Synonyme : domicile, foyer, habitation, logement, maison, nid, résidence. – Littéraire : logis.
demeuré adj. et n. Dont l'intelligence n'est pas développée ; imbécile, débile.
Continuer d'exister. Rester en place.
Origine : Cette expression du XVIIe siècle ne fait pas référence à la demeure en tant que maison mais au verbe demeurer qui signifie rester sans bouger. Avec ce sens, on comprend donc qu'il n'y a pas de gravité à être inactif.
Habitudes (d'une société, d'un individu) relatives à la pratique du bien et du mal. ➙ conduite, morale.
1. Pratiques sociales, usages particuliers, communs à un groupe, un peuple, une époque : Autres temps autres mœurs. 2. Habitudes particulières aux animaux de chaque espèce : Les mœurs des abeilles.
En langage soutenu, sœur se dit: apparentée, ou ma cadette =)
circuler. se renouveler par une circulation, un déplacement, en parlant de l'air, de fumées...
Nom commun. (Soutenu) Habitation, domicile. (Droit) Retard, temps qui court au-delà du terme où l'on est tenu de payer ou de faire quelque chose.
Tout bien considéré et pour ce qui reste à dire ; du reste, par ailleurs.
La locution restrictive « il n'en demeure pas moins que » a le sens de « malgré tout », « néanmoins ». —> Bien qu'elle tire ses origines de préceptes antiques, la rhétorique d'Aristote demeure néanmoins en vigueur.
demeurer, habiter, loger, séjourner, vivre.
demeure, foyer, habitation, maison.
Vagabondes. Ne sont pas bien fixées. Toujours en déplacement.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
De l'argot canut lyonnais, où le mot serait une déformation de frangeur (ouvrier qui fait des franges), le nom de famille Frangin est attesté au XVIII e siècle. Alice Becker-Ho rattache ce mot au romani phral, pal, bral (« frère, camarade »).
sœur → reusse, reuss, reusseu. mère → reum.
"Le pif" est le plus couramment utilisé, suivi, je pense, par "le tarin" et "le blair". "Le blase" (ou "le blaze"), "le tarbouif" et "le nase" (ou "le naze") me semblent moins fréquemment usités, de même que "le reniflant" et "le renifloir". Enfin, le registre soutenu nous offre "l'appendice nasal".
Les bonnes mœurs sont les habitudes, les usages conformes à la moralité, à la religion et à la culture d'un pays ou d'un peuple. Elles constituent un ensemble de normes, le plus souvent coutumières, en partie formulées dans les traités de civilité et dans les règles de droit civil et pénal.