La guerre franco-marocaine ou l'expédition du Maroc, aussi appelée première guerre du Maroc par certains historiens, est une guerre qui eut lieu en 1844 entre la France et le Maroc, à propos du soutien militaire que les Marocains accordaient à Abd el-Kader dans sa lutte contre la domination française en Algérie.
Hailé Sélassié et le président du Mali, Modibo Keita, convainquent les belligérants de se rencontrer lors d'une conférence à Bamako les 29 et 30 octobre ; ils obtiennent un cessez-le-feu négocié lors de la conférence.
En 920, une armée au service des Fatimides dirigée par Messala ibn Habbous, émir des Meknassas et gouverneur de Tahert, envahit le Maroc et prend Fès, soumettant le roi idrisside Yahia IV.
Le Maroc et le Polisario signent un accord de cessez-le-feu en 1991, préalable à un référendum d'autodétermination, qui n'a toujours pas eu lieu. Le Maroc contrôle 80 % du territoire du Sahara occidental, tandis que le Polisario contrôle les 20 % restants.
Le Maroc est un allié stratégique de l'Union européenne, le royaume chérifien ayant des relations bilatérales très intenses, diplomatiques, économiques et commerciales avec trois de ses poids lourds : la France, l'Espagne, et l'Allemagne.
Même si l'armée algérienne est numériquement parlant moins nombreuse que l'armée marocaine : 130 000 militaires contre 310 000, c'est sans compter les 150 000 réservistes en plus des 190 000 forces paramilitaires algériennes contre 150 000 réservistes et 50 000 forces paramilitaires pour le Maroc.
États soutenant la position marocaine
Albanie. Allemagne.
Dès 1963, le Sahara espagnol était inscrit à la demande du Maroc sur la liste des territoires non-autonomes. Le Maroc est alors convaincu que les Sahraouis souhaitent massivement rejoindre le royaume, et qu'un scrutin d'autodétermination ne serait qu'une simple formalité.
L'organisation territoriale actuelle du Sahara algérien remonte à la colonisation française. La découverte du pétrole en 1956 a suscité l'intérêt français pour cet espace qui était soumis à une organisation spéciale depuis 1902 par le biais des territoires du Sud.
Rupture des relations diplomatiques
Parmi les raisons évoquées, l'Algérie cite le soutien de l'ambassadeur du Maroc à l'ONU au MAK, les déclarations du ministre israélien des Affaires étrangères lors de sa visite au Maroc, le scandale d'espionnage Pegasus et la question du Sahara occidental.
Le traité de Fès du 30 mars 1912 instaure le protectorat français sur le Maroc. Mais, un accord est conclu avec l'Espagne, le 27 novembre 1912, qui définit les trois zones d'influence espagnole, au Nord, au Sud, et autour d'Ifni, conformément à un accord secret conclu le 3 novembre 1904 (RGDIP, 1912, documents, p.
Cependant, les Ottomans n'interviennent pas militairement dans les années 1540 en raison des troubles marquant la fin de l'ère zianide à Tlemcen. Ils donnent néanmoins l'asile à Abou Hassoun en 1549, après que les Saadiens ont conquis Fès.
La fin de ce protectorat, dont l'arrivée fut annoncée au Maroc par le sultan Sidi Mohammed ben Youssef — futur roi Mohammed V — lors de son discours du trône du 18 novembre 1955 (date retenue pour la Fête nationale de l'indépendance), fut actée avec la Quatrième République française le 2 mars 1956.
Pour la première fois de son histoire, l'Algérie soulève la Coupe Arabe des moins de 17 ans ! Ce jeudi, les poulains d'Arezki Remmane ont en effet pris le meilleur face au Maroc à domicile en finale, devant un public bouillant et acquis à leur cause au Stade Abdelkrim Kerroum de Sig (1-1, 4-2 tab).
Selon Fatiha Daoudi, la fermeture qui perdure depuis 1994 est justifiée par les « frustrations et des susceptibilités accumulées lors de la guerre des sables et après la récupération du Sahara occidental qui par ailleurs ont eu, toutes deux, pour cause directe la contestation des frontières héritées du colonialisme ».
La France finit par gagner la guerre sans pour autant rétablir l'ordre. À partir de 1957, le contrôle est repris dans les grandes villes (« bataille d'Alger »), sur les frontières (1957-1958), puis dans les campagnes, par étapes, jusqu'en Kabylie (1959-1960), grâce à la pratique des « camps de regroupement ».
Le Cap, Afrique du Sud.
Le Sahara est un ensemble politiquement fractionné. De part et d'autre du tropique du Cancer, il s'étend sur une dizaine d'États : le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, la Libye, l'Égypte, le Soudan, le Tchad, le Niger, le Mali et la Mauritanie.
Dans les années 1980, le Maroc érige un mur de défense qui sépare le territoire en deux, les 20 % à l'est du mur étant désormais sous le contrôle du Front Polisario.
Marrakech est le principal point de départ pour se rendre au Désert du Sahara au Maroc. Les deux zones les plus importantes du Désert du Sahara marocain sont Zagora et Merzouga.
Il y a 15 000 ans, il a connu une période verdoyante provoquée par une brève phase de réchauffement qui avait accentué les phénomènes d'évaporation au-dessus de l'océan et poussé les moussons jusqu'au cœur du continent nord-africain. Les paysages arides actuels étaient alors couverts de lacs, d'étangs et de végétation.
Après le départ des Espagnols en 1975-1976 à la suite des accords de Madrid, le Maroc et la Mauritanie se partagent le Sahara occidental, mais un mouvement indépendantiste sahraoui, le Front Polisario, armé principalement par l'Algérie et la Libye, s'oppose à cette annexion.
Droit à l'autodétermination
Dès 1963, le Sahara espagnol était inscrit à la demande du Maroc sur la liste des territoires non-autonomes. Le Maroc est alors convaincu que les Sahraouis souhaitent massivement rejoindre le royaume, et qu'un scrutin d'autodétermination ne serait qu'une simple formalité.
(*) États ayant reconnu la RASD qui ont ouvert des "consulats" dans les territoires occupés: Burkina Fasso, Burundi, Esawtini (Swazilandia), Guinée Bissau, Guinée Équatoriale, Haïti, Liberia, Malawi, Sao Tomé et Príncipe, Sierra Leone, Suriname, Togo, Zambie.