Dans ce cas, il est scientifiquement impossible de déterminer qui est l'aîné. » La législation française considère cependant que chez les jumeaux, le premier enfant né est l'aîné, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne.
On pensait que le bébé placé le plus au fond de l'utérus était le premier « installé » donc l'aîné. Il naît donc en second puisqu'il est logé le plus loin de la « sortie ». En France, on applique le droit hérité des textes romains, autrement dit, c'est l'inverse : le premier-né est l'aîné.
Femelle, femme gémellipare. Etat d'une femelle, d'une femme qui porte des jumeaux. » « Gémellipare, adj. Qui porte des jumeaux, qui a accouché de jumeaux.
Ce sont des jumeaux monozygotes, que l'on appelle vrais jumeaux dans le langage courant. Par ailleurs, puisqu'ils sont issus d'un même spermatozoïde, qui détermine le sexe (X pour une fille, Y pour un garçon), les vrais jumeaux sont forcément de même sexe.
Celui, celle qui est né(e) le premier (la première) par rapport aux autres enfants de la même famille, fils ou frère le plus âgé, fille ou sœur la plus âgée. Aîné(e) de la famille, des enfants; aîné des fils, des garçons; aînée des filles, des sœurs.
La loi française est claire, elle dit que le premier enfant né est l'ainé, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne ! S'il s'agit de jumeaux monozygotes, cela signifie qu'ils sont issus du même œuf, de la rencontre d'un seul ovule avec un seul spermatozoïde et que cette cellule s'est divisée en deux.
Dans ce cas, il est scientifiquement impossible de déterminer qui est l'aîné. » La législation française considère cependant que chez les jumeaux, le premier enfant né est l'aîné, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne.
La probabilité de donner naissance à des jumeaux est héréditaire. Si la femme enceinte à des antécédents familiaux de jumeaux, elle a une chance sur 58 d'avoir elle-même des jumeaux. Si son partenaire a des antécédents familiaux de jumeaux, la probabilité passe à une chance sur 116.
Les vrais jumeaux, aussi appelés jumeaux monozygotes, sont le résultat de la séparation en deux d'un ovule fertilisé, ce qui conduit au développement de deux embryons distincts. Les jumeaux sont alors du même sexe, du même groupe sanguin et possèdent les mêmes caractéristiques physiques.
Bien qu'il existe des familles de jumeaux, il n'y a aucune preuve scientifique concernant la part de l'hérédité dans la naissance de jumeaux monozygotes. En revanche, les faux jumeaux, proviennent de femmes qui ont des poly-ovulations.
Si pendant ce laps de temps une femme a un rapport sexuel avec deux hommes différents et expulse deux ovocytes au cours du même cycle menstruel, il est possible qu'un spermatozoïde provenant de chacun des partenaires sexuels féconde un ovocyte, avec pour conséquence une grossesse gémellaire.
C'est ce qu'on appelle une polyovulation, un phénomène de plus en plus fréquent quand on vieillit. Parfois, ces deux ovules vont être fécondés indépendamment par deux spermatozoïdes différents. C'est le même schéma lorsqu'on implante deux embryons dans l'utérus lors d'une fécondation in vitro.
Donner naissance à des jumeaux nés de pères différents est un événement rare. Il s'agit de ce que les spécialistes en biologie de la reproduction appellent une « superfécondation hétéropaternelle », phénomène au cours duquel un second ovocyte est expulsé lors d'un même cycle menstruel.
On parle alors de nonuplés. La femme qui a réussi cet exploit s'appelle Karla Vanessa Perez et doit accoucher de ses 9 bébés le 20 mai prochain.
Appelée "Octomom", l'Américaine avait fait le tour des médias mais elle pourrait bientôt perdre son "titre".
Elles s'appellent Raymonde et Lucienne et viennent d'entrer dans le Guiness book des records 2011. Quel est l'exploit de ces deux mamies françaises ? En fêtant hier leurs 98 ans à Saint-Georges-de-Didonne (Charente-Maritime), elles sont devenues les jumelles les plus âgées du monde.
A l'inverse, les « faux jumeaux » sont issus de deux œufs bien distincts, fécondés par deux spermatozoïdes. Ils sont donc jumeaux « dizygotes ». Ils peuvent être de sexe différent et ne pas avoir de ressemblance physique.
Il faut d'ailleurs s'attendre à ce que des jumeaux meurent à peu près au même stade de vie, car la génétique joue un rôle important dans de nombreuses maladies. Et la mort d'un proche provoque un grand stress pouvant déclencher une crise cardiaque potentiellement mortelle.
Une personne appartenant au groupe AB et qui ne porte pas l'antigène D aura par exemple un groupe sanguin AB– . En revanche, une personne qui appartient au groupe O et qui porte l'antigène D aura un groupe sanguin O+.
Dans plusieurs mythes amérindiens, les jumeaux sont considérés comme antithétiques, c'est-à-dire remplissant des fonctions complémentaires, mais opposées : l'un est bon, l'autre est mauvais, l'un est fort, l'autre est faible, l'un est agressif, l'autre est pacifique, etc.
La seule façon sûre de détecter une grossesse gémellaire reste l'échographie, mais même celle-ci est sujette à des erreurs si elle est pratiquée trop tôt dans la grossesse. Une grossesse gémellaire peut être détectée à partir de la 8e semaine par échographie, où les deux embryons peuvent être visualisés.
Pour être efficace, la routine du dodo doit être la même d'un jour à l'autre, par exemple : bain, massage, chanson, tétée, dodo. Faire la même routine en même temps avec les deux jumeaux est une bonne façon de les encourager à dormir au même moment.
Les faux jumeaux
Deux ovules différents sont fécondés par deux spermatozoïdes différents. Les deux embryons qui se développent ainsi ont chacun leur propre bagage génétique. Les jumeaux n'ont alors pas plus de ressemblances que des frères et soeurs. Ce type de jumeaux représente de 1 à 1,25 naissance sur 100.
De faux jumeaux ne se ressemblent pas à l'identique, mais comme deux frères et sœurs car ils ont chacun un patrimoine génétique distinct. Leur ressemblance peut donc beaucoup varier, ou être assez proche, mais pas autant que de vrais jumeaux.
Les études montrent que les monozygotes à la naissance ne sont pas plus proches en taille et poids que les dizygotes. Au cours des douze mois qui suivent la naissance, toutefois, les vrais jumeaux se rapprochent en taille et en poids de même que les jumeaux du même sexe.