Dans la mythologie grecque, Terpsichore (en grec ancien Τερψιχόρα / Terpsichóra, de τέρπεω / térpeô, « apprécier » et χoρός / khorós, « la danse ») est la Muse de la Danse. C'est une jeune fille, vive, enjouée, couronnée de guirlandes, et tenant une lyre au son de laquelle elle dirige en cadence tous ses pas.
La Muse de la danse que l'on reconnaît à son attribut, le tambourin qu'elle tient de la main droite, soulève son vêtement pour esquisser un pas de danse. Le drapé révèle plus qu'il ne cache le corps sinueux, laissant apparente la poitrine menue et ferme et la jambe droite.
C'est pourquoi les Muses vont s'identifier à des genres littéraires ou artistiques précis dont elles deviennent les patronnes : Calliope, Muse de l'éloquence et de l'épopée, Clio, Muse de l'histoire, Erato, Muse de la poésie lyrique et chorale, Euterpe, Muse de la danse et de la poésie amoureuse, Melpomène, Muse de la ...
La phrase suivante permet de se rappeler les neuf sœurs, dans l'ordre « Clio, Euterpe, Thalie, Melpomène, Terpsichore, Érato, Polymnie, Uranie, Calliope » : « Clame Eugénie ta mélodie, terrible et polonaise, uphonie calculée ! »
Dans la mythologie grecque, Thalie (en grec ancien Θάλεια / Tháleia ou Θάλια / Thália, « la Joyeuse, la Florissante », de θάλλειν / thállein, « fleurir, verdoyer ») est la Muse qui préside à la Comédie. Elle passe pour la mère des Corybantes, conçus avec Apollon.
La seconde version avance le nombre de neuf filles: Clio, muse de l'histoire; Euterpe, muse de la musique; Thalie, muse de la comédie; Melpomène, muse de la tragédie et du chant; Terpsichore, muse de la danse; Érato, muse de l'élégie; Polymnie, muse de la poésie lyrique; Uranie, muse de l'astronomie; Calliope, muse de ...
Déesse guerrière de la sagesse, Athéna (Minerve) combat pour maintenir l'ordre et les lois. Par la suite elle jouera le rôle de protectrice des sciences et des arts.
Dans la mythologie grecque, Polymnie ou Polhymnie (en grec ancien Πολυμνία / Polymnía ou Πολύμνια / Polymnia) est la Muse de la Rhétorique, donc de l'éloquence. On lui prêtait la faculté d'inspirer les aèdes et auteurs des poèmes et des récits les plus admirables.
Apollon (en grec ancien Ἀπόλλων / Apóllôn, en latin Apollo) est le dieu grec des arts, du chant, de la musique, de la beauté masculine, de la poésie et de la lumière.
Étymologie. (Nom 1) Antonomase de Muse, du latin Musa , venant du grec ancien Μοῦσα , Moûsa, du latin mos , moris (« mœurs, ce qu'il convient de faire »).
Simonetta Vespucci (1453-1476)
La première muse connue a vécu au début de la Renaissance, période artistique où l'on découvre la représentation artistique individuelle.
Les Muses chantaient et dansaient pendant les fêtes organisées par les dieux et pour les héros. Elles accompagnaient Apollon. Elles inspiraient aussi les poètes. Leurs récits commençaient souvent par une invocation aux Muses, comme l'Illiade et l'Odyssée d'Homère.
Les neuf muses sont les filles de Zeus et de Mnémosyne (titanide déesse de la mémoire) et sont devenues de belles sources d'inspiration pour tous les arts. Les Muses amusaient les Dieux sur le Mont Olympe, entourées du dieu Apollon avec sa lyre.
Quatre d'entre elles déterminent l'épopée et le chant. Calliope, mère du poète Orphée, épouse d'Apollon, préside à la poésie épique. Muse de l'histoire, Clio chante la gloire des guerriers et la renommée d'un peuple.
Le mythe d'Orphée
C'est ainsi qu'Orphée réussit à entrer aux Enfers pour chercher sa bien-aimée Eurydice. Grâce à son talent, il charma Cerbère, le gardien de la porte des Enfers.
1Mnémosyne dans la Théogonie d'Hésiode (v. 76-79 et 135-136) est une Titanide, fille de Gaïa (Terre) et d'Ouranos (Ciel)1, personnification de la Mnémé (Mémoire) et mère des Muses : 2 Hésiode, Théogonie, v.
Dans la mythologie grecque, Euterpe (en grec ancien Εὐτέρπη / Eutérpê, « qui sait plaire », de εὖ / eũ, « bien » et de τέρπω / térpô, « plaire ») était la muse qui présidait à la musique.
Dans la mythologie grecque, Clio (en grec ancien « célébrer, chanter »), fille de Zeus et de Mnémosyne (déesse de la mémoire), est la Muse de l'Histoire. On la représente avec une clepsydre, horloge à eau qui représente le temps passé, afin de montrer que l'Histoire embrasse tous les lieux et tous les temps.
Le terme Trois Grands désigne les enfants mâles de Cronos et Rhéa, les trois dieux les plus puissants : Zeus, maître du ciel, Poséidon, maître des océans et Hadès, maître du monde souterrain.
vers 468 avant J. -C.
D'Éros à Cupidon
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
Aphrodite, est venue d'Orient en Grèce. Grande déesse de la fécondité et de l'amour chez les Babyloniens et chez les Phéniciens, elle devient chez les Grecs l'une des douze divinités olympiennes, la déesse de l'amour et de la beauté.
Héra dans la mythologie grecque (ou Junon dans la mythologie romaine) est la déesse du mariage, de la vie ainsi que de la famille. C'est la fille de Cronos et Rhéa. Elle est la femme et la sœur de Zeus avec qui elle a eu comme enfants Arès, Hébé, et Ilithyie.
Dans la mythologie grecque, la Lune est associée à trois déesses : Séléné, Artémis et Hécate. Elles correspondent respectivement à Luna, Diane et Trivia dans la mythologie romaine.