Sa Sainteté Gyalwang Karmapa vit aujourd'hui en Inde et y dispense son enseignement religieux. Appelé aussi Tachi-Lama, il est considéré comme la réincarnation du bouddha Amitâbha, bouddha de la lumière infinie. Panchen-lama signifie "maître qui est un grand érudit".
Ayant atteint le nirvāna, le bouddha (comme l'arhat) vit sa dernière existence ; la mort signale l'extinction totale (parinirvana). Dès l'origine, le bouddhisme reconnaît, outre le Bouddha de notre ère, plusieurs bouddhas du passé qui l'ont précédé.
Bouddha serait mort après avoir mangé de la viande avariée. Certains disent qu'il est mort d'une intoxication alimentaire due à de la viande de porc contaminée. D'autres disent qu'il est mort après avoir mangé un champignon vénéneux. Ses derniers mots auraient été : "Toute cette pourriture.
Troisième chef spirituel du bouddhisme tibétain, le titre du 17e karmapa est sujet à une controverse. Il y a actuellement deux candidats karmapa, Trinley Thaye Dorje et Orgyen Trinley Dorje. Orgyen Trinley Dorje est considéré comme le successeur potentiel du dalaï-lama.
La réincarnation est une des croyances centrales de l'hindouisme.
L'histoire de Bouddha. Shakyamuni dit le Bouddha « l'éveillé » est un chef spirituel qui enseigne la méditation. Il vécut il y a environ 2500 ans en Inde. Il naît à Lumbinî (Népal) où on le nomme «Siddhartha gautama», celui qui atteint son but.
Yashodhara (glorieuse) est la cousine et l'épouse principale de Gautama, mère de son fils Rahula. Connue par les Jatakas (légendes de la vie du Bouddha), elle serait devenue du vivant de Gautama une ascète, une nonne prééminente et l'un des quatre arahants de son entourage possédant l'intuition absolue.
Bouddha couché
Certaines des statues les plus spectaculaires du Bouddha le représentent couché sur le côté, la tête reposant sur sa main droite. Cette posture rappelle le dernier moment de la vie physique du Bouddha, quand, à l'âge de 80 ans, il quitte ce monde et atteint le parinirvana, ou le « nirvana final ».
Pour le bouddhisme, se réincarner ne signifie pas ne plus vivre dans l'Au-delà : une partie seulement de la personnalité se réincarne, une autre partie continue de vivre dans une autre dimension… Donc honorer ses morts, même si'ls sont déjà réincarnés n'est pas incompatible.
On peut avoir des informations sur ses vies antérieures grâce à ses rêves. On peut également faire des méditations guidées, en sachant où on met les pieds. On voit parfois des choses très dures qu'il faut être capable d'accepter.
L'incarnation a lieu au milieu de la grossesse.
Ces premiers mouvements de l'enfant sont très différents des faibles et spasmodiques sursauts qui étaient ressentis par la mère lors des premiers mois. Après l'incarnation, beaucoup de mères ressentent clairement la proximité de l'âme de l'enfant et sa personnalité.
La réincarnation fait partie intégrante du bouddhisme, même si elle ne fut jamais enseignée par Bouddha. Les bouddhistes considèrent qu'un individu ayant atteint un haut degré de spiritualité est capable d'influer sur son propre destin en transmettant son flux spirituel dans un autre corps à naître.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
Avant tout, Bouddha était un homme, une personne physique, vivant dans une communauté et ayant eu une famille. Ce n'est qu'après avoir été éveillé qu'il a perdu l'aspect ordinaire d'un être humain, c'est-à-dire qu'il était un homme éveillé et un homme qui avait reçu une divinité finale.
Le bouddhisme et la mort. Dans la philosophie bouddhiste, on considère l'esprit comme la partie la plus importante de l'Homme et comme la seule qui reste après la mort. Au moment du décès, l'esprit suit ce qu'on appelle le cycle karmique : son avenir dépend des actions que le défunt a entrepris de son vivant.
Les vingt-huit bouddhas sont honorés lors des fêtes bouddhistes dans les pays où le theravada est prédominant, comme le Myanmar, le Laos ou la Thaïlande. Il s'agit de vingt-sept bouddhas du passé et du Bouddha Gautama qui vient à leur suite.
C'est un symbole de prospérité, de joie de vivre, de sagesse ainsi qu'un porte-bonheur : frotter son ventre apporterait richesse et chance, dans la croyance populaire.
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
Exemple de calcul du nombre de vies antérieures
Si vous êtes né. e le 17 février 1992, vous allez devoir additionner 1+7 (votre jour de naissance) + 2 (mois de naissance) +1+9+9+2 (année de naissance). Le total fait 31. Faites une dernière addition pour vous retrouver avec un seul chiffre.
Il le prépare par étapes à accueillir la Révélation surnaturelle qu'il a faite de Lui-même et qui va culminer dans la Personne et la mission du Verbe incarné, Jésus-Christ. » (§ 53). La Révélation annonce l'Incarnation, et les Écritures la préparent puis la relatent.
- Le Bouddha rieur, possède lui une image tout autre, il est plutôt associé au bonheur et à l'abondance. Le terme porte-bonheur lui sied donc particulièrement bien! c'est un bouddha que l'on offre pour attirer la bonne fortune. Si vous avez besoin de chance, Budaï pourrait bien être votre allié!
Quelles que soient les religions, les statues à l'effigie des divinités sont souvent réputées pour porter bonheur. Le bouddhisme ne déroge pas à cette règle. Pour les pratiquants de cette religion et de cette philosophie de vie, il est évident qu'une statue Bouddha délivre des ondes positives et apporte de la chance.