L'extension des surfaces agricoles (par déforestation, assèchement de zones humides, etc.) détruit les écosystèmes. L'utilisation d'engins motorisés très lourds détruit la structure du sol. Les engrais et les pesticides non naturels polluent l'eau et le sol.
Un rapport de l'ONU prévient que la dégradation de l'environnement, due à des facteurs tels que l'urbanisation, la croissance démographique rapide, le développement économique et les transports, en particulier dans les pays du Sud, pourrait avoir de graves conséquences sur la santé de la population.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Pollution de l'air, de l'eau, des sols, nuisances sonores, destruction de la biodiversité… les répercutions de l'activité humaine sont diverses. En plus de dégrader l'environnement, l'activité humaine dégrade la vie quotidienne des hommes eux mêmes.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
Par ses choix de politiques industrielles et commerciales, l'homme influe directement sur le peuplement des milieux. Par exemple lorsque l'homme pratique la déforestation pour l'agriculture, il modifie l'environnement et supprime ainsi des milieux de vie de nombreux animaux.
En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde. En plus de son utilisation intensive d'eau et de pesticide, la culture de la canne à sucre ou de la betterave à sucre provoque aussi une forte érosion des sols.
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La Terre est confrontée à une « triple crise planétaire » : le dérèglement climatique, la perte de nature et de biodiversité, et la pollution et les déchets. « Cette triple crise menace le bien-être et la survie de millions de personnes dans le monde.
La dégradation peut être de trois formes : physique chimique ou biologique. Elle contribue à l'affaiblissement de la structure du sol induisant l'encroûtement, la compaction, et l'érosion.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Les principales causes d'érosion de la biodiversité
La destruction et la fragmentation des milieux naturels liées, notamment, à l'urbanisation et au développement des infrastructures de transport. La surexploitation d'espèces sauvages : surpêche, déforestation, braconnage… Les pollutions de l'eau, des sols et de l'air.
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
et les activités humaines (industries, transports, agriculture, chauffage résidentiel, etc.) sont à l'origine d'émissions de gaz et de particules dans l'atmosphère. Une fois émises dans l'air, ces substances sont transportées sous l'effet des vents, de la pluie, des gradients de température dans l'atmosphère.
Les sources de pollution y sont également nombreuses : cuisine, tabagisme, moisissures, matériaux de construction, meubles, acariens, produits d'entretien, peintures, poils d'animaux... C'est ce que l'on appelle la pollution de l'air intérieur.
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.). C'est pourquoi on mesure usuellement l'effet des autres gaz à effet de serre en équivalent CO2 (eq.
Les raisons en sont la chasse, la destruction de l'habitat, le commerce des espèces sauvages, l'introduction d'espèces dans l'environnement qui n'y appartiennent pas et enfin la pollution.
Perte de biodiversité
En raison de la surpêche, de la déforestation, de la destruction des habitats, de la pollution et d'autres facteurs, un plus grand nombre de plantes et d'animaux sont en voie d'extinction. Même la moindre perturbation d'un écosystème peut avoir un effet domino qui nous affecte tous.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
La mer, les fleuves et les nappes phréatiques sont pollués par les engrais chimiques, les pesticides et le traitement des eaux usées. Les usines rejettent des gaz polluants dans l'air et des résidus dans l'eau et le sous-sol. Les produits d'entretien et les déchets ménagers polluent aussi.
La banane, les mangues ou les pêches, sont les fruits qui demandent le plus d'eau et de pesticides pour être produits en quantités industrielles. 1200 litres d'eau pour 1 kg de pêches, 800 litres pour 1 kg de bananes, 1600 pour les mangues ou encore 3000 pour les dattes.
Plus d'infos ? L'air que nous respirons peut être pollué par différentes sources naturelles (pollens, poussières, moisissures, etc.) et anthropiques – causées par les activités de l'Homme – comme le trafic routier, les activités domestiques et industrielles.