Le 28 juin 1940, le Premier ministre Winston Churchill reconnaît officiellement De Gaulle comme « chef de tous les Français libres ». A l'été 1940, la France n'est constituée que de quelques milliers d'hommes et de femmes qui se mettent au service de l'Homme du 18 Juin et défilent à Londres le 14 juillet 1940.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Forces françaises libres (FFL) était le nom donné aux forces armées ralliées à la France libre sous l'égide du général de Gaulle.
FFI → Forces françaises de l'intérieur. FFL → Forces françaises libres.
Ce diagramme permet de préciser le terme de Français libres, défini par une instruction ministérielle de 1953 : il s'agit d'hommes et de femmes volontaires ayant combattu sous les ordres du général de Gaulle, et ce, entre le 18 juin 1940 et le 31 juillet 1943.
Nom donné au petit groupe de volontaires qui, répondant à l'appel du général de Gaulle lancé de Londres le 18 juin 1940, décidèrent de continuer la lutte contre l'Allemagne malgré l'armistice.
Son président actuel est le général Robert Bresse.
Soutenu par Winston Churchill, le général de Gaulle crée la France libre en juillet 1940 en Angleterre. Son but est de poursuivre la guerre, libérer la France et lui rendre son rang.
Forces françaises libres (FFL) : formées par de Gaulle au cours de l'été 1940, les FFL regroupent d'abord des unités rapatriées de Dunkerque, de Narvik et de l'armée du Levant, rejointes par quelques soldats et civils (tels les pêcheurs de l'île de Sein) de métropole qui ont réussi à parvenir jusqu'en Angleterre.
La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943 , puis celle des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944 , marquent les jalons essentiels de ce processus d'unification parfois difficile.
Cette ligne de séparation du territoire prend effet le 25 juin 1940. Elle prendra par la suite le nom de ligne de démarcation. L'ensemble du territoire et l'Empire sont sous l'autorité du régime de Vichy dirigé par le maréchal Pétain.
Organisation armée de résistance à l'occupation allemande de la France, durant la Seconde Guerre mondiale, les F.T.P., ou Francs-tireurs et partisans, avaient été créés par le Front national, lui-même mouvement de résistance en zone nord à partir de juin 1941 et qui était dominé par le Parti communiste.
Les cinq membres du bureau du CNR sont Georges Bidault, président, qui représente le parti radical et l'Alliance démocratique, Louis Saillant qui représente d'abord la CGT, mais aussi les Socialistes, Libération-Nord et la CFTC, Pascal Copeau, membre de Libération-Sud, qui représente aussi les Mouvements unis de la ...
Le 18 juin 1940 ; le général De Gaulle lance un appel à la Résistance. Il organise une armée, les FFL, chargée de combattre l'ennemi aux côtés des Alliés. En 1941, il créé un nouveau gouvernement, le Comité national français.
Un jeune général de brigade fraîchement nommé sous-secrétaire d'Etat à la guerre qui n'a à son crédit qu'une victoire à Montcornet escamote à son profit par un génial tour de passe-passe la substance nationale de la France. Beaucoup plus fort que Bonaparte le 18 brumaire, revenant d'Italie avec une gloire éclatante.
Les Forces armées françaises, souvent appelées « l'Armée française » dans le langage courant, constituent la puissance militaire de la République française chargée de la défense de la population, du territoire et des intérêts nationaux de la France.
Afin de brouiller les pistes, les résistants peuvent démultiplier les pseudonymes. Le général Delestraint (chef de l'Armée secrète) est tour à tour "Vidal", "Mars", "Chevalier", "Delé" ou encore "Duchêne". Il est néanmoins arrêté par la Gestapo.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
Forces françaises de l'intérieur (FFI) : Le 1er juin 1944 le CFLN (voir définition) regroupe les diverses formations militaires de la Résistance (Armée Secrète, groupes francs, Francs-Tireurs et Partisans, etc.) en créant les Forces françaises de l'Intérieur.
Pour le général de Gaulle, les forces navales de la France Libre jouent également un rôle stratégique important : elles sont chargées d'escorter les convois, et le général de Gaulle profite de leurs parcours pour susciter des ralliements au sein de l'Empire (le Gabon en novembre 1940, Saint-Pierrre-et-Miquelon en ...
En 1943, le général de Gaulle mandate Jean Moulin|Moulin pour unifier la Résistance. L'ensemble des courants est regroupé dans le CNR (Conseil national de la Résistance|national de la résistance). L'un des principaux travaux du Conseil National de la Résistance est la mise au point d'un programme pour la Libération.
Elle participe ensuite à la campagne de Tunisie au printemps 1943, puis forme la 2e division blindée, qui à partir d'août 1944 participe aux combats de la Libération et atteint Berchtesgaden, le « nid d'aigle » d'Hitler.
Brazzaville devient le lieu où la France libre cherche à affirmer sa légitimité en droit et en pratique. Brazzaville est la seule capitale légitime, dans un cadre juridique colonial, qui autorise donc un système peu démocratique. La ville est loin, en 1940, de se comparer à Paris ou Londres, voire à Alger.
Les FFL rassemblent les forces terrestres de la France libre, les forces aériennes françaises libres (FAFL) et les forces navales françaises libres (FNFL). Les forces terrestres réunissent de nombreux corps, unités et divisions comme la 1ère Division française libre et la 1ère Division blindée.
Robert Pestieaux, vétéran de la France Libre, qui a rejoint le général de Gaulle à Londres en juin 1940.