Un graffeur est un artiste spécialisé qui a une très bonnes connaissances dans le domaine du graffiti.
Les auteurs de ces graffiti sont appelés « graffeurs » ou « graffiti-artists » plutôt que « graffiteurs ».
Or l'article 322-1 du Code pénal proscrit « le fait de tracer des inscriptions, des signes ou des dessins, sans autorisation préalable, sur les façades, les véhicules, les voies publiques ou le mobilier urbain ».
Le prix d'une fresque murale au m² varie de 150 € à 2000 € TTC avec un prix moyen de 600 € TTC. Les montants peuvent être dégressifs. Le coût de préparation du support au m² s'étend de 15 € à 35 € TTC, selon l'état général et les travaux à réaliser.
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Ils utilisent des bombes de peinture aérosol ou de la peinture acrylique, et leurs supports sont en carton, en métal, en PVC, en papier, etc. En décomposant un motif en plusieurs pochoirs, ils appliquent plusieurs teintes sur une même œuvre, offrant aux spectateurs des réalisations de plus en plus élaborées.
Aucun cadre juridique ne lui est spécifiquement dédié. Pas même la règlementation sur l'affichage urbain et son célèbre « défense d'afficher, loi du 29 juillet 1881 ». Protégé par la liberté d'expression ou la propriété intellectuelle, cet art au sens « street » est pourtant pénalement répréhensible.
Les tags, les graffitis et autres inscriptions non autorisées sur une façade ou un véhicule, sont considérés comme des actes de vandalisme. Une contravention de 5e classe, soit 1 500 € ou plus, s'il n'en résulte qu'un dommage léger (Article R. 635-1 du Code Pénal).
En effet, la règle la plus simple pour ne pas avoir de soucis avec la justice est d'obtenir l'autorisation du propriétaire du support utilisé (qu'il soit public ou privé). Les Villes ont compris que le street art peut être un atout pour elles. Cet art leur renvoie une image moderne, jeune, artistique.
Le délit prévu et réprimé à l'article 322-1 du code pénal est caractérisé dès lors que l'apposition tags et graffiti sur un support détériore la substance même de celui-ci, même si la peinture utilisée n'est pas indélébile (Cour de Cassation, chambre criminelle, 1er juin 1994, req. n°93-84966).
Le maire, en qualité d'autorité de police municipale, peut faire intervenir les services de voirie ou de nettoyage pour procéder, avec l'accord des propriétaires concernés, à l'enlèvement des inscriptions apposées sur leurs propriétés privées et visibles de la voie publique.
Le Tag est une signature dont l'objectif est de marquer de manière rapide un mur ou le mobilier urbain, ce dernier est souvent illégal. Un graffiti est quant à lui une œuvre à part entière dont la réalisation souvent réglementée, il nécessite plus de technique artistique et de temps.
Cette forme d'art va au-devant des gens sans qu'ils l'aient forcément souhaité. Elle permet de toucher des personnes qui n'entreraient pas dans un musée ou dans une galerie d'art. Les artistes de rues s'approprient l'espace urbain pour contester, bousculer, déranger, revendiquer, dénoncer, interroger, soutenir...
Selon son imagination, le désir du client (dans le cadre d'une activité légale) ou le message qu'il souhaite faire passer, le graffeur réalise des personnages, des lettrages, des paysages, des décors, des fresques, généralement en couleurs.
Graffitis illégaux
Revenons à notre question initiale : art ou vandalisme? Les graffitis sont considérés comme du vandalisme lorsqu'ils sont réalisés sans consentement ou autorisation légale sur un lieu public ou privé.
A l'origine, le street art est un art transgressif qui repose sur un acte illicite puisqu'un artiste réalise une œuvre sans l'autorisation du propriétaire du support matériel. En ce sens, parce qu'il porte atteinte à la propriété d'autrui, personne privée ou personne publique, le street art est pénalement sanctionné.
Le mélange entre une eau fortement javellisée et du bicarbonate de soude peut aider au nettoyage de la façade, et permet parfois de retirer le tag. On peut aussi tenter le white spirit, qu'il faudra appliquer sur un chiffon avant de « tamponner » le mur.
Or, la liberté d'expression ne saurait constituer un abus et peut, à ce titre, être limitée. De la même manière, le street art ne peut, sous couvert de liberté d'expression ou de création, porter atteinte ni à l'ordre public ni au droit des tiers.
En Russie, les fresques propagandistes envahissent les murs et signent l'arrivée d'une nouvelle ère artistique liée à la rébellion et aux contestations, qu'elles soient politiques, sociales ou économiques. Toutefois, on s'accorde à dire que le street art nait véritablement dans les années 1960 aux États-Unis.
Tracer la base. Écrivez votre prénom au crayon à papier ou à la craie. Écrivez-le en caractères d'imprimerie plutôt qu'en écriture cursive et utilisez un outil d'écriture que vous pourrez effacer, car vous allez devoir modifier l'apparence des lettres. Faites de grosses lettres nettes qui ressortent bien.
La MTN 94 fait figure de favorite des bombes graffiti dans un grand nombre de pays. Incontestablement LE succès de ces dernières années ! Une bombe de peinture basse pression particulièrement adaptée dans le travail des personnages et décors.
De manière générale, pour une prestation de qualité, les prix d'une fresque par un street artist commencent à 75 euros par m² et peuvent grimper jusqu'à 1 000 euros par m².