Lorsque l'antécédent est une personne, on emploie plus souvent le pronom relatif qui, bien que lequel soit possible dans pareil cas. Lorsque l'antécédent est un animal ou une chose, on emploie toujours le pronom relatif lequel, à moins que la chose ou l'animal soit personnifié, donc considéré comme une personne.
Il me semble qu'ici « lesquelles » introduit une interrogation dans une phrase affirmative, ce qui est incorrect. La phrase correcte serait « Tu devrais trouver quelles elles sont « , ce qui, il faut bien l'admettre, est assez laid.
"lesquelles" est complément circonstanciel de cause. dans Les Temps modernes a fait naître des controverses à la sortie du film. "laquelle" est complément circonstanciel de manière.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
"Où" est plus concis, mais moins précis dans la localisation. "Dans lequel" apporte une précision de localisation.
Dans QU'Y vous avez QU' pronom interrogatif 'que' élidé devant le Y. QUI, pronom interrogatif ne s'emploie que pour les animaux et les personnes.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions.
Ils introduisent une phrase interrogative ou une interrogative indirecte : "Qui est venu ?" / "Je demande qui est venu". Ils ont une fonction (sujet, complément d'objet direct...) à l'intérieur de la proposition.
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Pronom relatif féminin singulier de "lequel". Employé parfois à la place de "qui".
qui ou quoi lorsque l'antécédent est un subst. désignant une chose.
Le pronom relatif qui s'applique généralement à des personnes, mais parfois aussi à des choses personnifiées et à des animaux domestiques. Employé comme complément prépositionnel, il est concurrencé par lequel : la chatte à qui je fais des caresses/la chatte à laquelle je fais des caresses.
Quand employer l'article défini en français ? La forme de l'article défini est le au masculin singulier, la au féminin singulier (l' lorsque le mot qui suit commence par une voyelle) et les au pluriel (féminin et masculin).
Il faut ècrire "auquel" lorsque le nom antècèdent est masculin singulier. Il faut ècrire "auxquels" lorsque le nom antècèdent est masculin pluriel. Il faut ècrire "auxquelles" lorsque le nom antècèdent est fèminin pluriel.
Ce pronom relatif composé s'utilise après une préposition comme : sur, sous, dans, avec, sans, par, pour, vers, depuis, chez, avant, après, contre, entre, pendant, durant, hormis, selon… Exemples : J'écris avec un stylo. Ce stylo est un Montblanc®.
Complément « Qui » sujet est toujours singulier
À la question Qui vient demain ?, on peut répondre par un singulier : Pierre par exemple ou mon ami, mais aussi par un pluriel : mes amis, les Dupond etc. Mais même si l'on sait qu'on interroge sur un pluriel, on accorde le verbe au singulier.
Les adjectifs interrogatifs (quel, quelle, quels, quelles) s'accordent en genre et en nombre avec le nom qu'ils introduisent.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec. dont : L'homme dont je t'ai parlé arrive.
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
L'animalier ou l'animalière de laboratoire travaille pour la recherche médicale, pharmaceutique et biologique qui utilise des animaux pour expérimentation. Il ou elle veille sur la santé, la...
Carl von Linné (1707-1778) met au point graduellement le système qui servira de base à la nomenclature actuelle. Dans sa première version de son Systema Naturae de 1735, Linné utilise souvent deux mots pour l'espèce. Il désigne ce troisième terme par nomen triviale.