Ainsi, en investissant dans les études et la formation, les individus augmentent leur « capital humain », en l'occurrence leurs aptitudes et connaissances, ce qui leur permet d'occuper des emplois plus rémunérateurs.
Investir dans les ressources humaines au moyen de la nutrition, des services de santé, d'une éducation de qualité, des compétences et des emplois favorise le développement du capital humain. C'est une nécessité impérieuse pour mettre fin à l'extrême pauvreté et créer des sociétés plus inclusives.
Il définit le capital humain comme «un stock de ressources productives incorporées aux individus eux-mêmes, constitué d'éléments aussi divers que le niveau d'éducation, de formation et d'expérience professionnelle, l'état de santé ou la connaissance du système économique.»1 Inutile de dire que ce n'est pas la notion la ...
Investir en capital humain au sein de l'entreprise consiste à développer le stock de connaissances et de compétences des salariés. Ce faisant, l'entreprise peut espérer un retour sur investissement car des salariés dotés d'un capital humain de haut niveau sont susceptibles d'être plus performants.
Le capital humain, priorité numéro un
Le développement du capital humain joue un rôle déterminant pour mettre fin à l'extrême pauvreté et renforcer l'inclusion sociale. Pour cela, il faut investir dans la nutrition, les services de santé, une éducation de qualité, l'acquisition de compétences et l'accès aux emplois.
La valorisation de ce capital humain permet de mobiliser les collaborateurs autour des objectifs stratégiques de l'entreprise et de les inciter à s'inscrire dans une dynamique de performance tout en respectant des valeurs d'éthiques et de professionnalisme.
Le capital contribue à la croissance économique car introduire davantage de machines dans la combinaison productive permet d'augmenter les quantités produites, donc la croissance. Par exemple si une usine de production automobile double le nombre de ses chaînes de production, la production double donc croissance.
1.1.
Les auteurs classiques considèrent que les déterminants de la croissance économique sont essentiellement le travail, le capital et la terre.
La théorie qui émerge énonce que toute dépense susceptible d'améliorer le niveau de formation d'un individu augmente sa productivité, et par conséquent ses revenus futurs, d'où le nom de capital humain.
Investir dans le capital humain peut protéger les travailleurs et améliorer la sécurité un aspect important de la qualité de vie. Une instruction et une bonne santé augmentent la capacité de main-d'œuvre à intégrer les changements affectant leur environnement.
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l'entrepreneuriat.
Les facteurs de production regroupent les moyens de production durables qui contribuent à la production : le travail, le capital et, parfois, la terre.
cité des ressources humaines est centrale et c'est là même que le concept de capital humain trouve ses limites : l'entreprise n'est pas et ne sera jamais propriétaire du « capital humain ». L'entreprise emploie des individus qui sont, eux-mêmes, détenteurs de leur capital humain.
En partant de l'acception économique du capital humain, les capacités productives des salariés représentent pour l'entreprise un actif qui a une valeur financière et dont elle attend des avantages économiques en termes de gains de productivité, de performance et de capacité d'adaptation à son environnement.
Le capital humain contribue aussi à la croissance et, d'après certains éléments d'information, ce pourrait être également le cas du capital social. Le capital humain procure aux individus des avantages parmi lesquels l'amélioration des revenus du travail et l'employabilité.
En développant les compétences professionnelles, l'entreprise accroit la motivation des collaborateurs, car ces derniers découvrent qu'on leur fait confiance, qu'on mise sur leurs valeurs humaines comme sur leurs talents techniques avec de véritables perspectives à la clé. Ils se sentent valorisés et considérés.