Ici, la relative dépend d'un superlatif (la meilleure), alors le verbe se met souvent au subjonctif. Donc "La meilleure chose qui me soit arrivée".
Le verbe arriver s'emploie avec l'auxiliaire être; le participe passé doit donc s'accorder avec le sujet : Ça m'est arrivé une seule fois de me retirer... Le pronom m' est complément d'objet indirect.
On emploie indifféremment qui ou qu'il avec des verbes qui peuvent se construire impersonnellement : Le peu de temps qu'il (ou qui) lui reste à vivre. Vous verrez ce qu'il (ou qui) arrivera. Allons voir ce qu'il (qui) se passe.
Conclusion : Soyez optimiste : utilisez le subjonctif (qui me soit) ! Mais il fallait que vous sachiez que l'emploi de ce mode verbal, dans les cas de l'espèce, n'est pas automatique.
M'as est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. M'a est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 3e personne du singulier.
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
L'Académie précise par ailleurs, qu'il est préférable, selon le bon usage, d'éviter le redoublement du pronom, à l'oral, comme à l'écrit. On dira ainsi «nous sommes arrivés ou on est arrivés à l'heure» plutôt que «nous, on est arrivés à l'heure».
Il faut écrire: Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ? Il s'agit du verbe 'arriver'; il est arrivé à toi/il t'est arrivé.
Si « on » est un pronom personnel (c'est à dire s'il désigne des personnes ou des groupes de personne bien identifiées) alors l'adjectif ou le participe passé qui s'y rattache est toujours accordé en genre et en nombre. Exemple : Mon ami et moi, on s'est chamaillés à cause d'elle.
Résumé Une petite fille s'est cassé le poignet et tout le monde lui demande « Qu'est-ce qui t'est arrivé ? ». Elle explique sa mésaventure à sa copine : je sortais de la boulangerie quand soudain un oiseau m'a emportée au sommet d'une montagne.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)".
Qui est un pronom relatif sujet, qu' (=que) est ici le pronom relatif COD. C'est pourquoi la seconde proposition me semble la bonne. Le temps qu'il te reste = Le temps « que il » te reste (=>Il te reste du temps). Dans la tournure impersonnelle, il est sujet du verbe reste et que (= le temps) est COD du verbe.
Pour vous assurer qu'il faut bien employer « est » (du verbe être) et non « ai » (du verbe avoir), « pensez » la phrase à l'imparfait, par exemple : => « ce message vous était adressé » (verbe être) est compréhensible => Il s'agit bien du verbe être (est).
- l'attribut est précédé de l'article indéfini Tu es un homme qui sait ou sais parler aux femmes. - l'attribut est "le seul, le premier, l'unique, le dernier" Tu es le seul qui parle ou parles... Avec "un de ceux qui", "une de celles qui" le verbe est toujours au pluriel.
L'orthographe fait une distinction entre celui à qui t'as dit et celui qui t'a dit : dans le premier cas, t' représente le pronom tu, sujet du verbe (celui à qui tu as dit); dans le second, il représente le pronom toi, complément d'objet indirect ou d'attribution (celui qui a dit à toi), et ne détermine donc pas l' ...
Exemples : la décision qu'elle a prise , les photos qu'elle a prises . Mais quand le mot qui désigne ce qu'elle a pris est après le verbe, pas d'accord : elle a pris une décision , elle a pris des photos .
Dans cette phrase, faut-il écrire pris avec un s ou bien prit avec un t ? Ces conjugaisons du verbe prendre existent toutes les deux mais elles ne s'utilisent pas de la même façon. On écrit la phrase il a pris avec un s à la fin.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.
On écrit : « ce qui se passe » ou « ce qu'il se passe ». Les deux formes sont acceptées et elles sont interchangeables.
T'es et t'est
T'es est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. T'est est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
On écrit « prends soin de toi » lorsqu'on s'adresse directement à une personne, dans une phrase exclamative. Fais bon voyage et prends soin de toi ! On écrit « prend soin de toi » lorsque le sujet du verbe prendre est le pronom il, elle ou on. Je suis heureuse de constater qu'il prend soin de toi.