Les entreprises qui peuvent opter pour l'imposition des bénéfices sur les revenus sont les suivantes : Société anonyme (SA) Société par actions simplifiées (SAS) Société à responsabilité limitée (SARL)
En réalité, le terme « entreprise à l'IR » concerne les entreprises individuelles dans lesquelles l'entrepreneur est imposé personnellement à l'IR sur les bénéfices qu'il réalise. Dans les sociétés, il s'agit du régime des sociétés de personnes.
À la fin du premier exercice comptable, les entreprises soumises à l'impôt sur le revenu (IR) placées sous un régime réel d'imposition sont tenues de souscrire une déclaration de résultats. L'exploitant est personnellement redevable de l'impôt. Un report du résultat sur sa déclaration des revenus est donc nécessaire.
Quelles sociétés peuvent opter pour l'imposition sur le revenu ? Les SARL (société à responsabilité limitée), SA (société anonyme) et les SAS (société par actions simplifiée) sont en principe soumises à l'impôt sur les sociétés.
Les entreprises qui peuvent opter pour l'imposition des bénéfices sur les revenus sont les suivantes : Société anonyme (SA) Société par actions simplifiées (SAS) Société à responsabilité limitée (SARL)
La SARL est soumise de plein droit à l'impôt sur les sociétés (IS), mais elle peut opter pour le régime de l'impôt sur le revenu pour une durée de 5 ans non renouvelable, à condition : d'avoir moins de 5 ans d'existence.
Si vous ne savez plus si vous êtes soumis au Versement Libératoire de l'Impôt sur le Revenu, vous pouvez demander à votre URSSAF ou, encore plus simple, regarder si une ligne commençant par “impôt” figure sur votre dernière déclaration de Chiffre d'Affaire.
Pourquoi choisir de soumettre la SAS ou SASU à l'IR ? Le choix de l'IR comme mode d'imposition de la société présente le sérieux avantage de stimuler l'investissement. En effet, quel que soit le type de société, il peut être difficile de trouver des associés enclins à investir dans la société et à y faire des apports.
L'option pour l'IS doit être notifiée au service des impôts au plus tard avant la fin du troisième mois de l'exercice au titre duquel l'entreprise souhaite être soumise pour la première fois à l'IS. Il est possible de formuler l'option avant le début de l'exercice concerné.
Par défaut, la SCI relève du régime fiscal des sociétés de personnes, dont les résultats sont en principe imposés à l'IR. L'imposition étant réalisée, pour la totalité du résultat, entre les mains des associés, en fonction des droits qu'ils possèdent dans la société. Mais ce régime d'imposition n'est pas obligatoire.
Les sociétés soumises de plein droit à l'IS sont notamment les sociétés à responsabilité limitée (SARL), les sociétés anonymes (SA), les sociétés par actions simplifiées (SAS) et les sociétés en commandite par actions (SCA). En règle générale, les sociétés de capitaux ne peuvent pas choisir un autre régime fiscal.
Par principe, il s'agit des sociétés de personnes (SCP, SNC, sociétés civiles…), des entreprises individuelles, et de l'EURL. Par dérogation, certaines sociétés soumises par nature à l'IS permettent d'opter pour une imposition des bénéfices à l'IRPP, limitée à une durée de 5 années, et non renouvelable.
Plusieurs critères permettent à l'entrepreneur de définir le régime fiscal adapté à sa situation. Lors de la création d'une entreprise, l'entrepreneur et ses éventuels associés ont le choix entre trois régimes fiscaux, l'impôt sur le revenu, l'impôt sur les sociétés ou encore la micro-entreprise.
Autrement, le PFL reste plus avantageux. Dans les cas où le prélèvement forfaitaire libératoire est au taux de 15%, l'IRPP n'est avantageux que si le taux marginal d'imposition est inférieur ou égal à 14%. Dans le cas où le prélèvement forfaitaire libératoire est au taux de 7,5%, il est toujours préférable à l'IRPP.
Autrement dit, à la différence d'un prélèvement libératoire, le prélèvement non libératoire n'a qu'une valeur d'acompte. Et cet acompte peut se révéler insuffisant si la tranche d'imposition du contribuable dépasse le taux du prélèvement forfaitaire.
Une entreprise peut être soumise à l'impôt sur les revenus (IR) : dans ce cas de figure, l'entreprise est dite « fiscalement transparente » et les bénéfices qu'elle réalise sont alors imposés au barème de l'impôt sur les revenus (avec les éventuels autres revenus du dirigeant).
Pour changer de régime d'imposition, vous devez adresser votre demande sur papier libre à votre Service des Impôts des Entreprises référent. Dans le cas d'une création et pour une application immédiate, la demande doit être effectuée au maximum le dernier jour du 3ème mois qui suit la création de l'entreprise.
C'est un choix à murir longuement car il est irrévocable : il n'est pas possible de basculer de l'IS à l'IR pour une société civile immobilière. Ce choix peut être fait dès la création de la SCI ou après coup. Une SCI à l'IS peut proposer n'importe quel type de bail (habitation, commercial, professionnel, etc.).
Cependant, quelques inconvénients peuvent réfréner les ardeurs, comme la tenue d'une comptabilité sérieuse, les règles strictes de fonctionnement, la responsabilité illimitée de chaque associé, ou encore le rattachement fiscal à l'impôt sur les sociétés en cas de bénéfices par la location.
La SCI familiale permet à des personnes unies par un lien de parenté ou d'alliance, de faciliter la détention, la gestion et la transmission d'un ou plusieurs biens immobiliers. Par exemple, il est tout à fait possible de créer une SCI familiale pour acheter une maison de vacances entre cousins.
La SCI n'est pas qu'avantages et comme toute forme de société, elle présente également des inconvénients : Responsabilité illimitée des associés : les associés sont responsables personnellement des dettes de la SCI.