La mare abrite une faune diversifiée. Les Amphibiens (grenouilles, crapauds, tritons, salamandres) et les Odonates (libellules et demoiselles) sont les espèces emblématiques de la mare. Mais bien d'autres animaux affectionnent ce milieux. On peut ainsi y rencontrer des mollusques, crustacés, vers, oiseaux, mammifères…
Les prédateurs naturels des libellules sont certains oiseaux insectivores comme le gobe-mouche gris, le guêpier d'Europe ou le faucon hobereau. Les araignées tisseuses de toiles comme les épeires, les capturent bien souvent.
Les chaînes alimentaires sont composées d'une succession de végétaux et d'animaux où chacun est mangé par le suivant. Elles montrent parfaitement à quel point les êtres vivants dépendent les uns des autres.
- Ephémères : larves mesurant en moyenne 10 mm. Au bout de l'abdomen, ces larves ont généralement trois cerques filiformes, rarement deux. Elles ont également des branchies latérales sur l'abdomen, des antennes parfois très longues, des pattes souvent plus courtes, une tête dépourvue de masque.
Les éphémères sont des insectes volants, qui ont généralement une durée de vie très courte, moins d'un jour, voire seulement quelques heures, d'où leur nom d'éphémère qui veut dire « qui ne dure pas ».
Pour leur part, les adultes se nourrissent d'insectes, y compris de plus petites libellules, des maringouins et des mouches noires. Contrairement à la croyance populaire, les libellules ne mordent ni ne piquent les humains.
1. L'orque. Cet énorme cétacé est très gourmand. L'orque mange tout ce qu'elle peut trouver : des poissons, des oiseaux de mer, des phoques, des pingouins, des dauphins et même des baleines !
Les animaux carnivores sont des prédateurs. Ils chassent et mangent d'autres animaux (herbivores ou carnivores). Le lion, le tigre, la panthère, le renard, le loup, l'aigle, le requin sont des carnivores.
les producteurs (autotrophes), les consommateurs primaires (herbivores), les consommateurs secondaires (les prédateurs, les superprédateurs) les décomposeurs (détritivores, saprophages, champignons).
Certains rapaces, le blaireau ainsi que l'oiseau portant le joli nom de guêpier d'Europe sont des prédateurs des guêpes.
les araignées : elles consomment leurs proies (mouches, moustiques,…) directement sur place, où les laissent s'empêtrer dans leurs toiles. les hérissons : nos boules d'épines préférées, qui ne dédaignent jamais un bon tas de feuilles mortes, dégustent volontiers un grand nombre d'insectes et de limaces.
Les prédateurs des dytiques sont les grands échassiers, quelques poissons, les batraciens et des rapaces nocturnes.
Les poissons provoquent la mise en suspension des sédiments lorsqu'ils remuent la vase. L'eau trouble devient un obstacle au passage de la lumière induisant la mort des plantes aquatiques et une diminution de l'oxygène dissout dans l'eau.
Le gyrin a en réalité peu de prédateurs. Il est très bien préparé aux attaques de prédateurs aériens, car il possède des yeux sur le dessus de la tête, bouge très vite en zigzagant et peut plonger sous l'eau.
Un molluscivore (ou malacophage) est un animal carnivore (éventuellement saprophage) qui se nourrit surtout de mollusques.
Les principaux prédateurs du hérisson sont le blaireau et le hibou, mais il craint également la chouette, le renard, le sanglier, la fouine ainsi que le chat et le chien.
La chenille du polyphème d'Amérique (Antheraea polyphemus) est l'animal qui mange le plus par rapport à son poids. Elle vit sur les feuilles de chênes, de bouleaux, de saules et d'érables et mange jusqu'à 86 000 son propre poids pendant les 56 premiers jours de sa vie.
L'orque se nourrit notamment de phoques, y compris parfois de léopards de mer. Elle n'a lui-même aucun prédateur : c'est une superprédatrice.
DECOUVERTE – Une équipe de chercheurs ont découvert le plus grand prédateur ayant vécu sur Terre, le spinosaurus, qui présente des traits d'adaptation à un milieu semi-aquatique. Mi-canard, mi-crocodile, ce mastodonte pesant jusquà vingt tonnes surpassait largement en taille le célèbre T-Rex.
En plus d'être le plus gros mammifère de la planète, la baleine bleue en est donc aussi le plus grand prédateur, mais seulement en nombre de proies capturées. Pour le meilleur rendement, le champion est à chercher chez de bien plus petites espèces.
Les odonates. Si vous avez un jour tenté maladroitement de prendre une libellule en mains, elle vous aura sans doute mordu jusqu'au sang : vous aurez soudainement réalisé pourquoi les entomologues ont baptisé ces insectes « odonates » (du grec odontos, dent).
En langue française, le terme de libellules est en général employé sensu lato pour désigner les odonates, qui regroupent deux sous-ordres : les demoiselles (zygoptères) et les libelles ou libellules stricto sensu (anisoptères).
Il arrive effectivement souvent que les anisoptères perchent dans la canopée le soir, mais parfois ils s'enfoncent dans la végétation basse au point qu'on ne saurait les voir.