On parle aussi de sacrement des malades. L'onction n'est donc plus le sacrement des malades en danger de mort mais un sacrement de tous les malades graves, avec l'aide du prêtre et des proches du malade, sans que le sens du sacrement (rétablissement ou accompagnement spirituel) soit clairement déterminé.
Le sacrement des malades est célébré par un prêtre. La préparation est confiée aux membres de la pastorale des malades et aux familles. Elle peut comprendre plusieurs temps selon l'état du malade.
Application d'huile sainte sur une personne pour la consacrer à Dieu (baptême, confirmation, ordination, avec le saint chrême) ou lui conférer la grâce de lutter contre le mal (huile des catéchumènes) ou contre la maladie (huile des malades).
L'autre point crucial est le dernier sacrement, également appelé «extrême onction : délivré par un prêtre, un moine, un abbé, ou tout autre membre du corps ecclésiastique, les derniers sacrements purifient l'âme du mourant avant son décès.
La célébration de ce sacrement consiste en l'onction d'huile bénite sur le front et en l'imposition des mains. Consacrée par l'évêque lors de la messe chrismale annuelle, l'huile dite des malades apporte force et douceur. Elle pénètre la peau, répand sa bonne odeur, fortifie le corps.
On parle aussi de sacrement des malades. L'onction n'est donc plus le sacrement des malades en danger de mort mais un sacrement de tous les malades graves, avec l'aide du prêtre et des proches du malade, sans que le sens du sacrement (rétablissement ou accompagnement spirituel) soit clairement déterminé.
Malade, je crie vers le médecin ; aveugle, je me précipite vers la lumière ; mort, je soupire vers la vie. Or, c'est Vous, Seigneur, qui êtes le Médecin, c'est Vous qui êtes la Lumière, c'est Vous qui êtes la Vie ; Jésus de Nazareth, fils de David, Source de Miséricorde, ayez pitié de moi.
Dans la Torah, l'onction (lat. unctio, de ungere, oindre) se pratique en versant de l'huile parfumée sur la tête d'une personne ou sur un objet afin de les sanctifier ou les consacrer à Dieu par ce geste cérémoniel.
Dans la religion catholique, il n'y a pas vraiment de règles à suivre pour exprimer ses condoléances à une personne croyante. Il est donc possible de le faire par SMS, email, carte de condoléances, lettre manuscrite ou de vive voix selon la nature de votre relation avec le proche en deuil.
Dans la foi chrétienne, le sacrement du mariage entre deux êtres correspond au sacrement de l'Alliance. De la même façon que Dieu fait alliance avec son Église, c'est à dire son peuple, l'homme et la femme font "alliance", et échangent leur consentement pour ne former plus qu'un, jusqu'à ce que la mort ne les sépare.
Dès que le Saint-Esprit est sur une personne, il lui communique une quantité d'onction selon la tâche à accomplir. La mesure d'onction sur la vie d'une personne est fonction de sa vocation.
Oindre signifie appliquer de l'huile ou un onguent sur la tête ou le corps d'une personne. Dans les temps anciens, on faisait cela pour diverses raisons. Parfois, c'était un signe d'hospitalité ou des soins de toilette traditionnels.
Dans le christianisme évangélique, le Saint-Esprit est considéré comme étant pleinement Dieu. Il s'agit de la manifestation éternelle de Dieu dans la dimension humaine. C'est la présence de l'Esprit que Jésus a promise dans l'Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2).
Le diacre est donc un membre du clergé, ce n'est pas un laïc plus engagé que les autres. Il peut célébrer les baptêmes, les mariages et prêcher, mais, à la différence du prêtre, il ne peut pas célébrer la messe ni confesser.
Un diacre permanent a la possibilité de célébrer les baptêmes, les mariages, les funérailles. Il peut aussi prononcer des homélies.
En théologie catholique, le prêtre est le signe du Christ, tête de l'Église (son rôle est celui d'un rassembleur), le diacre, lui, est signe du Christ serviteur. Le diacre, comme clerc, est astreint à la lecture de l'office divin.
Il est de coutume de couvrir les miroirs dans la maison de deuil pendant la période de Shiv'ah car la personne affligée ignore « son apparence physique et toutes les futilités afin de se concentrer sur l'essentiel qui est son âme... En voilant les miroirs, on symbolise son éloignement des regards de la société ».
Concernant le défunt, il y'a aussi une peur qui hante les proches quant à sa destinée et sa « réelle » mort. La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil).
Le deuil. Après l'enterrement, une tradition veut que les proches du défunt suivent un jeûne : à La Réunion, cela signifie ne pas manger de viande pendant quelque temps. Cette période varie d'une personne à une autre : elle est plus longue pour une personne très proche du défunt comme son conjoint ou ses enfants.
« Et moi, je vous dis : Demandez et l'on vous donnera ; cherchez et vous trouverez ; frappez et l'on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve et l'on ouvre à celui qui frappe. Quel est parmi vous le père qui donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain ?
unzione ; du lat.
− RELIG. Celui qui, en vertu de la promesse de Dieu renouvelée par les prophètes de l'Ancien Testament, est attendu par le peuple juif comme le libérateur qui instaurera le Royaume de Dieu: 1. ... Laurent, comprends bien: pour vous, le messie est venu.
Pérégrin Laziosi (Forlì, 1265 - Forlì, 1er mai 1345 ) est un religieux servite italien reconnu saint par l'Église catholique. C'est le saint patron des malades incurables, prié aujourd'hui par les cancéreux et les sidéens.
Toujours à Couvains, l'église Saint-Laurent (qui appartenait à la commune de Marnefer jusqu'à sa fusion avec Couvains en 2002) abrite deux autres saints guérisseurs, saint Blaise, pour les maladies de peau, et saint Sébastien, pour les maladies des animaux.
Amen. Seigneur en ce jour je viens humblement te présenter tous les domaines de ma vie pour que tu les visites par ta bonté et ta miséricorde, par la douce action de ma mère bien-aimée la Vierge Marie. Viens débloquer Seigneur tout ce qui m'empêche d'avancer librement vers toi et de grandir dans la sainteté.