Milady de Winter, qui apparaît dès le début du roman, exécute diverses missions au service de Richelieu, principalement dans sa vendetta contre la reine Anne d'Autriche. Dans ce rôle, elle est l'ennemie de d'Artagnan et des mousquetaires, lesquels s'évertuent à protéger la reine.
La rivalité constante entre mousquetaires du roi et gardes du cardinal constitue un moyen pour les deux hommes de se mesurer l'un à l'autre.
D'Artagnan, tombé amoureux de la belle Marie de Rabutin-Chantal qui, malheureusement, ne veut pas épouser une légende, s'en retourne en bataille avec son fidèle Planchet et retrouve un par un tous ses amis mousquetaires.
Elle fait ensuite périr la malheureuse Mme Bonacieux par le poison. Elle a essayé de pousser D'Artagnan à tuer le baron de Wardes mais il ne l'a pas fait. Enfin , Milady est coupable du suicide du prêtre , frère du bourreau de Lille.
Les trois mousquetaires sont au nombre de quatre, a-t-on dit spirituellement; Alexandre Dumas n'a pas eu tort non plus en disant les trois mousquetaires, car le quatrième ne devient mousquetaire qu'au milieu du roman. Leurs noms sont Athos, Porthos, Aramis et d'Artagnan; chacun a sa personnalité bien tranchée.
En septembre 1661, Louis XIV est invité à une fête somptueuse chez Fouquet, son surintendant des Finances. Humilié, le roi mandate ensuite en secret D'Artagnan le célèbre Mousquetaire.
Enlevée une seconde fois par des hommes de main de Richelieu pour la même raison que la première fois, elle est finalement empoisonnée par Milady de Winter, en raison de la jalousie de celle-ci (Milady avait eu le corps de d'Artagnan, mais Constance aurait son cœur à tout jamais) et enterrée dans un couvent proche de ...
Le mousquetaire porte aussi, bien sûr, la rapière. C'est une épée de taille et, de plus en plus, d'estoc. Elle vient d'Espagne et d'Italie, depuis le XVIe siècle. Sa garde est très élaborée, la lame allongée et affinée.
Il se lie d'amitié avec trois d'entre eux et se rend utile à la Reine de France devenant ainsi un aventurier téméraire. Athos : Aristocrate, comte de la Fère, il est le plus âgé des mousquetaires. Proche de d'Artagnan, il fait aussi figure de père envers lui. Sa loyauté est sans faille.
A peine acheva-t-il ce dernier mot : l'impulsion de la chute augmenta la pesanteur ; l'énorme roche s'abattit, pressée par les deux autres qui s'abattirent sur elle et engloutit Porthos dans un sépulcre de pierres brisées. En entendant la voix expirante de son ami, Aramis avait sauté à terre.
Il n'y a donc qu'un seul d'Artagnan enterré au Plessis-Robinson ; même si sa pierre tombale a disparu, sans doute à la révolution, une plaque en témoigne dans l'église : A la mémoire de Pierre de Montesquiou, comte d'Artagnan, maréchal de France, conseiller au conseil de régence, chevalier commandeur des ordres du roi, ...
Il entre vers 1633 dans la compagnie des mousquetaires, prend le nom de sa mère, d'Artagnan, et le titre de comte. En 1646, les mousquetaires sont licenciés et d'Artagnan entre au service de Mazarin parmi ses « gentilshommes ordinaires ».
Athos, Porthos et Aramis ont bel et bien existé
L'auteur ne s'en est jamais caché d'ailleurs. En s'appuyant délibérément sur le livre, très romancé, de Gatien de Courtilz de Sandras, Les mémoires de M.
Frappé en pleine tête par une balle de mousquet, Charles de Batz de Castelmore, comte d'Artagnan, est mort sous les remparts de Maastricht le 25 juin 1673. L'histoire officielle assure qu'il repose à cet endroit. Mais Joseph Varro refuse de se satisfaire de cette version.
Ce sont les Quatre Mousquetaires. Jacques Brugnon, Jean Borotra, Henri Cochet et René Lacoste gagnent ce surnom en référence au roman d'Alexandre Dumas, leur façon de jouer évoquant le maniement de l'épée et leur esprit conquérant rappelant celui des célèbres soldats béarnais.
Il poursuit ensuite une carrière brillante qui fait de lui un maréchal de camp, gouverneur de la place de Lille en 1672. C'est devant Maëstricht, une ville des Pays-Bas assiégée par les Français, qu'il meurt héroïquement d'une balle hollandaise reçue en pleine gorge le 25 juin 1673.
Les trois mousquetaires, Athos, Porthos et Aramis sont des personnages créés par l'auteur Alexandre Dumas au XIXe siècle dans son œuvre Les Trois Mousquetaires. En revanche, d'Artagnan, de son vrai nom Charles de Batz de Castelmore, a lui vraiment existé. C'était un mousquetaire des rois Louis XIII et Louis XIV.
Capitaine-lieutenant de la première compagnie des mousquetaires du roi, d'Artagnan est mort au siège de Maastricht, le 25 juin 1673, au cours de l'assaut contre une demi-lune qui défendait la ville.
La première compagnie fut créée par Louis XIII en 1622, à partir de la garde personnelle de son père, dont les soldats étaient alors pourvus de carabines. Louis XIII les dota d'une arme plus puissante, le mousquet, d'où l'on tira le nom de mousquetaire.
Une deuxième compagnie, créée en 1663, devint celle des « mousquetaires noirs » (chevaux à robe noire). Composées chacune de deux cent cinquante hommes, tous de condition noble, les deux compagnies suivaient le roi à l'armée et logeaient au plus près de lui.
Le roi Louis XIII et la reine Anne d'Autriche, le tout-puissant ministre-cardinal duc de Richelieu, le duc de Buckingham, le comte de Tréville, capitaine-lieutenant de la compagnie des mousquetaires, grandes figures du temps, ont bien sûr existé.
«Un pour tous et tous pour un.» Cette devise des Trois mousquetaires résume le lien d'amitié et de loyauté qui unit les quatre héros d'Alexandre Dumas.
A partir de 8 ans. Malgré ses deux heures, le film se laisse regarder sans trop d'encombre grâce à son rythme effréné et ses nombreux rebondissements.