La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties ...
Dans le cadre des grandes entreprises, il y a la plupart du temps un responsable RSE ou bien un directeur du développement durable et de la responsabilité sociale chargé de la coordination des actions RSE menées par l'entreprise. Cela prend place le plus souvent dans un département dédié entièrement à ces questions là.
L'économiste Howard R. Bowen est souvent désigné comme le père fondateur de ce champ d'études (Carroll, 1979, 1999 ; Wood, 1991). Il a su décrire et structurer les approches théoriques en matière de RSE dans son livre Social Responsibilities of the Businessman (SRB).
Dans les ETI une direction RSE souvent rattachée à un autre département. Au sein des Entreprises de Taille Intermédiaire, la fonction RSE, souvent assez récente, est souvent reliée soit à la Direction des Ressources Humaines, soit à la Direction de la Communication voire à la Direction Générale.
C'est la norme ISO 26000 qui définit le périmètre de la mise en place de la RSE : pour encadrer de manière précise ce que recouvre cette notion, il convient de se référer à une norme reconnue au niveau international.
Principalement destinée aux grandes entreprises, la RSE est définie selon la norme ISO 26 000, un consensus international de responsabilité sociétale. Depuis la loi « NRE » de 2001 sur les nouvelles régulations économiques et la loi « Grenelle II » de 2010, la Responsabilité Sociétale des Entreprises a fait du chemin.
Selon la norme ISO 26000 de 2010, la RSE se concentre sur sept axes : les conditions de travail, les consommateurs, les droits de l'homme, la gouvernance de l'entreprise, l'environnement, le développement local et la loyauté des pratiques.
La première étape pour développer la RSE dans son entreprise est d'identifier les parties prenantes et leurs attentes en matière de RSE. Ensuite, il s'impose d'évaluer l'impact environnemental et social de l'entreprise, afin de définir une stratégie RSE véritablement adaptée.
En effet, le concept de RSE recouvre les valeurs défendues par les établissements publics de santé et médico- sociaux que sont l'humanisme, l'accessibilité, la solidarité, l'universalité et l'égalité. Les établissements publics de santé et médico-sociaux sont des acteurs économiques et sociaux au cœur des territoires.
Les actions mises en place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de travail serein. La RSE intègre également des valeurs en matière d'égalité, de non-discrimination et de juste rémunération au sein de l'entreprise.
La RSE donne les moyens de façonner les pratiques de l'Entreprise alors que l'ESG quantifie les engagements, les transforment en due-diligences basés sur des IRO (Impacts, Risques, Opportunités) tout en identifiant la gouvernance (de cette due-diligence), sa portée et ses extensions.
D'un point de vue global, la RSE s'inscrit dans le cadre d'efforts pour le respect de l'environnement et dans une démarche de développement durable. Le but est d'améliorer la qualité de vie des collaborateurs et de toutes les personnes qui entrent en contact avec l'entreprise, mais aussi de la communauté.
Qu'est ce qu'une charte RSE ? Il s'agit d'un écrit solennel et officiel qui comporte des règles, des principes de responsabilité, des normes sociales comme lois fondamentales d'une structure. Elles incarnent l'ensemble des engagements que les entreprises et organisations prennent et norme leurs pratiques sociales.
La RSE y est définie comme “la responsabilité d'une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et sur l'environnement, se traduisant par : adopter un comportement transparent et éthique qui contribue au développement durable y compris à la santé et au bien-être de la société
Concrètement, une stratégie RSE consiste à établir un plan d'action économiquement viable dont les impacts sociaux, sociétaux et environnementaux sont positifs. En intégrant la RSE à sa culture d'entreprise, une organisation aligne ses activités sociales et environnementales à ses valeurs et objectifs commerciaux.
Pilier social : le bien être des employés
Assurer le bien être des employés est fondamental. Cela permet d'améliorer la qualité de vie et la santé au travail et donc la productivité. La dimension sociale concerne donc les conditions de travail (inégalités sociales, salariales, etc.)
Cette loi PACTE rend obligatoire pour toutes les entreprises la prise en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de son activité » (Article 1833 du Code Civil).
Oui, la RSE comme levier de motivation au travail peut offrir de nombreux avantages à l'entreprise. Cela permet notamment de renforcer la satisfaction des salariés, d'améliorer la performance de l'entreprise, de favoriser l'innovation et la créativité et de renforcer l'image de l'entreprise.
La responsabilité sociale et sociétale des entreprises (RSE) peut se définir comme l'application du développement durable à l'entreprise. Pour rappel, le développement durable, tout comme la RSE, est fondé sur trois piliers : le pilier économique, le pilier social, et le pilier environnemental.
Une politique RSE forte permet de nouer des partenariats durables avec des clients engagés. En plus des avantages décrits sur le plan social, la RSE est un outil susceptible de propulser la valeur de la marque auprès de ses clients.
Les enjeux de la RSE se matérialisent par ses trois piliers que sont le pilier économique, le pilier social, et le pilier environnemental. Pour chacun de ces piliers, de nombreuses mesures peuvent être mises en place par les entreprises pour contribuer au développement durable.
Le sigle ESG signifie les critères environnement, société et gouvernance.
ESG est un acronyme qui signifie Environnement, Social et Gouvernance. Il s'agit d'un cadre utilisé pour mesurer les performances non financières d'une entreprise dans les catégories environnementales, sociales et de gouvernance.