Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu'elle occupe, et la pièce prise est retirée de l'échiquier.
Oui, comme toutes les autres pièces le Roi peut prendre une pièce adverse, mais à condition de ne pas se mettre en échec en jouant ce coup. Un Roi ne peut donc jamais prendre une pièce adverse qui est protégée.
La Dame blanche attaque le Roi noir. Il ne peut ni fuir ni prendre la Dame puisque le Roi blanc qui défend la Dame. Le Roi noir est en échec et mat !
La dame se déplace sur une même diagonale d'autant de cases qu'elle le désire, en avant et en arrière. Un pion peut en prendre un autre en sautant par dessus le pion adverse pour se rendre sur la case vide située derrière celui-ci. Le pion sauté est retiré du jeu. La prise peut également s'effectuer en arrière.
La reine se déplace de façon combinée comme un tour et un fou. Sauf si elle doit prendre, la reine peut se déplacer sur n'importe quelle case vide. Elle ne peut passer au dessus des pièces.
Déjeuner & dîner : une assiette pleine de protéines
Pour le dîner, la reine Elizabeth aimait savourer un mets assez peu commun dans le quotidien des Français, de la viande de gibier. Un plat accompagné d'une “sauce au whisky et aux champignons” assure le Chef Darren McGrady.
Pour protéger le Roi, la Reine est le joueur d'échecs préféré. Alors que nous nous référons à l'objectif des échecs, qui est de mettre le Roi échec et mat pour mettre fin à la partie, il est important de se rappeler que le Roi est la pièce la plus cruciale du jeu.
La prise. La prise des pièces adverse est obligatoire et s'effectue aussi bien en avant qu'en arrière. Lorsqu'un pion se trouve en présence, diagonalement, d'une pièce adverse derrière laquelle se trouve une case libre, il doit obligatoirement sauter par-dessus cette pièce et occuper la case libre.
Remarque : la vieille règle de « souffler n'est pas jouer », c'est-à-dire de prendre la pièce adverse qui avait négligé de faire une prise possible, est abolie. L'adversaire oblige simplement le joueur distrait à faire la prise dans les règles.
Le règlement avant l'abolition précisait bien : "On est libre de souffler ou de forcer à prendre".
Un jeu de 32 ou 52 cartes. L'ordre de force des cartes est le suivant : 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi, as, l'as étant le plus fort.
Le pion peut avancer d'une case en diagonale à la seule condition d'y capturer n'importe quelle pièce adverse qui s'y trouverait. La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté.
Dans cette variante la Reine se métamorphose en simple Pion. Cette pièce peut avancer ou reculer d'une seule case et elle ne prend qu'en diagonale. Comme dans la première règle du jeu, les joueurs posent à tour de rôle les pièces de leur choix avant de les déplacer.
En matière d'attaque, le fou peut prendre la première pièce adverse qui se trouve sur son chemin. Cependant, comme il ne peut pas sauter sur une autre pièce, il se trouve automatiquement bloqué dès qu'une autre pièce amie ou adverse se trouve sur sa trajectoire.
Le Roi est en échec. À noter qu'un Roi n'a pas le droit de se mettre volontairement en échec ou de rester en échec. Pour se soustraire à un échec, on peut soit fuir avec son Roi, soit interposer une pièce devant son Roi, soit prendre la pièce qui fait échec.
Lorsqu'un pion atteint la dernière rangée, il doit être changé (promu) en une pièce de sa couleur qui peut être au choix une dame, une tour, un fou ou un cavalier. On parle de la promotion d'un pion et on utilise le verbe promouvoir un pion, en dame par exemple. « Damer » est un terme synonyme et tombé en désuétude.
Une dame peut se déplacer librement (en avant et en arrière), franchir plusieurs cases vides et changer de direction tant qu'elle trouve une case vide derrière le pion adverse. Elle peut donc supprimer plusieurs pions adverses d'un seul coup.
Dans son livre A History of Board Games other than Chess (Oxford, 1952), il affirme que le jeu est né au xii e siècle, probablement dans le sud de la France. Un peu plus loin, il rappelle que le nom de dames a été emprunté au nom de la dame aux échecs, d'abord nommée fers ou fierge, puis dame à partir du xiv e siècle.
7) La prise majoritaire
Lorsque plusieurs prises sont possibles, il faut toujours prendre du côté du plus grand nombre de pièces. Cela signifie que si on peut prendre une dame ou deux pions, il faut prendre les deux pions. La qualité de la pièce prenante ou des pièces à prendre n'intervient pas. Une dame vaut un pion.
Pour obtenir une Dame, essayez de déplacer certains pions vers un endroit du damier où l'autre joueur a peu de pièces ou vers un emplacement où la position de ses pions n'est pas structurée. Vous allez devoir protéger les pions qui attaquent et être prêt à faire quelques sacrifices qui vous mèneront à la victoire.
Pour ce faire, il suffit de superposer un second pion sur celui ayant atteint la dernière rangée. Une dame ne peut se déplacer qu'après que l'adversaire ait joué une fois. Elle peut, toujours en diagonale, se déplacer dans toutes les directions, et de plusieurs cases vides lors d'une prise (voir ci-dessous).
Toutes les Pièces peuvent reculer aussi bien qu'avancer, mais les Pions n'ont pas le droit de reculer. Aucune pièce ne peut sauter par-dessus une autre de son camp ou du camp opposé ; quelque étendue que soit la marche d'une pièce, elle doit toujours s'arrêter devant une autre qui lui barre le chemin.
Nous nous sommes permis un langage quelque peu familier pour ce titre afin de préciser qu'aux échecs, on ne dit pas « manger » mais plutôt prendre ou capturer. Le Cavalier prend les pièces adverses en « sautant » sur leurs cases. Il prend la pièce adverse qui se trouve sur la case de sa destination.
La tour vaut plus que le cavalier et le fou car c'est une pièce majeure. La dame quant à elle obtient un 9 parce que c'est la pièce la plus puissante de toutes.