La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
Le "si" n'est nommé qu'à la fin du 16ème siècle grâce au moine français Anselme de Flandres.
Guido d'Arezzo, un moine italien du 11e siècle.
Pythagore fut donc le premier à établir les quatre consonances fondamentales de la gamme musicale que sont l'unisson (de rapport 1/1), l'octave (1/2), la quinte (2/3) et la quarte (3/4).
La première clef aurait été inventée en 1025 par Guido d'Arezzo, un moine bénédictin. Au fil du temps, la forme des différentes clés va évoluer (surtout la clé de fa qui subira plus de cinq transformations), tout en restant étroitement liée aux notes par leur « autorité ».
C'est Guido d'Arezzo - moine bénédictin lui aussi, mais italien – qui découvre l'astuce au début du XI siècle.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
Le découpage de l'octave en 12 intervalles est mathématiquement optimal : il permet une quinte la plus juste possible, dans un format compact, et dans un tempérament égal (avec des intervalles égaux).
L'analyse d'un chant religieux au 11e siècle
Au 17e siècle, le 'Ut' est remplacé par le 'Do', en référence à la première syllabe du mot 'Domine', qui signifie 'Seigneur' en latin. Ce n'est pas pareil dans tous les pays : en Allemagne, les notes sont ainsi écrites par des lettres de l'alphabet : C-D-E-F-G-A-H-C."
À Retenir : dans l'ordre suivant : do(C), ré(D), mi(E), fa(F), sol(G), la(A), si(B), do(C), ré(D),… Pour les apprendre, il suffit de les répéter en boucle dans la tête, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré…
A l'origine, un moine
En musique occidentale, on désigne la hauteur d'un son (sa fréquence de vibration) par le nom d'une note. C'est au XIe siècle que notre système de notation musicale fut mis au point par Guido d'Arezzo, un moine bénédictin originaire de Toscane.
La clé de sol est utilisée pour écrire une mélodie chantée ou la partition d'un instrument aux sons plutôt aigus (guitare, violon, la main droite au piano...). La clé de fa est utilisée pour écrire la partition d'un instrument aux sons plutôt graves (main gauche au piano, flûte, alto...).
En musique, une note est un symbole ou une lettre permettant de représenter un fragment de musique par une convention d'écriture de la hauteur et de la durée d'un son.
La musique existe depuis la préhistoire mais elle ne laisse pas de trace. Il est donc difficile de raconter son histoire. On peut imaginer que les premières mélodies ont été chantées par des hommes préhistoriques. Puis ils ont utilisé des morceaux de bois ou de pierre et les ont tapé les uns contre les autres.
Histoire. Les douze notes de l'échelle chromatique trouvent leur origine dans le cycle des quintes et l'accord pythagoricien. Les travaux de Marin Mersenne ont cherché à trouver une progression naturelle entre les notes.
Do (transformation d'ut au XVII e siècle)
L'ut a été transformé plus tard en do, plus facile à énoncer en solfiant. On trouve des traces écrites de ce changement dans les écrits de Giovanni Maria Bononcini, au XVII e siècle.
Avant les notes de musique, il y avait les Neumes
Un peu plus tard, au IXème siècle sont apparus les premiers symboles musicaux, les neumes. C'est la première notation musicale connue.
Dans l'échelle diatonique naturelle — c'est-à-dire sans altérations —, le demi-ton diatonique existe d'une part entre les notes mi et fa, d'autre part entre les notes si et do ; les autres intervalles conjoints sont des tons. Le demi-ton diatonique a une fonction attractive.
Tout simplement (!?) parce que l'intervalle entre Mi et Fa et entre Si et Do n'est que d'un demi-ton. Finalement l'octave est divisée en 12 demi-tons et la gamme majeure repose sur les intervalles ton, ton, demi-ton, ton, ton, ton, demi-ton.
Ainsi la première note de la gamme aura le degré I, la deuxième le degré II, la troisième le degré III, etc...
(Musique) Clé qui indique le sol n o 3, proche du la du diapason, et qui concerne les sons aigus. Elle est représentée par le signe ? et se place en début de portée, sur la deuxième ligne en partant du bas.
Le marimba est l'instrument-roi qui a conquis les salles de concert - Le Temps.
Plus la vibration est rapide, plus le son est dit aigu ou haut ; plus la vibration est lente, plus le son est dit grave ou bas.