Montesquieu : « On dit que l'homme est un animal sociable.
Aristote donne comme définition essentielle de l'homme qu'il est « un animal politique » en plus d'être « un animal rationnel ». Ce qui signifie trois choses : la nature et la fin ou perfection de l'homme se trouve dans la construction d'une vie avec ses semblables.
“L'homme est un animal politique” est une expression que l'on entend souvent dans les débats publics, en citant rarement la source de cette position fondamentale de la philosophie politique.
L'homme est un animal politique est une expression créée par Aristote, philosophe grec, vivant au IVe siècle avant J. -C..
En effet, Aristote soutient que l'homme est un animal politique, et non pas simplement un animal social. L'homme n'est évidemment pas le seul animal à vivre en communauté. C'est aussi le cas d'innombrables espèces, comme les abeilles par exemple. Être sociable, pour un animal, signifie simplement vivre en communauté.
"Une seule hirondelle ne fait pas le printemps; un seul acte moral ne fait pas la vertu." "La simplicité n'est pas un but, mais on arrive à la simplicité en dépit de soi, comme on approche le sens réel des choses." "L'intention fait la culpabilité et le délit." "Le bonheur est à ceux qui se suffisent à eux-mêmes."
Rousseau soutient que cette spécificité qui distingue l'homme de l'animal est la liberté, ou, comme on le verra, la perfectibilité.
L'homme comme "animal social" : cette expression veut signifier que l'homme vit parmi les autres hommes, que l'animal humain est un animal vivant dans une société d'animaux humains.
L'être humain est fondamentalement social
Notre mère nous donne naissance et notre conjoint ou nos proches nous accompagnent dans la mort ; entre les deux, notre vie est rythmée par les relations sociales que nous entretenons avec les autres.
L'homme n'est pas un animal raisonnable. L'apparition de la raison ou de l'esprit ne laisse pas intacte en lui une sphère des instincts fermée sur soi »8. Ainsi l'homme n'est pas animal par le corps, et humain par l'esprit ; il est un esprit incarné dans une corporéité originale, ou un corps tout entier spiritualisé.
Néanmoins, l'homme se distingue par l'usage de la parole, sa capacité à anticiper l'avenir, son intelligence, sa culture, sa moralité, et l'aptitude à imaginer les pensées d'un autre individu.
Pascal nous propose une définition paradoxale de l'homme : ce dernier est un « roseau pensant ». Cette définition est une invitation à penser, mais aussi une affirmation de nos limites. Notre noblesse est de comprendre notre condition humaine, elle qui n'est que fragilité à l'échelle de l'univers.
En consiste en l'apprentissage des comportements, des valeurs et des normes sociales. C'est le processus d'intériorisation par chacun des valeurs et des normes du groupe et de la société dont il est membre.
Naturelle : L'état de nature, hors de toute société, n'existe pas. En effet, l'homme est naturellement sociable. Il recherche spontanément le contact avec ses semblables. A travers la vie en société, il ne fait donc que développer des facultés naturelles.
L'homme est donc devenu un être humain responsable, libre et raisonnable. La société, c'est donc la fin de cet état de guerre de chacun contre chacun, dont nous parlait Hobbes. la société n'est donc nullement un obstacle à la nature humaine, puisque c'est elle-même qui nous procrée, qui génère notre existence.
est un philosophe et polymathe grec de l'Antiquité. Il est avec Platon, dont il a été le disciple à l'Académie, l'un des penseurs les plus influents que le monde occidental ait connu.
Cela signifie que : La cité n'est pas un état contre-nature. Aristote s'oppose ici à tous les penseurs qui affirment que l'homme est par nature insociable, rebelle à l'état civil, que celui-ci requiert pour s'instituer une sorte de dénaturation de l'homme. C'est par exemple le propre de la thèse freudienne.
Un animal social est un être vivant qui interagit beaucoup avec les autres membres de son espèce, et dont la vie et la reproduction dépendent fortement de la cohésion globale et de la propagation du groupe.
Rousseau y défend la thèse selon laquelle l'homme est naturellement bon et dénonce l'injustice de la société. L'œuvre suscite, comme le Premier Discours, une vive polémique de la part notamment de Voltaire, Charles Bonnet, Castel et Fréron.
Il soutenait que les inégalités naissent artificiellement des systèmes sociaux et qu'elles sont fondées sur la propriété privée et le travail organisé - des systèmes ayant permis la domination et l'exploitation de certaines personnes par d'autres.
Pour l'existentialisme, « l'existence précède l'essence » : Sartre reproche aux philosophes de n'avoir pas interrogé l'existence comme telle et d'avoir oublié l'historicité de l'homme. Il affirme en effet la nécessité d'inverser le rapport traditionnel entre essence et existence.
Socrate cherche donc à montrer que les vertus morales particulières (par exemple : la justice, le courage, la tempérance, la piété, la sagesse) convergent toutes dans la vertu qui est une (en général), et, au-delà d'elle, en ce pour quoi la vertu est vertueuse ou l'excellence excellente, en vue de faire le bien.
Citations Emmanuel Kant. "Une volonté libre et une volonté soumise à des lois morales sont une seule et même chose." "La théorie est absurde sans la pratique et la pratique est aveugle sans la théorie." "On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter."
Au sens commun, le terme social renvoie généralement à l'idée de solidarité, de sociabilité, et aux politiques sociales. Pour les sciences sociales, ce terme désigne la nature des phénomènes qu'elles étudient.