Hans Selye a d'abord employé le terme stress lorsqu'il complétait ses études médicales à l'Université de Montréal, dans les années 1920. Il avait remarqué que tous les patients, peu importe ce dont ils souffraient, avaient quelque chose en commun : ils avaient tous un air malade.
La notion de stress a été introduite par l'endocrinologue Hans Selye, qui, en se basant sur le concept de stress mécanique, publie en 1956 The stress of life (Le Stress de la vie).
Le concept de stress et de syndrome général d'adaptation apparait en 1925, alors qu'Hans Selye étudie la médecine à l'Université de Prague. Il définit le stress comme l'ensemble des moyens physiologiques et psychologiques mis en œuvre par une personne pour s'adapter à un événement donné.
Le stress vient du latin stringere qui signifie «rendre raide», «serrer», «presser». Cette racine latine est reprise assez tôt par la langue anglaise où elle est assimilé au mot "distress", qui signifie détresse mais aussi étroitesse.
La principale source de stress est le travail.
Définition du stress
Le mot stress apparaît en 1925 grâce à Hans Selye (1905-1982), médecin et endocrinologue hongrois. Il développe la théorie du syndrome général d'adaptation (SGA).
Le stress est un phénomène d'adaptation du corps qui nous permet de réagir à notre environnement. Notre organisme répond à un contexte stressant par une réaction en 3 phases (alarme, résistance, épuisement). C'est le syndrome général d'adaptation découvert en 1935, par Hans Selye.
Lorsque nous percevons quelque chose de stressant, il s'ensuit une cascade d'événements biologiques. Il en résulte la sécrétion d'hormones du stress, tels l'adrénaline et le cortisol.
Le stress se définit par des réactions de l'organisme, tant émotionnelles que physiques, face à une situation particulière ou à des facteurs de stress (stresseurs). Le stress est une réaction naturelle si celle-ci n'est pas excessive.
Peur et inquiétude sont deux synonymes que l'on retrouve dans ce dictionnaire des synonymes en ligne.
Le stress n'est pas toujours négatif. Il existe également du stress positif, appelé " eustress ". Cette bonne pression pousse à donner le meilleur de soi-même en toutes circonstances.
Il existe quatre caractéristiques qui font augmenter les hormones de stress : le contrôle, l'imprévisibilité, la nouveauté et le sentiment d'avoir l'ego menacé. Le fait de cerner laquelle de ces caractéristiques constitue pour vous un facteur dominant représente un bon point de départ pour mieux gérer votre stress.
Le stress, anglicisme signifiant "tension" issu du latin stringere ("mise en tension") n'est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l'organisme face à son environnement.
Il peut être responsable de nombreux symptômes physiques tels qu'une tension musculaire et des crampes, des maux de tête, des douleurs diverses, articulaires, digestives, des troubles du sommeil, des palpitations alors que le rythme de la fréquence cardiaque augmente, des suées sous l'effet de la chaleur corporelle qui ...
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
Mais quand le stress devient chronique, le cortisol et l'adrénaline fonctionnent à « plein régime » dans le but de conserver nos capacités énergétiques. L'organisme fait donc des réserves de graisse pour répondre aux demandes excessives de cortisol et d'adrénaline. Conséquence ? Le poids augmente.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Dans le présent article, les principales sources de stress sont réparties en cinq catégories : travail, inquiétudes financières, famille, manque de temps et problèmes personnels et autres.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
Impact du stress sur le sommeil
En conséquence, le stress augmente notre attention, notre vigilance et notre niveau d'énergie. On comprend alors facilement que cela peut entraîner des difficultés d'endormissement et du maintien du sommeil.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.