Cassandre est la fille du banquier Bernard Salviati, issu d'une noble famille florentine et châtelain de Talcy, non loin de Blois. Elle avait environ quatorze ans lorsqu'elle rencontra Pierre de Ronsard, le 21 avril 1545 , lors d'un séjour de la cour au château de Blois (Ronsard, lui, avait vingt ans).
La muse de Ronsard est sa bien-aimée, Cassandre. C'est la jeune Salviati qu'il a rencontrée à Blois. Ronsard l'associe à Hélène, la plus belle femme du monde, mais aussi à la prophétesse Cassandre, princesse de Troie. Le poète met en scène la mythologie.
Cette ode, inspirée du poète latin Ausone, est composée en 1545 après la rencontre de Pierre de Ronsard, âgé de 20 ans, avec Cassandre Salviati, fille d'un banquier italien. Ce poème fait partie du premier livre des Odes, 17, et évoque la jeunesse qui passe comme le temps d'une fleur.
Pierre de Ronsard, clerc et aumônier ordinaire du roi François 1er, a 20 ans quand il rencontre le 21 avril 1545, à Blois, lors d'un bal, la fille du banquier italien Bernard Salviatti, heureux propriétaire du château voisin de Talcy.
Ronsard utilise une image banale, celle de la rose comme beauté de la femme. Mais il renverse cette banalité en personnifiant la rose.
Les Amours de Cassandre ?
Le jeune Pierre de Ronsard rencontre Cassandre Salviati à la cour de Blois. Il a 20 ans, elle en a 15. Tout de suite, c'est le coup de foudre (pour Ronsard seulement ?). La flamme ne pourra jamais prendre car Ronsard fait partie du clergé et Cassandre épouse de toute façon un autre homme.
Son œuvre développe les grands thèmes lyriques, comme l'amour, la fuite du temps ou encore la mort. Idée générale : Ce poème appartient aux Amours, ici de Cassandre. Il s'git d'un poème lyrique dédié à la femme aimée. C'est le poème le plus connu de Pierre de Ronsard.
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Le dernier amour de Pierre de Ronsard est Hélène de Surgères. Le recueil s'appelle Amour, il contient notamment "Sonnet pour Hélène".
Ce poème est composé de trois sizains d'octosyllabes. Concernant les rimes, nous avons deux rimes plates suivies de rimes embrassées (AABCCB).
En 1555 paraît un autre recueil de poésie amoureuse, que Ronsard appelle Continuation des Amours, et qui par son titre se place donc la continuité du recueil précédent. C'est à une autre jeune fille qu'il est dédié, Marie, que Ronsard aima pendant quelques années.
La paronomase (proximité de son entre deux mots) entre le terme « rose » et « robe » renforce l'assimilation de la femme aimée à une rose et vise à montrer la continuité entre la beauté de la femme et la beauté de la nature tout comme la comparaison « Comme à cette fleur» .
La comparaison entre la fleur et la femme
Dans ce poème, Ronsard compare la femme à une rose, en personnifiant cette dernière. Ainsi, la rose possède une “robe” et a un teint pareil à celui de la femme.
Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait éclose Sa robe de pourpre au Soleil, N'a point perdu cette vêprée* Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au votre pareil.
Une fois que, en dépit de tous les avertissements, les Grecs ont fait entrer le cheval de bois dans la ville, Cassandre se poignarde avec d'autres Troyennes, qui redoutent la brutalité des Grecs plus que la mort.
Cette œuvre naît de l'injonction de la reine Catherine de Médicis. En effet, cette dernière désire consoler sa fille d'Honneur, Hélène de Surgères, dont l'amant est tombé au combat. Les vers sur l'amour de l'auteur de renom Ronsard sont alors supposés apaiser son cœur et estomper son chagrin.
Il les célèbre à travers des recueils de poèmes dans lesquels il exprime à la fois ses sentiments et la fuite du temps. Ronsard est tour à tour, amoureux passionné, tendre ou sensuel. A travers ses poèmes, il exprime cette multitude d'états de l'amour et loue la grâce, la beauté éphémère et l'urgence de vivre.
Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant : Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle.
Quand vous serez bien vieille, conclusion :
Ce sonnet se distingue d'autres poèmes amoureux par la stratégie paradoxale qu'adopte Ronsard : il peint un portrait négatif de sa belle tout en se mettant lui-même en valeur, pour la persuader de se laisser séduire.
Au XVIe siècle, le célèbre poète Ronsard a consacré des recueils amoureux à trois femmes, ou plus exactement à trois représentations différentes de la femme, qu'il a nommées Cassandre, Marie et Hélène. Il a en effet composé Les Amours de Cassandre puis Les Amours de Marie et enfin les Sonnets pour Hélène.
Promis à devenir courtisan, Pierre de Ronsard est atteint d'une surdité qui l'oblige à abandonner la carrière des armes et de la diplomatie. Il reçoit les ordres mineurs et se consacre aux lettres. Aumônier ordinaire du roi en 1559, il devient le poète officiel de la cour.
3. Pétrarque exprime ici l'ambivalence du sentiment amoureux en faisant cohabiter le champ lexical de la joie et celui de la douleur : « je fus atteint » (v. 3), « tourment » (v. 5), « je fus transpercé » (v.
Dans ce texte, Ronsard se compare à un chevreuil qui est libre de faire ce qu'il veut et qui laisse la vie le mener où bon lui semble. Il commence d'abord à décrire le chevreuil comme étant un être libre qui se gambade dans la nature. Le personnage alors confiant et insouciant s'aventure dans la vie et expérimente.
Sur ce modèle, on écrira : de nouvelles amours, des amours mutuelles… Quand il s'agit des représentations du dieu Amour (en peinture, sculpture, etc.), « amour » est toujours masculin, au singulier comme au pluriel. Exemple : « des amours sculptés ».