Aristote, fondateur du Lycée en 335 av. J. -C.
On vient de le voir, c'est Napoléon Bonaparte qui inaugure cette pratique, dès la création des lycées en 1802, ce choix prenant place dans sa politique de pacification de la société en essayant de solder la question religieuse.
Sur le premier point, Aristote se contente de faire remarquer que l'éducation est nécessaire, parce qu'elle forme les moeurs, et que les moeurs affermissent les Etats.
Dans le système éducatif français, le lycée correspond au second cycle des études secondaires. Le nom vient du Lycée, un gymnase d'Athènes près duquel Aristote enseignait. L'origine de cette appellation serait due à la proximité d'un sanctuaire dédié à Apollon Lykeios.
À partir du XII e siècle, dans l'ensemble de l'Europe, les collèges sont des établissements complémentaires par rapport aux universités. Ils ont souvent été fondés par des legs pieux.
L'idée de l'école est née il y a un peu plus de 2300 ans, dans la tête d'un homme : Aristote, un philosophe grec. Vers 789, Charlemagne, le roi des Francs, décide d'ouvrir des écoles dans tout le royaume. Avant, seuls les religieux étaient éduqués.
Nous la devons à Jules Ferry, homme politique français, qui fut plusieurs fois ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts entre 1879 et 1883. Pendant son ministère, Jules Ferry promulgue à deux reprises, en 1881 et 1882, des lois rendant l'école gratuite et obligatoire en France.
Lycée : à 14-15 ans, on entre au lycée. C'est souvent au lycée que les élèves commencent à se spécialiser un peu.
Le lycée parisien Charles de Foucauld arrive en première position avec 99 % de réussite, ce lycée d'enseignement général a aussi une classe de STMG et accompagne ses élèves avec le programme des cordées de la réussite.
Depuis la loi Jules Ferry du 28 mars 1882, l'instruction est obligatoire. Cette obligation s'applique à partir de 3 ans, pour tous les enfants français ou étrangers résidant en France. À l'origine, l'instruction était obligatoire jusqu'à l'âge de 13 ans, puis 14 ans à partir de la loi du 9 août 1936.
-C., et Plutarque, un siècle plus tard : à la mort de Théophraste, le successeur d'Aristote à la tête du Lycée, en 288, ses ouvrages auxquels étaient joints ceux d'Aristote furent légués au fils de Coriscos, Nélée.
C'est un enseignement de quatre ans, qui fait suite à l'école élémentaire. La fourchette d'âge est, généralement, de 11-12 ans (en sixième) à 14-15 ans (en troisième).
Les disciples d'Aristote furent appelés Λύκειοι Περιπατητικοί / Lukeioi Peripatêtikoi, « ceux qui se promènent près du Lycée », d'où leur nom de péripatéticiens en français.
En Grèce Antique, l'idée de l'école est née avec Aristote, un philosophe grec, et d'autres civilisations telles que les Romains ont également développé des systèmes d'éducation pour enseigner la philosophie, les mathématiques et l'écriture.
Par la loi du 1er mai 1802, Napoléon crée les lycées. Mais face aux difficultés rencontrées, il cherche alors à mettre en place une institution d'instruction publique capable de regrouper l'ensemble des formations dispensées en France : de l'enseignement primaire jusqu'à l'enseignement supérieur.
Il s'agit de Jules Ferry, l'instigateur des lois de 1881-82 sur l'école laïque, gratuite et obligatoire, et ces lois ont fondé le système scolaire tel qu'il existe encore aujourd'hui en France. À réécouter : Mais qui donc a inventé l'école ? Histoire, économie, sciences, philosophie, histoire de l'art…
Le lycée Saint-Louis est le plus ancien lycée de France. Au 15e siècle le collège se transforme en une école de théologie, parmi ses élèves se trouvent : Racine, Boileau, Claude Perrault et Diderot. Fermé en 1793, Napoléon rachète l'établissement en 1812 pour y réinstaller un lycée de 400 élèves.
Lycée Jean-Mermoz (Montpellier)
Parmi les dix premiers du classement de cette année figurent l'Imperial College London (6e), l'ETH Zurich (7e), l'université nationale de Singapour (NUS, 8e) et l'UCL London (9e).
Objectif : obtenir le bac et poursuivre ses études dans l'enseignement supérieur. Le lycée général et technologique prépare les lycéens au baccalauréat en vue d'une poursuite d'études dans le supérieur.
Quel est le meilleur lycée de France ? Dans notre nouveau palmarès des lycées, un lycée de France décroche la première place haut la main : le lycée Louis Le Grand situé dans le Ve arrondissement de Paris.
C'est donc Fourcroy qui prépare la loi portant création de l'Université impériale. Reprenant les termes de la note de Napoléon sur les lycées de février 1805, Fourcroy déclare au début de 1806 : « Il n'y aura pas d'État politique fixe, s'il n'y a pas de corps enseignant avec des principes fixes.
Pauline Kergomard les appelait « les petites Sorbonnes ». « On n'y prenait pas en compte le développement cognitif et affectif des gamins », ajoute la guide bordelaise. Kergomard s'offusque de ce système, et développe progressivement l'idée d'une école maternelle.
Dans les années 1930, pour les dirigeants, la finalité de l'école est l'égalité de la société. Ils en arrivent même à concevoir que c'est à la société de créer les emplois qui accueilleront les jeunes adultes ainsi formés par le dispositif scolaire.