Victoire du Việt Minh : Accords de Genève. Fin de l'Indochine française. Indépendances du Cambodge, du Laos, de l'État du Viêt Nam et de la République démocratique du Viêt Nam.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
La guerre d'Indochine s'est déroulée de 1946 à 1954. Le régime colonial imposé par la France à plusieurs pays asiatiques est à l'origine de ce conflit, qui a fait plus de 500.000 victimes et a notamment conduit à la scission du Vietnam.
Le 23 novembre 1946, l'armée française fait feu sur les indépendantistes à Haïphong suite à l'assassinat d'une vingtaine de français. Le 19 décembre, le Viêt Minh se soulève à Hanoï : la guerre d'Indochine commence.
Le 7 mai 1954, après cinquante-sept jours de résistance, les troupes françaises, retranchées dans le camp de Diên Biên Phu, succombent face aux communistes vietnamiens, menés par le général Giap. La bataille, qui restera dans la mémoire française comme une défaite militaire cinglante,...
Ainsi, l'Indochine française regroupait ces trois pays de l'Asie du Sud-Est que sont aujourd'hui le Cambodge, le Laos et le Vietnam, sans oublier une portion de territoire chinois située dans l'actuelle province du Guangdong, le Kouang-Tchéou-Wan.
L'économiste français Thomas Piketty explique que les Etats-Unis ont perdu le Vietnam pour deux raisons principales. D'abord, la guerre a coûté une fortune. D'autre part, le pays a perdu un des plus grands producteurs de pétrole au monde.
Les accords de Genève mettent fin à l'Indochine française en 1954, mais les Américains ne ratifient pas ce traité : cela débouchera sur la guerre du Vietnam. Au nord Vietnam, la route coloniale 4 (RC 4) devient le symbole d'une importante défaite des troupes françaises.
À la suite de la guerre d'Indochine et de l'échec de la France pour se maintenir en Indochine à la suite de la victoire du Việt Minh à la bataille de Diên Biên Phu le 7 mai 1954 , les accords de Genève divisèrent le pays en deux par une zone démilitarisée au niveau du 17e parallèle nord.
C'est l'un des noms de groupes français que l'on évoquerait en premier. Mais au fait, pourquoi Nicola Sirkis et Dominique Nicolas ont-ils choisi de s'appeler Indochine ? "Grâce à Marguerite Duras dont j'étais un grand fan. Elle ressentait les mêmes choses que moi et a vécu en Indochine.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
Seule la participation de la France à l'OTASE lui permettait de garder une certaine responsabilité dans le maintien de la paix en Asie du Sud-Est.
C'est la chute de Saigon, capitale du Sud-Vietnam, qui met un terme définitif aux affrontements entre les troupes vietnamiennes. Le 30 avril 1975, le camp soviétique prend Saigon et gagne la guerre du Vietnam.
Bien que le Vietnam ait été une colonie française de 1885 à 1946, soit durant une soixantaine d'années, c'est depuis le XVIIe siècle que la France était présente dans cette région.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
L'auteur reconnaît que l'URSS fut le principal soutien militaire et économique du Nord-Vietnam, qu'elle a mis à son service sa propagande pour dénoncer l'intervention américaine et qu'elle a refusée publiquement d'assurer une médiation entre les belligérants.
À partir de 1961, le président américain John Fitzgerald Kennedy envoie sur place quelques troupes déguisées en conseillers militaires.
En 1954, après neuf ans de guerre, les accords de Genève mettent fin à l'Indochine française. Le Vietnam est alors partagé entre le Nord, sous domination communiste et soutenu par la Chine et l'URSS, et le Sud, sous influence occidentale. Les deux États s'engagent dans une guerre civile féroce.
Mi-août 1914, le Japon lance un ultimatum à l'Allemagne, exigeant la cession immédiate de la concession de Tsing-Tao et le départ de la flotte allemande du Pacifique. Berlin ne juge pas même utile d'y répondre et, le 23 août, le Japon déclare la guerre à l'Allemagne.
Parmi les rangs des forces alliées on comptait : les États-Unis, forte puissance utile du fait de ses nombreux hommes dans leur armée, l'Union soviétique et le Royaume-Uni, désignés sous le nom collectif de « Trois Grands ».
Dernière grande bataille de la Guerre d'Indochine, la bataille de Diên Biên Phu marque la défaite de l'armée française au terme de plus de six mois de combats acharnés.
Les Etats-Unis ont « perdu » la guerre menée pendant 20 ans en Afghanistan. C'est ce qu'a admis mercredi le chef d'état-major américain Mark Milley devant une commission parlementaire, un mois après la fin chaotique de l'intervention américaine dans ce pays.
Les Américains justifient leur intervention militaire au Viêt Nam par la théorie des dominos, selon laquelle il fallait éviter le basculement d'un pays vers le communisme, car les pays voisins basculeraient à leur tour. Le but est de prévenir une future domination communiste du sud-est asiatique.
Comme ceux de la plupart des armées révolutionnaires du monde, les combattants du Viêt-cong étaient équipés du célèbre fusil d'assaut soviétique AK-47, une kalachnikov rustique et imprécise.