Qui peut recevoir du sang O- ? Tout comme les personnes O+, les personnes O- ne possèdent aucun antigène à la surface de leurs globules rouges. Leurs globules rouges peuvent donc être transfusés à n'importe quel groupe sanguin quel que soit le rhésus (A+, A-, B+, B-, AB+, AB-, O+, O-).
O+ : les caractéristiques de groupe sanguin. 36% des Français sont du groupe sanguin O+. Ces individus ne peuvent recevoir du sang que du groupe O et ne peuvent donner leur sang qu'aux sujets de rhésus positif (RHD+).
En raison de l'absence des antigènes A, B et D dans le sang O négatif, ce dernier convient aux patients dont on ne connaît pas le groupe sanguin. C'est également le seul type de sang que peuvent recevoir les patients du groupe O négatif.
Il s'agit d'un individu du groupe sanguin O et de rhésus négatif. En France, seulement 6 % de la population est donneur universel d'après l'établissement français du sang. Mais 36 % seraient de groupe O+, ce qui leur permet de donner leur sang aux groupes O+, A+, B+ et AB+, soit environ 85 % de la population.
Les donneurs universels — donneurs dont le sang peut être transfusé à n'importe qui — sont les personnes du groupe sanguin O-.
Une étude japonaise réalisée en 2004 a montré que le moustique tigre était plus attiré par les individus de groupe sanguin O. Les personnes de ce groupe sanguin auraient 85% de risque supplémentaire d'attirer les moustiques, contre seulement 45 % de risque pour les autres groupes sanguins.
Cela pourrait expliquer pourquoi les personnes de groupe sanguin O, qui possèdent à la fois des anticorps anti-A et anti-B seraient plus en mesure de lutter contre le virus.
Le groupe O- représente 7% de la population mondiale et 6% des Français. Les caractéristiques du groupe sanguin O négatif sont : Antigènes : Aucun. Leurs globules rouges peuvent donc être transfusés à n'importe quel groupe sanguin quel que soit le rhésus d'où leur nom de donneur universel.
Recherché pour ses globules rouges, ses plaquettes et son plasma : c'est le groupe parfait ! Par chance, c'est le plus représenté dans la population. Comme le groupe A, on ne peut s'en passer car ses globules rouges, ses plaquettes et son plasma sont très demandés.
Les chercheurs sont arrivés à leurs conclusions en mesurant le taux d'hormone FSH (hormone folliculostimulante), responsable du déclin de la réserve d'ovules et de leur qualité, présentes dans le sang des futures mamans. Les taux les plus élevés ont été observés chez les femmes de groupe sanguin de type O.
Les globules rouges des personnes O+ ne sont recouverts d'aucun antigène à leur surface. Par conséquent, le sang des personnes O+ peut être transfusé à tous les groupes sanguins positifs (A+, B+, AB+, O+). Les globules rouges O+ ne peuvent être transfusés qu'aux personnes de rhésus positif (A+, B+, AB+, O+).
Il existe huit groupes, classés par lettres (A, B, AB ou O) et Rhésus (+ ou -). Mais ces groupes sont inégalement répartis dans la population. Par exemple, 38% des Français sont A+. Les groupes B- et AB- constituent quant à eux les plus rares, avec chacun 1% de la population française.
Celui-ci permet de déterminer deux groupes sanguins différents : le Rhésus positif chez les personnes possédant cet antigène (on parle alors de A+, B+, AB+ et O+), ce qui concerne la majeure partie de la population, et le Rhésus négatif chez les personnes qui en sont dépourvues (A-, B-, AB-, O-).
Les groupes B- et AB- constituent quant à eux les plus rares, avec chacun 1% de la population française. Dans le détail : A+ est le groupe le plus répandu (38%), suivi de O+ (36%), B+ (8%), A- (7%), O- (6%), AB+ (3%), AB- (1%) et B- (1%), selon les données transmises par l'Etablissement Français du Sang (EFS).
Quel groupe est donneur universel ? Les personnes du groupe O- sont des "donneurs universels", car tous les autres groupes peuvent recevoir leur sang puisqu'il ne contient aucun antigène mais ne reçoivent du sang que des personnes du même groupe.
Seules les mères rhésus négatif sont concernées
Seules les femmes de groupe sanguin négatif (A-, B-, AB-, O-) peuvent être touchées par un problème d'incompatibilité rhésus. Si sa mère est rhésus négatif et son père rhésus positif, un enfant a une chance sur deux d'être rhésus positif.
Une personne appartenant au groupe AB et qui ne porte pas l'antigène D aura par exemple un groupe sanguin AB– . En revanche, une personne qui appartient au groupe O et qui porte l'antigène D aura un groupe sanguin O+.
Il y a incompatibilité, selon les médecins, lorsqu'une femme de rhésus négatif épouse un homme de rhésus positif. Ainsi, si cela s'avère être le cas, cette incompatibilité engendrera des risques aussi bien pour la future maman de rhésus négatif que pour le futur bébé, dont le rhésus est positif.
Appartenir à une fratrie peut avoir différents sens selon ce qu'on entend par « être frères et sœurs ». Les frères et sœurs sont définis comme étant nés des mêmes parents. On parle de lien de « sang » : un lien biologique, génétique qui les inscrit dans la filiation.
Tout dépend de la présence ou non d'antigènes, des sortes de marqueurs, A ou B à la surface des globules rouges. Ainsi les globules rouges du groupe sanguin A possèdent des antigènes A, ceux du groupe B des antigènes B, ceux du groupe AB des antigènes A et B alors que ceux du groupe O ne contiennent pas d'antigènes.
Les personnes de groupe O auraient 33% de risque en moins d'être contaminées par le nouveau coronavirus par rapport aux personnes des groupes B et AB. Les personnes de groupe A auraient un sur-risque de 20% d'être contaminées par le nouveau coronavirus par rapport aux personnes des groupes B et AB.
Parce que son sang contient des anticorps rares, James Harrison, surnommé «l'homme au bras d'or», a réalisé 1173 dons du sang en 60 ans. Un record mondial. En 60 ans, James Harrison n'a jamais manqué ce rendez-vous régulier. Toutes les deux semaines depuis 1967, cet Australien a donné 800 millilitres de plasma sanguin.
Le groupe sanguin s'ajoute au surpoids, à l'âge ou à la sédentarité comme facteur de risque du diabète de type 2. La France compte actuellement 3 millions de diabétiques, atteints en majorité de diabète de type 2, également appelé diabète sucré.