirmait que les atomos ne pouvaient exister puisque invisibles à ses yeux. La conception aristotélicienne de la matière reçut l'appui des religieux de l'époque et traversa les siècles qui suivirent jusqu'au 18ème.
Niels Bohr (1885-1962).
Cette théorie présente l'atome comme un noyau autour duquel gravitent des électrons, qui déterminent les propriétés chimiques de l'atome. Les électrons ont la possibilité de passer d'une couche à une autre, émettant un quantum d'énergie, le photon. Cette théorie est à la base de la mécanique quantique.
L'électron est une particule de matière douée d'une masse (9,1 10-31 kg, soit 0,511 MeV/c2, avec c la vitesse de la lumièrevitesse de la lumière exprimée en m/s) et chargée électriquement négativement (on la note e avec pour valeur -1,6 10-19 C) qui est l'un des composants des atomes avec les noyaux constitués de ...
Les atomes sont constitués d'un noyau de très petite taille, contenant des particules de très petite masse, les protons chargés positivement et les neutrons non chargés, autour duquel se trouvent des particules encore plus légères, les électrons chargés négativement.
L'article « Rutherford, transmutation and the proton » relate les événements historiques qui ont mené à la découverte du proton, publiée en 1919 par Ernest Rutherford.
L'image donnée par Bohr est totalement fausse de nos jours car elle maintient la notion d'électron localisé sur une orbite dans un atome presque vide, alors que l'électron est sous forme d'onde entourant le noyau et remplissant l'espace disponible.
Il est possible de dessiner les atomes selon le modèle atomique simplifié de manière abrégée. Il suffit de dessiner le noyau avec le nombre de protons et le nombre de neutrons et de dessiner des arcs de cercle à droite du noyau pour représenter les couches électroniques.
Mais alors, pourquoi l'électron ne tombe-t-il pas sur le noyau? Parce que l'électron est en mouvement: la force centrifuge qui en résulte compense exactement la force d'attraction électrique. Au delà de cette orbite, l'électron n'est plus lié à l'atome: il est libre.
Un photon est une particule qui possède une masse nulle, qui n'a pas de charge électrique (mais possède deux état de polarisation) qui se déplacent en permanence à la vitesse de la lumière.
l'unique électron a une taille inférieure à 1 micron (un millième de millimètre) et a une masse de 900 tonnes ! cet électron « tourne » autour du noyau dans un volume d'environ 100 m de diamètre, c'est la taille de cet atome d'hydrogène, tout le reste est vide !
L'électricité est un phénomène complètement différent. Ce n'est pas une onde mais le déplacement de charges électriques, habituellement des électrons. Dans un fil de cuivre, qui est un excellent conducteur, les électrons filent à seulement quelques centièmes de millimètre par seconde, selon l'intensité du courant.
Cela pourrait signifier que le neutrino se déplace à une vitesse de 299 799,9 ± 1,2 km/s , soit 7,4 km/s de plus que la vitesse de la lumière.
On peut par exemple lui retirer ou ajouter des électrons de plusieurs manières: par simple frottement d'un matériaux contre un autre (ce qui cause l'électricité statique), par passage d'un courant électrique dans un matériaux, par bombardement avec des photons, électrons ou autres particules.