Les oestrogènes sont des hormones féminines qui agissent sur beaucoup de tissus de l'organisme féminin. La principale hormone féminine avant la ménopause est l'estradiol qui est produit essentiellement par les ovaires. Les ovaires, au nombre de deux, sont des glandes qui sont situées dans le bassin près de l'utérus.
La LH et la FSH favorisent l'ovulation et stimulent la sécrétion des hormones sexuelles, l'œstradiol (un œstrogène) et la progestérone, par les ovaires.
graines de lin, de tournesol, etc.
L'oestrogène est fabriqué à partir des hormones androgènes, les hormones qu'on associe au masculin (testostérone, DHEA, DHEA-S etc.). L'enzyme aromatase transforme les androgènes en oestrogènes.
Oestrogènes. Les oestrogènes (dont la forme la plus active est l'œstradiol) et la progestérone sont les deux principales hormones stéroïdes. Elles sont synthétisées pendant la phase folliculaire à partir du cholestérol par les cellules de la thèque interne et les cellules de la granulosa de l'ovaire.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.
Avec la progestérone, les œstrogènes régulent le cycle menstruel de la femme ; Ils modifient la glaire cervicale, sont liés à la libido et à la lubrification vaginale. A la ménopause, les ovaires deviennent inactifs et ne produisent donc plus d'œstrogènes.
À la base de l'hypothalamus (2) se trouve une petite glande endocrine, l'hypophyse (1). Sa partie antérieure, l'adénohypophyse, joue un rôle essentiel dans le cycle menstruel en sécrétant deux hormones spécifiques appelées gonadotrophines : la FSH (hormone folliculostimulante) et la LH (hormone lutéinisante).
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Essentielle, cette dernière est à la base du développement des organes sexuels tels que les seins et les parties génitales. Son rôle est aussi primordial quant à la régulation du cycle menstruel, au désir sexuel, au métabolisme de régénérescence des os et à l'hydratation de la peau.
Les graines comme le lin et le sésame contiennent naturellement des phyto-œstrogènes et sont riches en autres nutriments, y compris des fibres, de la vitamines B et du fer, qui peuvent aider à réguler graduellement les niveaux d'œstrogène.
Les carottes. Leur consommation régulière permettrait de réduire le taux d'œstrogène circulant dans le sang. Ce sont les fibres présentes dans les carottes qui se lient aux hormones non utilisés pour qu'ils soient évacués de l'organisme.
Ce qui aide à la ménopause
Œstrogène végétal: le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Le millepertuis: des études établissent l'effet antidépresseur du millepertuis, surtout sous forme d'extrait concentré.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
Ces hormones jouent un rôle différent sur l'organisme et notamment sur les cheveux. Les hormones femelles ou œstrogènes participent à la croissance du cheveu en ralentissant sa pousse et en prolongeant la phase anagène. A l'inverse, les hormones mâles ou androgènes, eux, ont pour action d'accélérer le cycle pilaire.
Au mieux, je peux fournir une approximation : en moyenne, la périménopause dure quatre ans. En d'autres termes, depuis le moment où vous remarquez que vos hormones changent et que vous éprouvez certains symptômes de la ménopause jusqu'au moment ou vos règles cessent complètement, la moyenne est d'environ quatre ans.
Une étude britannique révèle qu'une activité sexuelle régulière, en plus d'avoir de nombreux bienfaits pour la santé, permet également de retarder la ménopause. À l'approche de la quarantaine, le spectre de la ménopause envahit l'esprit des femmes.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
DHEA : l'hormone de jeunesse pour une belle peau.
La ménopause et la prise de poids sont-elles liées ? Lors de la ménopause, les hormones féminines, les œstrogènes, ne sont plus produites alors que les hormones masculines, la testostérone, le sont toujours, à plus faible dose. Ce changement hormonal provoque une nouvelle répartition des graisses.
«Nous avons déterminé que la ménopause accélère le vieillissement cellulaire de 6% en moyenne», précise le Dr Horvath. «Cela ne semble pas énorme mais fait une différence en s'accumulant au cours de la vie des femmes», souligne-t-il.