Définition "apostat" n.m. Personne qui a commis l'apostasie. Personne qui a renié sa religion ; personne qui a commis l'apostasie.
Apostat signifie qui a renié sa foi chrétienne.
Attitude d'une personne qui renonce publiquement à une doctrine, une croyance ou une religion.
Cette procédure d'apostasie (le fait de "renoncer publiquement et volontairement à la foi chrétienne") est simple, il suffit d'envoyer une lettre à son église de baptême en lui mentionnant son nom et la date de son baptême, et de lui demander son intention de ne plus apparaître sur ses registres.
Personne qui abandonne une doctrine, une opinion, un parti.
L'apostasie peut être déclarée dès lors que le musulman manifeste un doute sur une croyance qui a fait l'objet d'un consensus au sein de la communauté. Si un musulman se prosterne devant une idole ou s'il jette délibérément une copie du Coran dans un lieu d'immondices, il est apostat.
L'apostasie en islam (arabe : riddah, ردة ou irtidād, ارتداد, « recul, défection, rebond ») est communément définie comme le fait pour un musulman d'abandonner consciemment l'islam, que ce soit au travers de ses paroles ou de ses actes.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
La religion édicte donc des impératifs moraux qui permettent de fonder nos sociétés et de les maintenir. Elle discipline moralement les âmes et préserve ainsi la stabilité sociale. Par ailleurs, le culte et la prière sont de bons moyens de rassembler les individus autour des mêmes valeurs.
La Déclaration universelle des droits de l'homme adoptée par les Nations unies définit la conversion religieuse comme l'un des droits humains : « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction […] » (article 18).
11De façon plus prosaïque, c'est en fait la famille qui transmet l'affiliation religieuse. 12Est donc musulman l'enfant dont les deux parents sont musulmans ou, en cas de mixité religieuse, si au moins le père est musulman.
1. Abandon volontaire et public d'une religion, en particulier de la foi chrétienne. 2. Pour un prêtre ou un religieux, abandon de l'état sacerdotal ou de la vie religieuse sans avoir obtenu les dispenses canoniques.
Les croyants qui, jusqu'ici, ont étudié les causes de l'apostasie des masses françaises, mettent généralement en relief soit certaines fautes de FÉgiise ou des chrétiens, soit la « malice » ou l'astuce des incroyants; mais, dans les deux cas, ils en restent aux causes morales ou subjectives.
1. Ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l'homme avec le sacré. 2. Ensemble de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances.
religieux adj. Qui appartient à la religion, à une religion. religieux n. Personne qui a fait vœux de suivre une certaine règle...
Synonyme : dévotion, foi, mysticisme, piété, spiritualité. Contraire : agnosticisme, athéisme, incrédulité, incroyance, irréligion, scepticisme.
Pour certains, la ferveur religieuse apporte un réconfort moral, pour d'autres, elle correspond à une expérience mystique, d'autres encore y trouvent des modèles de conduite à travers la vie des saints, pour certains enfin, la religion constitue une véritable thérapie.
La croyance en Dieu peut être remplacée par la croyance en un principe spirituel ou des valeurs, que le croyant verra comme des manifestations divines. Au demeurant, l'homme ne peut se passer de ce besoin de croire et même de transcendance.
Existe-t-il un mot pour désigner quelqu'un qui ne croit en aucune religion, mais qui croit en Dieu ? On appelle cela être déiste. Voltaire et Jean-Jacques Rousseau étaient qualifiés d'athées en leur temps alors qu'ils étaient manifestement plutôt déistes.
On sait que parmi ceux-ci, une tradition prophétique en avait cité 7 ensemble : le polythéisme, la sorcellerie, le meurtre, la consommation des biens de l'orphelin, l'usage de l'intérêt, la fuite lors de la confrontation avec les ennemis et la diffamation contre les chastes croyantes.
Jésus a affirmé que tous les péchés seront pardonnés aux hommes, s'ils s'en repentent. Cependant, le seul péché impardonnable est le blasphème contre le Saint-Esprit.
"Sont interdits pour vous les animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et les animaux dédiés à d'autres qu'Allah." Ainsi parle le Coran.
7 et sourate 13, v. 39), sorte de matrice céleste où gît de tout temps la parole divine. » Le christianisme ne se considère pas comme une « religion du Livre » et rejette cette appellation.