Vous devez vous rendre dans un commissariat de police ou à la gendarmerie de votre choix.
L'un des meilleurs moyens de reconnaître ce genre d'attaques est lorsque des documents, photos, vidéos ou des fichiers système sont chiffrés. Leur lecture est alors impossible et leur nom, mais aussi l'extension, peuvent être modifiés.
Trois options s'offrent aux victimes de ces attaques d'applications malveillantes après une infection : elles peuvent soit payer la rançon, soit essayer de supprimer l'application malveillante, soit redémarrer l'appareil.
Utilisez des services VPN sur les réseaux Wi-Fi publics : une mesure de protection judicieuse contre les ransomwares consiste à utiliser consciencieusement les réseaux Wi-Fi publics. Lorsque vous utilisez un réseau Wi-Fi public, votre ordinateur est plus vulnérable aux attaques.
Les Ransomwares peuvent arriver sur votre poste par de nombreux biais mais ils sont le plus souvent contenus dans des pièces jointes reçues par mail. Ils peuvent également se manifester via un lien de téléchargement.
Le ransomware ou rançongiciel est un logiciel malveillant qui peut verrouiller un appareil ou crypter son contenu afin d'extorquer de l'argent à son propriétaire. En contrepartie, les générateurs du code malveillant promettent, bien sûr, sans aucune garantie, de restaurer l'accès à la machine ou aux données affectées.
Pour faire une attaque par DDoS, un attaquant ou un groupe d'attaquants va venir lancer des requêtes en grand nombre vers un serveur pour le surcharger, afin de le mettre hors service. Il n'y a pas d'intrusion lors d'une telle attaque, aucune donnée n'est dérobée mais tout ou partie du système devient inaccessible.
Les courriels malicieux, le détournement de services de déport d'affichage (RDP), et l'exploitation de systèmes vulnérables exposés sur Internet. Ce sont les trois principaux vecteurs d'intrusion des attaquants.
Technique d'attaque courante de la cybercriminalité, le rançongiciel ou ransomware consiste en l'envoi à la victime d'un logiciel malveillant qui chiffre l'ensemble de ses données et lui demande une rançon en échange du mot de passe de déchiffrement.
Les antivirus traditionnels nécessitent une mise à jour constante de leur base de données. En effet ces antivirus sont incapable de détecter des virus qui ne sont pas inscrits dans leur base de données.
L'absence de mise à jour des mots de passe. Ne pas installer d'antivirus. Ouverture imprudente des emails et des liens web. Utiliser des routeurs et fournisseurs d'accès internet inappropriés.
Le plus fréquemment, le phishing est réalisé par le biais de faux sites internet (boutiques en ligne, sites web administratifs…). Ils peuvent être des copies parfaites de l'original.
Action malveillante destinée à porter atteinte à la sécurité d'un bien. Une attaque représente la concrétisation d'une menace, et nécessite l'exploitation d'une vulnérabilité.
Un cheval de Troie d'accès à distance (RAT) est un outil d'accès à distance utilisé par les développeurs de logiciels malveillants pour obtenir un accès complet et à distance du système d'un utilisateur, y compris le contrôle de la souris et du clavier, l'accès aux fichiers et aux ressources du réseau.
Veillez à mettre à jour vos logiciels ! Si possible, désactivez les macros des solutions de bureautique qui permettent d'effectuer des tâches de manière automatisée. Cette règle évitera en effet la propagation des rançongiciels via les vulnérabilités des applications.
Le Cheval de Troie est un terme générique décrivant un logiciel malveillant qui se déguise pour cacher son véritable but. Cependant, contrairement à un virus, il n'est pas capable de répliquer ni d'infecter des fichiers par lui-même.
Même si vous n'êtes pas forcément redirigé vers un faux site internet ou qu'on ne vous demande pas d'encoder vos données, le simple fait de cliquer sur le lien ou ouvrir la pièce jointe peut télécharger un virus sur votre ordinateur.
Une fois dans le centre de sécurité Windows Defender, cliquez sur Protection contre les menaces. Cliquez sur Analyse avancée. Sélectionnez l'option Analyse complète puis cliquez sur Analyser maintenant. L'analyse commence et peut durer plusieurs heures.
Dans un certain nombre de cas il est possible de réparer le fichier en supprimant le code du virus. Bien entendu, il ne faut pas que le virus ait détruit une partie du code du programme. Divers antivirus proposent la réparation automatique des programmes (pour certains virus uniquement).