La question « qui suis-je ? » interroge notre identité personnelle . L'identité est le fait pour un être de demeurer le même (idem) à travers le temps. La personne désigne un être pensant capable de réflexion qui peut se considérer soi-même comme étant identique à soi à travers le temps et l'espace.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
La question "qui suis-je ?" rappelle l'injonction, le commandement fait par le dieu Apollon à Socrate "connais-toi toi-même". Socrate prend au sérieux ce commandement : en sachant qui on est, on prend soin de soi, on se soucie de soi comme il convient, avec l'ardeur et l'efficacité requises.
Ce qui fait qu'un être est une personne, c'est sa conscience, ou conscience de soi. Ce qu'une personne est, c'est tout ce qu'elle pense qu'elle est, ce que Locke appelle Self ou « Moi ». Ce qui fait qu'un individu est la même personne, c'est la conscience que cet individu a de lui-même comme étant le même.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
La question «qui suis-je?» englobe toutes les dimensions de l'existence, qu'elles soient temporelles ou spirituelles, y compris la quête de qui nous pourrions ou devrions être.
Quand je dis « Je », c'est tout simplement « je »qui parle. Ou, pour formuler une phrase un peu plus correcte, c'est moi qui parle. « Je »,ce n'est donc rien d'autre que l'expression du moi. Lorsque nous nous référons à notre personnalité, notre identité, nous employons le pronom de la première personne du singulier.
Le l apostrophe de l'on n'est pas à l'origine une consonne euphonique, mais l'article défini : l'on était synonyme de l'homme en général. Au fil des siècles, ce nom on s'est transformé en véritable pronom indéfini (désignant un individu non déterminé) et son article défini est devenu facultatif.
Dans un emploi particulier, le, toujours du masculin et du singulier, signifie cela, ceci, et ne se rapporte pas à un nom substantif, mais est un substantif lui-même.
Conclusion : la question "qui suis-je" n'admet pas de réponse exacte parce qu'on évolue tout le temps. On pourrait même dire qu'on change chaque seconde (même si ce ne sont que des micro-changements, ces micro-changements finissent par s'additionner et par nous changer notablement).
L'exacte réponse à la question « qui suis-je ? » consisterait donc en une affirmation de la permanence de ma personne que symbolise, par exemple, mon nom. Il faut en outre ajouter que cette question « qui suis-je ? » apparaît comme fondamentalement première.
Chaque communauté humaine a la force intérieure d'envisager son propre avenir, d'agir pour le réaliser, de partager ses apprentissages et de cultiver sa solidarité.
Individu de sexe masculin physiquement ou moralement adulte, considéré du point de vue des qualités habituellement attribuées à un adulte mâle : Cette épreuve a fait de lui un homme. 9. Adulte de sexe masculin considéré par rapport à son activité, son origine, etc. : Homme du peuple. Homme de sciences.
La raison est une faculté universelle, tous les hommes ont la Raison. Elle fait partie d'une faculté distinctive de l'Homme. L'auteur met en garde le lecteur sur la confusion du mot « raison », lorsqu'on pense en consultant sa Raison et en fonction de ses raisons.
On (du latin, homo, l'être humain) est un pronom indéfini neutre qui réfère à une ou plusieurs personnes, sujet de la phrase. Ce pronom ne s'emploie que pour désigner des êtres humains : on peut désigner un sujet indéterminé parce qu'il est inconnu du locuteur, il est alors équivalent à « quelqu'un ».
On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable, exprimant l'idée d'animé humain et fonctionnant toujours comme sujet. Il est dérivé du latin homo, homme.
Il désigne généralement une ou des personnes inconnues. Dans cet usage, il a le sens de « quelqu'un », « quiconque ». Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle.
Il veut vous pousser à lui montrer qu'il peut croire en vous et en vos sentiments. Il veut s'assurer que tu es amoureux de lui et qu'il n'est pas juste un homme de passage dans ta vie. Il a perdu confiance dans l'amour et des doutes sur les sentiments de toutes les femmes.
Un homme amoureux aime nous regarder dans les yeux
En bref, un homme amoureux, ça nous regarde… le regard, et même quand c'est timide : au pire, ça cligne un peu et ça rougit, mais tout va bien. C'est le signe d'une relation en très bonne voie, ou comment l'amour se déclare très nettement dans le regard.
S'il ose vous toucher, mettre une main sur votre genou ou toucher votre taille par exemple, il sent le sexe ! À moins qu'il ne soit quelqu'un de très accessible avec tout le monde, ses petites touches signifient qu'il a envie de vous.
Le nouveau livre du philosophe poursuit sa réflexion pour répondre à l'état climatique actuel, à la fois aggravé et éclairé par la pandémie. Il était une fois un philosophe qui avait appris à faire de ses expériences quotidiennes l'occasion de mieux réfléchir, et de mieux partager ses réflexions.
Pour Averroès, celui qui pense n'est pas l'homme ou la femme que je suis, ce n'est pas non plus le sujet ni l'individu que je suis, non, ce qui pense, quand je pense, c'est l'intellect, cette puissance transcendante et divine qui s'exprime à travers moi.
Dans la main d'une femme, je suis toujours coincé, parfois étiré, parfois rétréci. Qui suis-je ? Plus c'est humide, plus c'est sec.