La citation la plus célèbre sur « la mort fait partie de la vie » est : « La mort fait partie de la vie. Moi, je suis un voyant, qui dialogue souvent avec les morts. Je suis, à la fois, dans la vie et la mort. » (Guy Béart).
La mort fait partie intégrante de la vie, qu'elle soit biologique, sociale ou intellectuelle voire spirituelle. A ce titre, ses représentations, ses symboles, les croyances, mythes et rituels qu'elle suscite nous accompagnent tout au long de notre vie.
La mort ne concerne que le vivant, elle est à la fois le contraire de la vie et le signe de la vie (seul ce qui vit meurt). Cette affirmation n'est cependant pas tout à fait exacte : la biologie nous apprend que les êtres unicellulaires se reproduisent par scission, indéfiniment : ils sont potentiellement immortels.
En quoi consiste notre relation à la mort ? Nulle opposition entre vie et mort n'est à même d'en rendre compte, plutôt s'agit-il d'une inclusion. Pour le sujet, la vie qu'il fera sienne procède d'une perte qui la détache de l'organique. C'est une perte durable et ineffaçable, logée au cœur du vivant.
“La mort n'est pas un mal, l'approche de la mort en est un.” “Après la mort, il n'y a rien, et la mort elle-même n'est rien.” “Entre la mort et la lâcheté, choisis sans hésiter la mort !”
L'organisme doit donc puiser dans son environnement, d'où la nécessité de respirer, etc. La mort intervient quand l'organisme ne peut plus puiser et maintenir son entropie basse. La principale source d'énergie sur Terre est la lumière du soleil qui permet la photosynthèse.
– Sartre : [La mort] « N'est pas seulement le projet qui détruit tous les projets et qui se détruit lui-même […]. Elle est le triomphe du point de vue d'autrui sur le point de vue que je suis sur moi-même. » « La Mort représente le sens futur de mon pour-soi actuel pour l'autre. »
La mort c'est le meilleur moment de la vie; c'est pour cela qu'il est préférable de le garder pour la fin. Cette phrase de Gustave Parking contient 23 mots. Il s'agit d'une citation de longueur normale.
Quelle différence faites-vous entre la mort et l'absence de la vie? C'est, a priori, une question à laquelle il paraît simple de répondre: la mort, c'est la fin de la vie; il ne peut donc y avoir de mort en l'absence de vie! Une roche volcanique, qui n'a jamais été vivante, ne peut pas mourir.
Nous devons dévorer le livre que nous faisons, être captivés par lui, arrachés à nous-mêmes, et puis sortir de là l'esprit en feu, incapable de dormir ou de rassembler ses idées, emporté dans un tourbillon d'images animées, comme brassées dans un kaléidoscope. » Cette citation de Robert Louis Stevenson, l'auteur de L' ...
Un corps est une matière qui possède la vie en puissance. Il n'acquiert la vie réelle qu'à travers l'âme qui lui donne sa structure, son souffle de vie. Selon Aristote, l'âme n'est pas séparée du corps pendant la vie. Elle l'est seulement quand la mort survient et que le corps ne se meut plus.
La mort se présente comme un événement biologique auquel chaque membre de l'espèce humaine ne saurait échapper, du fait de son appartenance au règne des vivants. C'est un événement naturel au double sens du mot : il s'inscrit dans la nature de l'homme, comme dans la Nature à laquelle il appartient.
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort est là, nous n'existons plus » (Lettre à Ménécée).
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
“Je suis désolé pour votre perte.” Bien que cette phrase soit devenue un cliché, elle est aussi un moyen simple et succinct de montrer votre empathie. Si vous ne trouvez pas les mots, dire une personne “Je suis désolé pour votre perte » peut permettre de lui faire comprendre que vous vous souciez d'elle.
Dans le langage courant la mort se définit par l'arrêt évident et définitif de toutes les fonctions vitales : perte de conscience, de toute réaction à un stimulus quelconque et de tout mouvement spontané, arrêt respiratoire, arrêt cardiaque primitif (mais quelle que soit la cause de la mort, il y a toujours arrêt ...
Le pire dans la vie, c'est pas qu'il t'arrive quelque chose, c'est qu'il t'arrive rien.
Une vie, c'est fait avec l'avenir, comme les corps sont faits avec le vide. Il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre, ce soit encore la rêver. La vie, c'est comme un autobus ; quand tu te retournes, tu t'aperçois qu'il y en a déjà beaucoup qui sont descendus.
La mort est essentielle au sens et à la valeur de la vie humaine telle qu'elle est expérimentée par les individus et les communautés. La mort ne donne pas sens à la vie mais elle procure l'arrière-fond sur lequel la vie est vécue.
N'était-il pas plus sage de craindre la mort et de s'abstenir. Socrate a répondu au contraire que la mort ne doit jamais être prise en considération quand il faut choisir entre le bien et le mal : dans notre texte il va essayer de montrer que craindre la mort n'est jamais sage.
En effet, la véritable raison de la quiétude socratique est ailleurs : elle vient de ce qu'il pense que la mort correspond à une expérience mais qu'elle n'est pas nécessairement un mal, et qu'elle peut être au contraire un bien pour son âme, donc pour lui-même.
Ce "Gai savoir" questionne cette citation "philosopher, c'est apprendre à mourir". On y évoque ce que signifie "s'exercer à mourir", comment avoir en tête la mort et en quoi la mort est une école de vie.
Vous croyez vraiment que des humains en vie aujourd'hui pourront échapper à la mort? Ce n'est pas certain, mais c'est très probable. J'estime à au moins 50% les chances que, d'ici 25 à 30 ans, de nouvelles technologies parviennent à minimiser les effets néfastes du vieillissement sur le corps.
La peur de la mort est normale et légitime. Mais poussée à l'extrême, elle peut être pathologique, entraîner des crises d'angoisse, une dépression, des insomnies...
Nous la reproduisons donc, à toutes fins utiles : «Quand nous sommes là, la mort n'est pas là. Quand la mort est là, c'est nous qui n'y sommes pas. Elle ne concerne donc ni les vivants ni les trépassés, étant donné que pour les uns, elle n'est point, et que les autres ne sont plus.» A bon entendeur, salut !