Il est utilisé par les adolescents et les jeunes adultes comme exclamation, pour marquer l'étonnement, l'indignation. Il est un peu l'équivalent de « Mon Dieu ! » Pour le renforcer, on le complète parfois par ya rabi , qui veut dire « ô Seigneur » : starfoullah ya rabi .
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation. Pour faire court, vous l'avez mauvaise !
Starfoullah est une expression utilisée par certaines personnes quand elles sont choquées. En vérité, il s'agit de la déformation de l'expression arabe “أَسْتَغْفِرُ اللّٰهَ” qui s'écrit en phonétique “Astaghfirou-Llah” et qui veut dire “Je demande pardon à Allah”.
(Rare) Dieu soit loué .
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Al-ḥamdu li-l-lāh (arabe : ٱلْحَمْدُ لِلَّٰهِ, « Dieu soit loué », littéralement, « louange à Allah ») est une expression d'action de grâce, principalement utilisée par les musulmans.
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe wAllah (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ne sont pas ...
Nom arabe désignant le Dieu unique, adopté par les musulmans et aussi par les chrétiens arabophones. Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque.
Le mot starfoullah est un emprunt à l'arabe. C'est une déformation de astaghfirullah , qui peut se traduire par « je demande pardon à Allah, que Dieu me pardonne ».
Incha'Allah est une transcription francophone de la formule arabe (ar) إِنْ شَاءَ ٱللَّٰهُ (In Shaa Allah en translittération baha'ie) qui signifie « si Dieu le veut ». Ce terme est utilisé par la plupart des musulmans.
Ce mot s'utilise principalement lors des prières, où il est répété plusieurs fois. Par exemple, dans la prière appelée tasbih , qui se récite au moment d'aller se coucher, le croyant répète trente-trois fois soubhanallah , puis autant de fois hamdoullah , puis autant de fois allahou akbar .
Abdallah (arabe : عبد الله) (parfois orthographié Abdellah ou Abd Allah ou Abdullah), est un des prénoms arabes qui veut dire « serviteur d'Allah ». La formé abrégée Abdel est très souvent utilisée. L'équivalent de ce prénom en Afrique noire est Abdoulaye. La traduction latine est Servus Dei.
الحمد : Al-hamdou : qui veut dire littéralement la louange. (Al Hamdoulillah, hamdoulah, hamdoulilah) « Allah » qui se traduit par « Dieu ». Ainsi l'écriture la plus exacte et la plus proche de la phonétique arabe, c'est «Al-hamdou lillah » ainsi les formes courtes utilisées ne sont pas trop exactes.
"Wallah La Radim", qui signifie "par Dieu le majestueux" et qui, si l'on devait la retranscrire plus correctement, devrait être prononcée "Wallah Al-Adime".
De l'arabe وحق ربي , w'haq rabbi (« je te jure par Dieu »).
Wallah est surtout employé en français par la jeunesse issue de l'immigration venant de pays arabes ou de pays islamiques (Maghreb et Afrique sahélienne). Cette jeunesse l'emploie en français comme interjection, parfois très présente (jusqu'au tic de langage), pour moduler les discours.
Kono, qu'est-ce que tu as ? ماذا لديكِ يا "كونو"؟
c'est quoi ? ما هَذا؟
ماذا تفعل هنا (جوهان) ؟ Grover, qu'est-ce que tu fais ? (غروفر)، ماذا تفعل ؟
(Argot) (Péjoratif) Mouchard ; personne qui dénonce ; balance. (Argot) Traitre ; renégat.
Sa prononciation la plus courante en français est [ bae ] (« ba-é »), en deux syllabes. On trouve aussi [ be ] (« bé ») et [ bɛj ] (« beil »). Cette dernière prononciation est la plus proche de la prononciation d'origine de ce mot en anglais. Plus rarement, quelques personnes prononcent bae en épelant chaque lettre.