Il est porté par les Arabes, nomades ou sédentaires. Chez les Kurdes, le turban fut jadis surmonté d'une crinière.
Le turban est un symbole d'unité
La plus grande vocation des sikhs d'afficher le turban est qu'il représente leurs croyances. La justice pour tous, l'égalité et une notion radicale de compassion.
Encore une fois, tout le monde peut porter un turban. Il n'appartient pas à une culture en particulier.
1. Coiffure orientale faite d'une longue pièce d'étoffe, enroulée autour de la tête recouverte préalablement d'une calotte de drap. 2. Coiffure de femme en tissu souple et drapé dans le style des turbans orientaux.
Le turban est un couvre-chef qui se porte différemment d'un pays à un autre. Certains le portent pour des raisons religieuses comme les sikhs, d'autres pour des raisons climatiques, d'autres encore pour des raisons culturelles. Peu importe le motif, le turban est définitivement un véritable phénomène.
n'est pas un signe ostentatoire religieux au sens de la loi précitée. 5. La Cour administrative d'appel de PARIS estime que le port du keshi manifeste ostensiblement une appartenance religieuse et qu'il peut justifier une sanction s'il est porté par un élève dans l'enceinte d'un établissement scolaire.
Il faut savoir que le turban n'est pas un voile. Vous êtes convaincus que vous le portez mais c'est en réalité le contraire. Il ne faut pas prendre ça à la légère, le prophète (que la paix et le salut soit sur lui) a dit : « quand la femme est pubère seuls son visage et ses mains doivent apparaître.
La chéchia (arabe : شاشية) est un couvre-chef masculin porté par de nombreux peuples musulmans.
Ce tableau est souvent considéré comme étant un autoportrait de van Eyck lui-même, bien qu'il n'y ait pas de preuve directe qui puisse le confirmer. Le costume porté par cet homme est conforme au statut social de van Eyck. À partir de 1430, ce dernier s'établit à Bruges et il est nommé peintre de cour.
Le « point rouge » qu'on appelle « pottu » ou « bindi » est un point coloré que les femmes indiennes portent sur le front, entre les sourcils. Le pottu symbolise le troisième œil, l'œil de la connaissance selon les hindous. De nos jours, le pottu est devenu un accessoire de beauté.
Le Dastar est le turban porté par les hommes de confession sikh qui suivent la règle des Cinq K. Ces sikhs ont reçu l'Amrit Sanskar, le baptême sikh qui intronise tout croyant dans l'ordre du khalsa.
Le foulard turban est une longue écharpe qui s'enroule autour de la tête. C'est un accessoire idéal pour les femmes et homme qui ne se sentent pas à l'aise avec les perruques et celles qui veulent éviter les coiffures pendant les moments de grande chaleur.
- Les signes visés par l'interdiction
Sont mentionnés, plus précisément, « le voile islamique, quel que soit le nom qu'on lui donne, la kippa ou une croix de dimension manifestement excessive ».
Les Sikhs croient en un seul Dieu éternel et créateur selon le principe "Ik-On-Kar" - que l'on peut traduire par "une seule conscience créatrice manifestée". La religion renonce aux jeux de hasard et à la consommation de viande, d'alcool et de tabac afin de parvenir à la "mukti", c'est-à-dire la "libération".
En Inde du Nord le bindi est généralement porté par les femmes mariées, au sud par contre tout le monde le met, même les petits enfants.
La religion sikhe est strictement monothéiste. Ses adeptes croient en un seul Dieu suprême, absolu, infini, éternel, créateur, la Cause des causes, sans inimitié, sans haine, à la fois immanent et transcendant. Il est appelé : le Guru suprême (ou en langage courant, « Quel Dieu ! »).
Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
Description historique
Ce tableau est l'oeuvre du peintre sur émail morézien Charles-Eugène Forestier (1904-1974). C'est une copie de L'Homme au turban rouge réalisé en 1433 par Jan Van Eyck (1390-1441) et conservé à la National Gallery, à Londres.
Le keffieh (/ke. fje/ ; de l'arabe : كوفية, kūfīya) est la coiffe traditionnelle arabe, portée en Irak, en Jordanie, dans la péninsule arabique (en particulier les pays du golfe Persique) et par les Palestiniens, les Assyriens, les Kurdes et les Bédouins.
La burqa, burka burqua, /byʁka/, ou bourka /buʁka/ (de l'arabe برقع burquʿ /ˈbʊrqʊʕ/), est un voile intégral d'origine afghane porté par les femmes principalement en Afghanistan, au Pakistan et en Inde.
Le roi du Maroc, la garde royale, les ministres et les employés du palais portent tous des Fezs et sont les seuls à le faire. À l'origine, le Fez était appelé le Tarbouche, certain disent que ce chapeau est originaire de Grèce, d'autres des Balkans.
La France devient alors le premier pays européen à interdire le voile intégral (burqa, niqab). Le texte interdit précisément « la dissimulation du visage dans l'espace public » (rues, mais aussi commerces, transports, mairies etc.). Des amendes jusqu'à 150 euros d'amende sont prévues en cas d'infraction.
Quand porter le voile ? Bien que Le hijab fasse parti de la vertu et de la pudeur de la femme musulmane, en islam, il doit être porté dès la puberté de la femme. La femme doit porter le hijab lorsqu'elle : sort de chez elle.
« Hidjab » signifie en réalité « voile », « rideau » ou « écran ». Le terme désigne le voile dans son acception large, et donc toutes ses déclinaisons. Néanmoins, aujourd'hui, on l'emploie surtout pour parler du voile islamique le plus répandu, couvrant la tête et les cheveux, mais pas le visage.
Fonction du voile
Le voile peut être interprété comme une protection pour la femme et pour l'homme contre le désir sexuel. Le voile permettrait de cacher les atours féminins afin de ne pas attirer le regard des hommes.