Ensuite, le mot travail apparaît au XII e siècle, selon Alain Rey pour qui il s'agit d'un déverbal de travailler, issu du latin populaire tripaliare, signifiant « tourmenter, torturer avec le trepalium ».
L'origine. Le mot travail vient du latin tripalium, qui était, je vous le donne en mille, un instrument de torture composé de trois pieux ! Historiquement, le travail désigne, en effet, la souffrance, la douleur, en particulier celle que peut endurer une femme lors de l'accouchement.
Lupanars, mères maquerelles, proxénètes... La société antique reconnaît le rôle social de la prostitution. À quelques brillantes exceptions près néanmoins, femmes et hommes qui se vendent sont méprisés et confinés aux marges de la cité.
1. Activité de l'homme appliquée à la production, à la création, à l'entretien de quelque chose : Travail manuel, intellectuel. 2. Activité professionnelle régulière et rémunérée : Vivre de son travail.
tripalium ; de tres, trois et palus pieu) instrument de torture puis appareil où l'on place les bœufs pour les ferrer ».
Grec ancien
Dénominal de ἔργον , érgon (« travail ») avec le suffixe -άζομαι , -ázomai.
L'origine. Le mot bonheur est composé de bon, le contraire de mauvais, et de heur. Heur vient du latin augurium, « présage tiré de l'observation du vol des oiseaux », qui a aussi donné le mot augure. L'heur, initialement, désigne un présage, qu'il soit bon ou mauvais.
Emmanuel Kant considère que le travail est un devoir envers soi-même, un devoir qui forme l'homme moralement parlant. Pour Emmanuel Kant, le travail satisfait la conscience morale et la fierté humaine. Ainsi, l'animal satisfait ses besoins par l'instinct, l'homme satisfait les siens par le travail.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
ou W (l'initiale de work, le mot anglais pour « travail »).
Depuis Charles Péguy, on sait que, après celui de parent, le plus beau métier du monde est celui de maître d'école et de professeur de lycée.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
xixe siècle. Peut-être extension de sens de bosser, « présenter des bosses », d'où « se courber sur son travail ».
Dans ce sens, les contraires de travailler sont flâner , paresser , se reposer , se détendre , s'amuser , jouer , chômer .
Introduction : Le travail permet à l'homme de transformer la nature et de se transformer lui-même, d'évoluer ; il est la seule façon pour l'homme d'accéder à la plus haute liberté. Or, l'organisation du travail est telle que l'homme en est réduit à n'être que le rouage asservi d'un système qui l'écrase.
L'objet du travail est surtout un concept opératoire et un outil méthodologique conduisant à interroger, à partir d'un angle particulier, une activité professionnelle en postulant au départ que l'on ignore de quoi il s'agit.
Le travail fait partie de sa condition humaine et ne présente aucune connotation négative. Pourtant, ce récit lance un premier avertissement : tout travail qui ne vise que le bénéfice sans considérer la garde et le soin du sol est considéré comme étant contraire à l'ordre du Créateur.
Le travail, c'est la vie, et sans lui il n'y a que peur et insécurité.
Pensée de Mamadou Aliou Diallo sur Travail
Le travail libère l'homme.
' Le travail : il y a des gens qui aspirent au travail, n'importe quelle sorte de travail, si pénible ou répugnant qu'il soit, pour chasser l'âpreté de leur vie et bannir les pensées qui tuent. Il n'y a pas de résultats sans travail et pas de travail sans effort.
Aristote n'assimile pas le travail à la poësis, ni à la praxis, il le considère comme faisant partie des deux catégories, car le travail a une action modificatrice à la fois sur le réel et sur la nature humaine. Aristote préfère à l'idée du travail et à la nécessité l'idée de loisir et de liberté.
Étymologie. Du latin religio lui-même d'origine incertaine. Gaffiot le rattache à relego, relegěre (« rassembler de nouveau, recueillir de nouveau »), à la suite de Cicéron, avec le sens de « religion, scrupule religieux ». D'autres auteurs anciens rattachent religio à religo, religāre (« lier, attacher »).
QU'EST-CE QUE L'ÉTAT « HEUREUX » ? Vivre heureux, vivre dans le bonheur signifie que l'on vit en état de pleine satisfaction. On se sent bien, on se sent libre, on se sent joyeux, on ressent un plaisir et bien-être inexplicable et on arbore durant toute la journée un sourire indécollable de notre visage !