Les milliardaires canadiens ont fait fortune autant dans la technologie (comme David Cheriton), les médias (David Thompson, la plus grande fortune du pays), le commerce de détail (Alain Bouchard) ou la finance (Stephen Jarislowsky) que dans l'alimentation (Lino Saputo), pour n'en nommer que quelques-uns.
Pierre-Karl Péladeau – 2,26 G$ CAN (1,8 G$ US) Pierre-Karl Péladeau est à la tête de l'empire fondé par son père, Pierre Péladeau. Pierre Péladeau étudiait le droit lorsqu'il a emprunté de l'argent à sa mère et a acheté sa première entreprise médiatique, un journal.
Les « ultrariches »
Lorsqu'on élargit le regard aux 20 % des ménages québécois les plus riches, on se retrouve avec une valeur nette médiane de 1,31 million, contre 545 000 $ pour le deuxième quintile le plus riche, et de seulement 2600 $ pour les 20 % les plus pauvres.
Pierre Karl Péladeau – 2,42 milliards de dollars
Aujourd'hui à la tête de Québecor, un joueur majeur dans l'industrie des médias et des télécommunications au Canada, Pierre Karl Péladeau est impossible à ignorer au Québec, où la plupart des actifs de l'entreprise sont concentrés.
Pierre-Karl Péladeau – 2,26 G$ CAN (1,8 G$ US) Pierre-Karl Péladeau est à la tête de l'empire fondé par son père, Pierre Péladeau. Pierre Péladeau étudiait le droit lorsqu'il a emprunté de l'argent à sa mère et a acheté sa première entreprise médiatique, un journal.
Compte tenu de la croissance de la population et du PIB, le 1 % regroupe aujourd'hui 65 500 personnes et le seuil pour en faire partie est passé à 220 100 $. Les 65 500 bien nantis qui dépassent ce seuil ont une rémunération moyenne de 462 600 $, à laquelle je fais référence dans le chapeau de ma chronique (1).
Sans surprise, Vancouver est devenue la première «ville de millionnaires» au Canada : la valeur nette moyenne des ménages est de 1 036 202 $, une augmentation de 7,1 % depuis 2014.
La femme d'affaires canadienne Louise Blouin, qui a figuré au milieu des années 2000 parmi les femmes les plus riches au pays, a été visée par au moins six recours judiciaires récents au Québec.
Les cas Westmount, Outremont et Mont-Royal
En examinant la carte de l'île de Montréal, un premier élément saute aux yeux : les îlots de richesse que sont Westmount, Outremont et Mont-Royal.
Photo: Ludovic Marin Agence France-Presse Il fallait, selon Statistique Canada, avoir un revenu total d'au moins 236 000 $ par an pour faire parti des quelque 45 000 membres du club des 1 % des plus riches Québécois en 2017.
Le seuil de richesse, établi par l'observatoire des inégalités, est fixé cette année à 3.470 euros pour une personne seule, après impôts, soit le double du niveau de vie médian que l'Insee fixe à 1.735 euros (en 2017). Ce sont donc 5 millions de personnes qui gagnent plus que ce seuil de richesse.
Les membres du club des 1 % les plus riches restent les grands gagnants de ces mesures, qui font progresser de près de 3 % leurs revenus après impôts. Si l'on se focalise sur ces "ultra-riches"- dont le niveau de vie minimum est de 7180 euros mensuel - la tendance est à l'enrichissement.
La taille de l'économie québécoise, comparée à celle des 192 pays du globe, nous placerait au 17ème rang des pays les plus riches. Par contre, comparée aux 50 États américains et aux 10 provinces canadiennes, on chute au 52ème rang.
Dany Boon arrive en tête du palmarès masculin avec un salaire de 7,5 millions d'euros annuels.
Le pays gagne un rang au palmarès des pays les plus riches du monde selon le FMI. En 2022, son produit intérieur brut devrait atteindre les 619 milliards de dollars, d'après l'organisation.
Les agglomérations de Grenville et Lachute trônent au sommet peu enviable des villes canadiennes où il y a le plus de personnes pauvres. Les ménages québécois continuent d'avoir les revenus parmi les plus bas du pays.
Environ 600 000 personnes, soit un Montréalais sur cinq, vivent cette réalité. À Montréal, une famille de quatre personnes est en situation de pauvreté si elle gagne moins de 44 000 $ par an. Le Sud-Ouest, Montréal-Nord, Parc-Extension et Hochelaga font partie des quartiers les plus pauvres.
Les 67 552 particuliers qui se retrouvaient dans ce 1 % des Québécois les plus riches en 2020, selon Revenu Québec, gagnaient un revenu annuel médian de 367 000 $. Ce groupe est formé majoritairement d'hommes, à 72 %, par rapport à 28 % de femmes.
Rihanna est désormais la chanteuse la plus riche de la planète… mais pas grâce à la musique.
Kevin David Lehmann, 19 ans, remporte le titre de plus jeune milliardaire du monde pour la deuxième année consécutive, avec une fortune estimée à 2,4 milliards de dollars.
La Tuque, en Haute-Mauricie, est la championne.
L'Alberta arrive en tête avec la note « A » et obtient une 3e place après le Danemark et la Finlande. Sept provinces ont un taux de pauvreté plus élevé que l'ensemble des pays de comparaison, à l'exception du Japon et des États‑Unis.
Le Luxembourg reste le pays au plus fort PIB par habitant en 2021, avec un produit intérieur brut par tête de 126 000 dollars.