On ne voit pas, dans les Évangiles, que Jésus ait beaucoup fréquenté les bandits : il n'en eut pas l'occasion. Et voilà qu'en une demi-journée, la dernière de sa vie mortelle, son destin se trouve intimement mêlé au destin de trois brigands : Barrabas, et les deux larrons crucifiés en même temps que Jésus.
dans l'évangile selon Luc : « Comme ils l'emmenaient, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus » (Luc).
La Cène représente le dernier repas de Jésus, le jeudi saint, entouré de ses douze apôtres (de gauche à droite, Bartolomé, Jacques le mineur, André, Judas, Pierre, Jean, Le Christ, Thomas, Jacques le majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée, Simon).
Les quatre Évangiles affirment que Jésus fut crucifié entre deux autres condamnés que Matthieu (Mt 27, 38) et Marc (Mc 15, 27-30) qualifient de « bandits », et Luc (Lc 23, 32-33 et 23, 39-43) de « malfaiteurs ».
Selon les textes néotestamentaires, Jésus-Christ fut condamné à mort par le préfet romain Ponce Pilate, et exécuté par le supplice de la croix avec l'inscription INRI. Sept paroles de Jésus en croix sont décrites dans les évangiles canoniques.
Lettres initiales des mots latins Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum, c'est-à-dire « Jésus le Nazaréen roi des Juifs », que Pilate avait fait mettre sur la Croix (Jean, xix, 20). (Elles figurent souvent sur les crucifix.)
Leo Perutz, dans son roman Le Judas de Léonard, avance l'hypothèse que Judas a trahi Jésus par orgueil : s'apercevant qu'il l'aimait plus que tout, il n'a pas supporté d'être dépendant de quelqu'un au point de s'oublier lui-même.
Aussi appelée « croix de crucifix ou croix latine », la croix de Jésus désigne la crucifixion du Christ. L'histoire raconte que ce modèle de croix catholique serait le dérivé du poignard, le symbole d'origine païenne.
La croix de Saint-Pierre est mondialement connue sous le nom de croix inversée. Elle doit son nom à l'apôtre Pierre qui a été crucifié la tête en bas, estimant qu'il ne méritait pas d'être crucifié comme Jésus.
L'utilisation de la croix comme symbole officiel de la chrétienté remonte au règne de Constantin Ier. À la fin du IVe siècle, la mère de l'empereur Constantin, l'impératrice Hélène, découvrit la Croix de Jésus et celles des deux larrons crucifiés à ses côtés.
Grâce à une copie contemporaine de la Cène, nous pouvons identifier chacun des personnages. Il s'agit, de gauche à droite, de Barthélemy, Jacques le Mineur, André, Judas (tenant une bourse), Pierre, Jean, Jésus, Thomas, Jacques le Majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée et Simon.
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
Dans la Bible hébraïque et l'Ancien Testament
Il est considéré comme la main gauche de Dieu. Daniel, 8,17 : « Gabriel s'approcha de l'endroit où je me tenais. Terrifié, je me jetai le visage contre terre, mais il me dit : « Toi qui n'es qu'un homme, sache pourtant que cette vision concerne la fin des temps ».
C'était Simon de Cyrène, le père d'Alexandre et de Rufus. Il existe une tradition marginale mais ancienne au sein du monde chrétien selon laquelle Simon de Cyrène – qui porta la croix de Jésus Christ – était noir.
Matthieu parle du même groupe de femmes en disant qu'« il y avait là plusieurs femmes qui regardaient de loin ; qui avaient accompagné Jésus depuis la Galilée, pour le servir. Parmi elles étaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques et de Joseph, et la mère des fils de Zébédée » (Matthieu 27:55-56) 3.
L'une de ces basiliques, le Saint-Sépulcre à Jérusalem, est érigée sur l'emplacement présumé du tombeau du Christ et du Golgotha. Rapidement, cette basilique prétend posséder une relique particulièrement prestigieuse : la Vraie Croix.
Deux hommes s'y trouvent qui annoncent la résurrection, elles vont l'annoncer aux disciples qui doutent. Pierre se rend lui aussi au tombeau et constate qu'il est vide. L'Évangile selon Jean, au chapitre 20, 1-17 : Marie de Magdala se rend au tombeau, le trouve vide et prévient Pierre et le disciple que Jésus aimait.
J. -C. André (Andreas en grec) est un Juif de Galilée, frère de saint Pierre, et le premier des apôtres à connaître Jésus-Christ, aussitôt après son baptême sur les bords du Jourdain.
L'origine du symbole vient de la tradition catholique selon laquelle Pierre l'apôtre aurait été crucifié à l'envers, d'après Origène d'Alexandrie. La tradition du martyre de saint Pierre, s'appuie sur un texte apocryphe, fragmenté, les Actes de Pierre, écrit vers la fin du II e ou le début du III e siècle.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
La croix orthodoxe se différencie de la croix patriarcale et de la croix de Lorraine par la présence de la troisième barre en oblique. Et chacune des barres a sa propre signification.
Le personnage le plus célèbre portant ce nom est Judas Iscariote, souvent désigné sous le seul nom de Judas, entré dans le langage courant comme synonyme de « traître » : c'est un apôtre qui selon les Évangiles aurait livré Jésus Christ aux prêtres juifs.
Présentation. « 1 Il arriva, en ce temps-là, que Juda s'éloigna de ses frères et s'achemina vers un habitant d'Adoullam, nommé Hira. 2 Là, Juda vit la fille d'un Cananéen, appelé Choua ; il l'épousa et s'approcha d'elle. 3 Elle conçut et enfanta un fils, à qui il donna le nom d'Ér (« Éveillé »).
Chacun des quatre Évangiles rapporte qu'après l'arrestation de Jésus, l'apôtre Pierre, par peur de risquer lui aussi la mort, nie trois fois avoir eu une relation avec celui-ci.