Au début du XVIe siècle, la Méditerranée est principalement dominée par les Habsbourg d'un côté et les Ottomans de l'autre. L'Empire ottoman s'affirme. Malgré d'intenses rivalités et la prise de position de François Ier en faveur du camp ottoman, les échanges commerciaux s'amplifient.
1517 : Les Ottomans conquièrent l'Empire mamelouk, récupérant Syrie, Palestine et Égypte. 1518 : Alger et sa région deviennent une province ottomane. 1574 : L'Empire ottoman enlève Tunis aux Espagnols.
Il étend l'Empire aux pays arabes : Irak, Arabie, Afrique du Nord sauf le Maroc, au Yémen et à Aden en 1548. A la suite de la soumission du chérif de La Mecque, le sultan est considéré comme le gardien des lieux saints de l'islam (La Mecque, Médine) et devient le « serviteur des deux sanctuaires ».
La lutte incessante contre l'Empire de Soliman le Magnifique
C'est un roi très croyant, c'est donc aussi au nom de la défense de la chrétienté qu'il combat l'Empire ottoman. Pendant tout son règne, Charles Quint va se battre contre Soliman le Magnifique pour préserver son empire et défendre la chrétienté.
Charles Quint règne sur un empire qui recouvre une partie importante de l'Europe et qui encercle le Royaume de France. Soliman Le Magnifique étend l'empire Ottoman en Afrique, en Asie et en Europe. L'Empereur chrétien et le Sultan musulman souhaitent étendre leur empire et s'affrontent donc autour de la Méditerranée.
La réponse tient en trois choses : ses possessions, qui recouvraient une grande partie de l'Europe et de l'Amérique, faisant de l'empereur une superpuissance avant la lettre et une menace directe pour l'hégémonie économique et militaire qui est celle de la France à la fin du Moyen Âge ; un contentieux familial et ...
Le 11 mars 1517, l'empereur Maximilien Ier du Saint-Empire signe avec le roi de France, François Ier, et le roi de Castille Charles Quint, le traité de Cambrai. Cette alliance stipulait qu'ils s'engageaient réciproquement à garantir leurs possessions et qu'ils auraient combattu ensemble contre les Turcs.
Cependant, à la Renaissance, elles devinrent l'emblème impérial majeur des armoiries de Charles Quint : deux colonnes torses frappées de la devise « Plus ultra » (en latin) ou « Plus oultre » (en français) firent désormais fièrement allusion au dépassement des colonnes d'Hercule lors des conquêtes du puissant empereur ...
Charles Quint tente de s'emparer des principaux centres des corsaires barbaresques. Il réussit à Tunis en 1535, mais échoue à Alger en 1541 (qui était passé sous contrôle espagnol entre 1510 et 1519). En Europe centrale, Charles Quint doit contenir l'invasion des Turcs ottomans.
En 1571, Charles Quint et Soliman ne sont plus mais les chrétiens affrontent les Turcs ottomans lors de la bataille navale de Lépante. Remportée par les chrétiens, cette bataille a un grand retentissement car elle est le premier succès chrétien majeur face aux Ottomans.
Ainsi, dire que le Maroc n'a pas été conquis par l'Empire ottoman reste relatif, car les relations étaient beaucoup plus complexes, mêlant objectifs et acteurs différents dans un contexte de rivalités prépondérant. Quelle était véritablement la nature des relations entre ces deux puissances ?
En 324 apr. J. -C. , l'empereur romain Constantin Ier choisit Byzance comme nouvelle capitale de l'Empire. Sous le nom de Constantinople, elle devient la nouvelle Rome.
Le 21 mai 1529, les janissaires (dico) turcs de Barberousse s'emparent de la puissante forteresse espagnole qui se dresse face à Alger, le Peñon. Le pirate fait exécuter le gouverneur de la forteresse. Il devient le maître tout-puissant de la ville d'Alger et de ses environs immédiats.
Puis, il y eut l'occupation ottomane du XVIe siècle au XIXe siècle, stoppée par la conquête de l'Algérie par les Français.
Au XVIe siècle, en prenant pied dans l'actuelle Algérie, le but des Ottomans était de conquérir le Maroc afin de constituer une base d'attaque contre l'Europe. Plusieurs tentatives d'invasion du Maroc eurent lieu, mais elles furent toutes repoussées.
La présence des populations musulmanes, les mudéjars (musulmans sous domination chrétienne), prend fin en 1609, lorsqu'elles sont totalement expulsées d'Espagne par Philippe III .
Selon le magazine royal “Lecturas”, cette situation s'explique en partie par “l'éclatement de la crise de la couronne” et “la disparition de nombreux événements au cours desquels la couronne doit être portée”.
1516 Charles de Habsbourg (le futur Charles Quint) hérite des couronnes de Castille, d'Aragon et de Sicile. 1519 Charles Quint succède à Maximilien Ier à la tête du Saint Empire. 1525 Défaite de Pavie.
Charles de Habsbourg ou Charles Quint, (né le 25 février 1500 à Gand - mort le 25 septembre 1558 au monastère de Yuste (Espagne) fut empereur germanique (1519-1555) sous le nom de Charles V, roi d'Espagne officiellement sous le nom de Charles Ier mais surtout connu sous le nom de Carlos Quinto en Espagne et en Amérique ...
Au moment du décès de sa mère, celui qui était encore le prince Charles aurait pu décider de changer de prénom pour son règne. Mais alors qu'il est connu sous ce patronyme depuis 73 ans, le fils d'Elisabeth II a préféré conserver son nom et s'appeller ainsi Charles III pour les années à venir.
Isabelle de Portugal, épouse de Charles Quint (1503-1539)
Le royaume de León, d'argent au lion de pourpre couronné armé et lampassé d'or (lion violet-mauve sur fond blanc, couronne, griffes et langue jaunes).
Biographie courte de Jeanne la Folle - Fille des célèbres Rois catholiques, Ferdinand II d'Aragon et Isabelle de Castille, et mère de Charles Quint, Jeanne Ière de Castille est surnommée Jeanne la Folle par la tradition historique.
C'est d'ailleurs lors des célébrations du mariage qui se tiennent à Paris le 30 juin 1559 que le roi Henri II est blessé accidentellement lorsqu'une lance lui transperce l'œil. Il meurt le 10 juillet après une agonie de 10 jours. Son fils aîné François II lui succède.
C'est un homme affaibli physiquement qui est atteint, dans la nuit du 13 au 14 septembre 1380, par une crise cardiaque. Après deux jours de douleurs et de brèves rémissions, il s'éteint, le 16 peu avant midi.